Un constat d'échec

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Cette phrase a toujours raisonné en moi : 

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Cette phrase a toujours raisonné en moi : 

- La vie est sage de nous tromper car si elle nous disait ce qu'elle nous réserve, nous refuserions de naître. 

Tousse Tousse.

- Ahhh... 

- Prends ton temps grand frère. Dit Marie en aidant son frère.

La cuvette des toilettes était remplie d'une importante quantité de sang. Il y avait même des éclaboussures partout.

Puis une vive douleur le parcouru le fessant ce tordre par terre.

- Ah, Ah ahhhhhh.

Des cris de douleur en retentit dans la maison et il se tordait au sol la bouche remplie de sang.

- Grand frère ! Grand frère ! (Marie)

J'étais tétanisé et mes yeux remplis de larme. 

- J'appelle une Ambulance tient bon. (Marie)

Quelles minutes plus tard un bruit de sirène à résonner et mon frère a été emmené. Bien sûr il était hors de question que je laisse mon frère seul. (Marie)

Après notre arrivée à l'hôpital j'ai veillé toute la nuit sur lui, les médecins l'avaient finalement stabilisé.

- Grand frère comment tu peux toujours afficher ce sourire ! Je sais que ce n'est qu'une façade, mais ceux qui continue à sourire malgré leur malheur son des personnes fortes. Pensa t'elle avant de lui serré la main.

- Tu es mon modèle, mon monde ! 
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Mon chien est aussi mort par ma faute écrasé agonisant sous mes yeux sans que ne puissent rien faire à 8 ans. Le plus grand traumatisme de toute ma vie lorsque j'étais petit. Me faisons comprendre la cruauté de la vie.

- Eh le mort-vivant ! Tu as l'air plus blanc que d'habitude. (Garçon)

- ........ (Kévin)

- Eh, je te parle ! (Garçon)

Le mort-vivant était un surnom que l'on m'avait donné. Car j'étais souvent absent de mon collège dû à une maladie inconnu. Qui me rongeait depuis mon enfance. Et quand j'y étais, il m'arrivait de faire des crises. Oui, j'ai été persécuté, mais je suis un privilégié d'autre aimerai être à ma place. La vie est un grand jeu composé de souffrance et de joie, mais je préfère me concentrer sur la joie.

J'ai une famille, un toit, une maison, certain n'en pas le quart de ce que j'ai. Alors ce n'est pas ma maladie qui va m'empêcher de vivre. Mais plus j'avançait plus je me suis rendue compte que l'homme était un être abject. Les forts aiment opprimer les faibles car cela leur donne un sentiment de puissances et de supériorité.

Je ne me suis pas éveillé au collège contrairement à ceux de ma classe. Je me suis déjà fait tabasser plusieurs fois et répétitivement. Pourquoi ? La raison est simple, je ne pouvais pas me défendre les faibles sont destinés à être opprimé. 

- Hey le zombie, je t'ai vu parlé à ma copine !(Garçon)

- Je l'ai juste aidé pour ces devoirs. (Kévin)

- Ah bon c'est pas ce qu'elle ma dit. (Garçon)

- Je... (Kévin)

Ce jour-la je me suis fait tabasser violemment. Je crois que le pire était de rentrer à la maison et devoir expliqué pourquoi j'étais dans un tel état.

- Grand frère qui t'a fait ça ? (Marie)

- C'est rien ne t'inquiète pas. (Kévin)

Ma mère a toujours voulu que je reste à la maison au lieu d'aller à l'école. Mais je voulais vivre une vie normale malgré ma maladie d'où la persistance à endurer ce traitement. Mais l'homme est un animal social il a besoin de se mêler aux autres pour être épanouie. Les amis et surtout les relations amoureuses mais ma vie sentimentale n'a été qu' une longue agonie. Les blessures sentimentales laissent des traces indélébiles.

Et chaque déception, trahison mon blessé profondément si bien qu' à un moment j'ai commencé à haïr les femmes. À les détester du plus profond de mon être, elles n' hésiteront pas à vous mentir et vous manipulé.

J'ai toujours fait de mon mieux pour être le meilleur de moi-même. Être bienveillant même avec les pires salopards. Cela même qui me mal traitait et se servait de moi. Développant chez moi une difficulté à faire confiance aux autres.

Vers mon entrée au lycée ma maladie a commencé à ce stabilisé. Et j'ai finalement fait la rencontre de mon premier vrai ami Arthur.

- Eh comment tu t'appelles ? (Arthur)

- .......... (Kévin)

- Allez quoi. (Arthur)

- Tu me veux quoi ? (Kévin)

- Rien s'est juste que tu es comme moi. (Arthur)

- Comme toi ? (Kévin)

- Tu as subi du harcèlement, tu as maintenant du mal avec les relations humaines. Je me trompe ? (Arthur)

- Et donc ? (Kévin)

- Devenant amis toi et moi. Bâtissant un lien qu'aucun de ces autres connards n'auront. Avec leurs fausses amitiés et leur hypocrisie. Une amitié que tout le monde voudrait, mais qu'ils n'arriveraient jamais à atteindre. (Arthur)

C'est vrai les gens sont des hypocrites, ils se mentent droit dans les yeux, se trahissent. Chercherons à nuire aux autres s'ils sont meilleurs qu' eux ou s'ils leurs fonts de l'ombre.

- Alors ? (Arthur)

- Essayons-toi et moi. (Kévin)

C'est alors qu'il a tendu son poing vers moi.

- Ami ? (Arthur)

Et j'ai répondu à mon tour en tendant le bras.

- Ami. (Kévin)

Je me demande ce que me réserve la vie par la suite, ce ne sont que les tristes expériences d'un gars qui ne cherche qu' une vie sans tracas. Aimer et quelqu'un qui l'aimera en retour. Car que sois en amitié ou en amour.

- Même s'il ne s'agit que d'une seule personne fonce et trouve quelqu'un d'unique afin qu'il devienne ton seul et unique. Mais pour le moment tout ça n'est qu'un constat d'échec. (Kévin)

Voilà le chapitre 3 est terminé, j'espère avoir bien retranscrit ce que le personnage ressentait. N'hésitez pas à faire des remarques, je suis toujours preneur le prochain chapitre, on va un peu passer aux choses sérieuses l'arc d'introduction est entre guillemets fermée. J'espère vous retrouver pour la suite.

Alone in my darknessOù les histoires vivent. Découvrez maintenant