2/ La Grande Nuit

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« Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges des cieux, pas même le Fils, mais seulement le Père, et lui seul » (Matth 24, 36).

Partout dans le monde la lumière avait laissé place à l'obscurité dans le ciel les coeurs et les esprits, la lune recouvrant le soleil avec des contours orangé et rouge. Et que dans des milliers de villes le sang coulait déjà à flot, les monstres faisant un véritable carnage. Les civils essayant de fuir les villes en vitesse dans la panique créant de gigantesques embouteillages qui se sont vite transformés en de gigantesques buffets gratuits pour les monstres. Qui venaient les dévorer dans leurs véhicules qui ne pouvaient en aucun cas les protéger du danger. 

Il se réfugiaient alors aussi dans les bâtiments les sous sols, les gratte ciels mais c'était inutile aucune cachète ne pouvait les protéger. Les hélicos et les avions se crachant par centaine attaqués par des monstres volants. Ces crashs eux-mêmes engendrant des victimes au sol, ou dans les buildings qui volaient en morceaux. Les bateaux eux aussi attaqués par des petits monstres aquatiques.

"Fermer la porte !" Cria un homme à un autre paniqué.

"Mais il y a encore du monde dehors." Répondit-il.

"Ils sont poursuivis regarde ! Si tu ne fermes pas cette putain de porte, tu nous condamnes à mort !" Rétorqua t'il.

L'homme pris quand même le temps d'attendre les autres survivants, mais quand la porte c'est fermé les créatures les pourchassant avait réussi à rentrer les enfermant avec les monstres. Des cris de douleur et de panique ont alors retenti, du sang coulant maintenant de sous la porte.

Alors que d'autre errait dans les villes à la recherche d'un abri, ou d'autre qui était désorienter. Une jeune fille une peluche a la main marchant en pleure dans les rues déjà jonchées de cadavre. Jusqu'à ce qu'un monstre transperce sa petite poitrine, l'empêchant de respirer et la paralysant de douleur. La peluche tombant alors au sol avant que le sang de la jeune fille qui se faisait dévorer ne viennent la tacher.

Si un mot pouvait alors décrire ce qu'il se passait sur terre à ce moment-là ce mot serait l'enfer. Ou les hommes mourraient dévorés, brûler, écraser, un monde d'une souffrance sans la moindre fin.

Alors que les armes conventionnelles ne fonctionnaient quasiment pas. Seules les armes de gros calibre comme les explosifs semblaient pouvoir les tuer. L'armée de tous les pays ont alors commencé à marcher sur les villes pour tenter d'éradiquer la menace. Les multiples explosions se sont alors multipliées par 3 par 4 par 5 dans toutes les villes du monde. Seules et uniques moyens de tuer les monstres dans un élan de résistance. L'armée a alors réussi à vraiment bien réduire le nombre de monstres dans les villes la victoire était même à portée de main. Mais au bout du deuxième jour la majorité des armées avait été complètement décimée laissant les populations livrées à elles-mêmes. 

Cet effondrement subite de l'armée avait été provoqué par l'apparition de ce qu'on a appelé : Boss. Des monstres plus forts et plus résistants que les monstres normaux donc plus difficiles a tuer. Ainsi l'armée a été quasiment réduite à néant, ces deux jours marquant le moment ou l'humanité a trébuché et a commencé à sombrer dans le désespoir.

Les populations livrées à elles-mêmes au delà d'échapper aux monstres restant ils devaient aussi subvenir à leurs besoins primaires :

Se nourrir et s'hydrater des missions qui s'avéraient toujours périlleuses et chères par moment en vie humaine.

2ème jour / 23 H 30 

Ceux qui avaient survécu, pour certains avaient établi des groupes de rationnement chargés de sortir et de trouver de la nourriture. 

Alone in my darknessOù les histoires vivent. Découvrez maintenant