fluff #1

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Comme vu l'avez vous au titre, ce chapitre sera dédié au bon vieux fluff que l'on aime tant mais si je vous en parle ce n'est pas pour rien. C'est juste pour vous dire que ce ne sera pas un seul one shoot (OS dans notre jargon) mais plusieurs qui ne dépassent pas 1 000 mots. J'ai eu cette idée quand je m'emmerdais et que je voulais écrire du Johnlock mais que j'avais que des passages (de fluff évidemment) et non pas d'histoires complètes, alors j'ai décidé de faire un recueil de fluff (un recueil dans un recueil, MAIS C'EST INCEPTION DE RECUEIL MA PAROLE, C'EST RECUEILCEPTION... *tousse* Uhm... Pardon je me suis un peu emporté...). Chaque partie est coupée par un "Fluff #[...]" donc c'est simple pour se repérer.
Bon fluff et dîtes moi si vos en voulez d'autre comme ça :) (jugez pas mon smiley svp)

Fluff #1

Sherlock n'est pas un philosophe et ne pourrait vous dire la définition du bonheur, mais il pourrait entrée ce moment comme exemple.

Le détective est assis contre la tête de lit, John est entre ses jambes et sa tête repose sur l'épaule du brun, en train de dormir. Sherlock lit en livre, enfin fait croire pour regarder le médecin qui est dans les limbes du sommeil. John n'est pas beau quand il dort, mais il a une expression qui pourrait faire fondre n'importe qui, on dirait un enfant et Sherlock n'a jamais résisté à ces petits morveux qui ne font même pas un mètre cinquante -enfin certain si-. Alors le détective le regarde et caresse son visage, ses cheveux, ses joues, ses paupières, son nez, ses lèvres, et le regarde encore et encore. Il depose des baisers papillons aussi. Quant il le fait, il peut voir le sourire de John s'agrandir et on pourrait presque l'entendre ronronner.

Plongé dans ses réflexions, Sherlock ne vit pas les paupières de John s'ouvrir doucement, tourner sa tête vers sa nuque, et y déposer un baiser. Le détective pencha sa tête automatiquement vers le côté pour laisser pour de place aux lèvres du médecin qu'il aime tant.

"Tu as bien dormit?

-Comme un bébé!"

Le médecin n'aurait jamais pensé que le détective pouvait faire preuve de tendresse et qu'il serait toujours un peu froid et distant mais il se trompait sur toute la ligne. Bien sûr il restait le même sociopathe devant les policiers du Yard, les victimes, les témoins, les accusés -mais c'est moins grave-, les clients mais entre les murs de Baker Street, Sherlock était souvent entre les bras de John sur le canapé et toujours accompagné d'un bon thé en tant que bons anglais. Il pouvait le dire: le sociopathe Sherlock Holmes est amoureux et tactile. Ce dernier aurait grimacé en entendant cette pensée mais n'aurait pu la démontrer.

"Je ne t'ai pas trop dérangé dans ton liv.. Apparemment oui, tu es à la même page que tout à l'heure! Souri le médecin."

Sherlock répondît en capturant le sourire du médecin entre ses lèvres. John répondît au baiser et monta une main jusqu'au cheveux bouclés du détective et joua avec. Sherlock lui a resserré sa prise autour de la taille de John, en manque de contact. Ils se séparèrent au bout de plusieurs secondes et se regardèrent dans les yeux.

C'est à ce moment là que Sherlock se dit qu'il est magnifique: ses cheveux ébouriffés, ses paupières mis closes, ses pupilles dilatées, ses lèvres entre ouvertes ainsi que ses joues roses. Il pourrait faire n'importe quoi pour voir cette beauté et en est jaloux quand quelqu'un a l'honneur de la voir, enfin le malheur car Sherlock leur fait bien comprendre qu'ils ne sont plus invité à profiter de cette beauté plus longtemps. Il ne se prive pas du spectacle et ne se prive pas non plus de lui dire.

"Arrête d'être beau, ça m'énerve!"

Bon... à la façons Sherlock bien sûr. Mais il sait que John a comprit quand il voit le sourire de ce dernier s'agrandir. Si on traduit cette phrase, ça donne: tu es magnifique.

Johnlock [OS]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant