Bienvenue dans cette traduction en français de la fanfiction écrite par @sweetwaterspice sur FanFiction.net
Vous y retrouverez différentes scènes de romance entre America et Maxon, toujours pleines de passion.
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Attention, il y aura des scènes à c...
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- Maxon ?
Assis comme toujours à mon bureau derrière une pile de dossiers, après une autre matinée de réunion avec mes conseillers, je relève la tête en entendant la voix d'America m'appeler.
- Oui, ma chérie ? dis-je en souriant alors qu'elle passe le seuil. Je donnerais n'importe quoi pour terminer rapidement la lecture de ces documents abrutissants.
- Es-tu occupé ? me demande-t-elle, soucieuse
- Jamais pour toi, très chère.
Elle s'approche de moi et se penche pour déposer un baiser sur mes lèvres. Son regard balaie la surface de mon bureau, noyé sous la paperasse.
- Tu me sembles débordé, soupire-t-elle. Je peux revenir plus tard, si tu le souhaites.
- Ne dis pas de bêtises. Il n'y a rien sur ce bureau qui ne puisse attendre, dis-je en me rajustant dans ma chaise.
- Tu en es sûr ? Je ne voudrais pas te retarder sur ton travail...
- Mais oui, ne t'en fais pas, ma chérie. J'avais besoin d'une pause de toute manière.
- Promis, je ne t'embêterai pas longtemps, sourit-elle.
- Fort bien. Mais tu pourrais m'importuner plus souvent. J'aime les distractions.
- Et c'est précisément ce que je ne veux pas être ! rétorque-t-elle en m'assénant une petite tape sur le nez, m'arrachant un gloussement.
Elle pose le dossier qu'elle tenait jusqu'alors contre elle sur le bureau, son corps délicieux frôlant mon avant-bras.
- Je viens de recevoir les échantillons des invitations pour le gala d'automne, celles sur lesquelles Marlee et moi avons travaillé, dit-elle en ouvrant la pochette et en plaçant les deux faire-part côte à côte. J'ai besoin de ton avis. Alors, laquelle ?
Elle désigne la première invitation, une feuille dorée sur fond sombre, puis la deuxième, aux teintes plus brillantes.
- Quel parfum as-tu mis ? demandai-je en m'aventurant au creux de son cou
- Pourrais-tu porter un peu d'attention à ce que je te dis ? me réprimande-t-elle avec un sourire, ce qui lui enlève toute crédibilité
- J'aime beaucoup, dis-je. Tu sens merveilleusement bon.
- Maxon !
- Très bien, très bien ! Fais-moi voir, dis-je en jetant un œil aux deux invitations.
