Aaliyah - Le fruit défendu.

Parte 33

Aaliyah Baguydi.
Le lendemain.

J'étais dans mon bureau, concentrée de ouf, une légende dit que c'était l'ancien bureau de mon père et que c'est ici que mes parents ce sont rencontrés. Bref, j'étudiais le dossier que je devais traiter avec Demba, en parlant de lui. Le voilà qui pénètre dans mon bureau sans toquer en plus.

Demba - Bon, fait voir le dossier là

- Bonjour, moi aussi je vais bien*dis Je étonnée*

Demba - Ouais ouais, passe le dossier*sans me regarder et s'assoit sur une chaise en face de mon bureau*

- Apres ça dit que j'ai pas les bonnes manières,

Je lui passe en levant les yeux aux ciels, il est énervé contre moi la? Pour le bien être de notre affaire et de mon etat psychologique, je me dois de lui parler. Mais il faut faire quoi la? Que je m'excuses ? J'aime pas ça.

-Demba?

Demba -...*me calcule pas*

- Dembaaaaaa

Demba -...

-Dembouillee

Je cherches trop la vérité, il relève sa tête et me lance un regard hyper noir. Je me suis direct tû.

Demba - Qu'est ce tu veux? *tres calmement*

C'était beaucoup trop calme justement, ça se voit il était hyper énervé.

-Mmh, tu sais*me gratte la tête* t'es énervée contre moi la?

Il me regarde et rabaisse sa tête sur le dossier ,

- Ok ok ok, je veux bien admettre que j'y suis allée un peu fort avec ton asiatique.

Il me regarde et me dit:

Demba - Elle s'appelle Lizzo.*arque un sourcil*

- Oui si tu veux, en tout cas, c'est elle qui m'a lancé un affront je n'ai fais que répondre *leve les bras aux ciels pour me dédouaner*tu sais que je ne refuses aucun combat

Demba - *il finit par lâcher un petit rire en secouant la tete* t'as vraiment un soucis toi

- Ouaaais j'prefere te voir sourire comme un trou du cul qu'être énervé*sourire*

Demba - Juste parce que tu viens de me traiter de trou du cul, je devrais t'insulter tes grands morts, mais comme pour la première fois de ton existence tu as essayé de t'excuser j'vais faire comme si j'avais rien entendu.

Je souries et nous nous mettons enfin à travailler sérieusement.

- Du coup si je resumes, cet homme est accusé d'avoir séquestrer notre client, durant 1 semaine.

Demba - Cette femme c'est la sienne, faut pas oublier ce petit détail

- Ah ouais, *met une mèche rebelle derrière mon oreille, relis bien le dossier* j'avais même pas vu, putain, comment on peut faire ça à sa femme.