Un mariage forcé - Le destin tragique de Zeynab

Partie 6

Je passe le temps.

Un mois après , c'était toujours pareil entre Djibril et moi. C'est à dire RIEN. Il se contentait de me dicter ce que je devais faire.

J'étais la bonne à tout faire et si par malheur j'ouvrais ma bouche il aller me l'arrachée ...

Je ne faisais plus la maline. J'avoue que j'avais littéralement peur de cet Homme. Il avait tout les atouts pour me faire taire. Il utilisait sa force physique contre moi. J'étais faible, je n'étais qu'une femme mesurant 1M65 pour 50 kilos.

J'avais énormément perdu du poids. Je ne mangeais plus, je me fesais vomir, tout m'écoeuré. J'étais devenue frêle. Les pleures c'était h24 aussi, enfin je mourrais à petit feu.

Lui; Prépares toi on va chez ma mère.

J'étais entrain de faire la vaisselle quand il m'a dit ça alors pour éviter tout problèmes je suis partie me préparer.

J'ai opté pour une abaya marron avec un hijeb (voile) marron caramel et mes vans noirs. Je me suis parfumer mis du mascara et hop pris mon sac à main et le tour est jouer ! Je voulais me faire fraîche pour qu'il n'est pas de soupçons . Car oui, j'avais toujours ma petite idée dans tête.. J'allais partir et ce n'était qu'une question de temps !

Lui; ZEYNAB ?!

J'accoure au salon

Moi; C'est bon je suis prête j'arrive

Il était vêtu d'un polo Ralph Lauren un jean foncé , des huarraches blanches et noires, de la couleur de son pull et une montre Guess au poignet. Simple.

Il m'a regarder de haut en bas en se mordant la lèvre.. Tchiiip dégage vieux pervers !

Lui; Azzy bouge,

Je passe devant lui, il ferme la porte de l'appartement puis direction chez ma belle-mère...

DANS LA VOITURE;

Lui; Quand on arrive la bas tu fermes ta sale bouche et tu baisses la tête devant ma mère ok ?

J'hoche la tête positivement

Lui; T'as pas de bouche toi ?

Moi; Oui.

Lui; J'préfère !

Puis la route se termine en silence...

Une fois arriver je déscend anxieuse de la voiture. J'espérais que sa famille était tout le contraire de lui. Il était si cruel avec moi.

Il cherchait la moindre occasion pour me taper dessus littéralement. Malgré le fait que je lui obéissais au doigt et à l'oeil , mais Djibril avait ce besoin de me voir souffrir comme ci j'étais la cause de tout ses malheurs...

Une fois dans l'ascenceur la préssion monte. Il est devant moi la tête baisser sur son portable. Quand à moi je me frottais les mains tellement je flippais grave !

Quand les portes de l'ascenceur s'ouvrent il répète;

Lui; N'oublie pas ce que je t'ai dis dans la voiture sinon tu morfles !

Ensuite il tape puis entre à l'intérieure

Lui; Salam !

Sa mère sort de sa chambre puis vient embrasser son fils. La maison était vide elle était seul avec une petite fille c'était sans doute sa petite fille.

Elle le prend dans ses bras, ils avaient l'air de bien s'entendre. Quand elle arrive à ma hauteur elle me fait la bise... Mais j'avais l'impréssion qu'il y'avait un petit froid..