Chapitre 8

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C'est aujourd'hui que Ousmane me présente à sa mère et je stresse à mort et sa fait 7mois qu'on sort ensemble, 7mois de pire bonheur . On a fait des sorties à la mer, au restaurant etc..
bref c'est aujourd'hui que je dois rencontrer sa mère.
Je m'habille d'une robe noire et blanc mi-longue et j'attache mes cheveux, je porte des nus pieds blanches et y'a que ma sœur qui sait que je vais chez lui et qu'il va me présenter sa mère, mes parents je leurs est dit que je vais chez une amie.
Je sort de chez moi et je marche tranquillement jusqu'à son quartier et je l'attend vu que je suis jamais allée chez lui, quelque minute après il arrive et me salue, et il me guide jusqu'à sa demeure, une belle villa dans les Hamo( les quartiers les plus calmes), je suis entrée et il m'a guider jusqu'au salon et me demander de m'assoir
Ousmane: bébé assis toi j'appelle ma maman
Moi; d'accord j'attend
Quelques minutes après il rentre dans le salon et il a fermé la porte
Moi: bébé où est ta mère, il se fait un peu tard( il était 18h30)
Ousmane : elle prend sa douche babe elle arrive
Moi: hum d'accord
On commencé à discuter de tout et de rien, et il commencé à me toucher, me caresser les bras et s'approcher de moi de plus en plus
Ousmane: qu'est-ce que tu est belle ma chérie et si innocente
Moi: euh merci bébé
Et il a commencé à m'embrasser moi je répondais pas je ne savais pas comment faire, avant on fesait que des bisous sur la bouche et c'est tout mais là c'est différent il met la langue et tout
Moi: bébé calme toi, tu sait bien que je sait pas faire sa et j'ai jamais embrassé qui que se soit et ta mère va bientôt arriver
Ousmane : hum détend toi mon coeur, laisse toi faire
Il m'a fais couché sur le canapé en continuant d'essayer de m'embrasser
J'ai commencé à avoir peur
Moi: Ousmane stp arette
Ousmane: n'est pas peur mon bébé calme toi et sa feras moins mal
A l'entente de ces mots j'ai eu peur, je l'est mordue à la levre jusqu'à se qu'il se lève et je commence à courir dans la maison , il me courrais après
Ousmane: c'est moi que tu mord comme sa salope , attend que je t'attrape tu vas voir.
Je courais, courais et la première porte que j'ai vu je l'es ouverte et entrée à l'intérieur et j'essaye de faire le moindre bruit possible et je priait de toutes mes forces que rien ne m'arrive, mais là porte s'ouvrît en grand sur lui et il m'a attrapé et m'a tiré dehors et m'as ramené au salon et m'a jetté sur le canapé, j'ai commencé à pleurer et a le supplier de me laisser partir.
Ousmane : tu sait pas à quel point j'attendais de moment, toutes les fois que je t'es vue sans pouvoir te toucher.
Moi: Ousmane, stp laisse moi m'en allé, ne fais pas sa, je t'en supplie
Ousmane : tous ces cadeaux tu croyais que c'était gratuits
Moi:!!!!
Ousmane: RÉPONDS! Il a commencé à crier et défaire sa braguette
Moi: non je t'en prie, je te les rembourserai mais laisse moi partir
Ousmane : oh t'inquiètes surtout pas je vais te laisser partir et tu va me rembourser mais autrement
Il a déchiré ma robe je tenté de riposter il m'as frappé et m'a attaché les mains et m'a bâillonné

J'ai crié mais personne ne pouvais m'entendre, je me suis débattu mais il était beaucoup plus fort que moi, plus je me débattais, plus j'avais mal alors je me suis résigné et j'ai pleuré en silence en attendant qu'il termine, j'eu tellement mal, je ressentais une douleur indescriptible à l'entre jambe , je me sentais sale, souillé,manipulé, désemparé et déshonoré
Je l'entendais gémir de plaisir pendant que moi je souffrais le martyre je regardais n'importe où sauf lui, il me dégoûtait, il me répugnait. C'est à ce moment précis que je me suis promise de ne plus me laisser manipulé de la sorte, c'est à se moment précis que j'ai changé, c'est à se moment précis que la petite fille innocente, joyeuse, souriante et pleine de vie avait disparu et était né une femme mature, méfiante, qui n'a plus goût à la vie, dégoûtée de tout.
Quand il eu fini , avec le peu de force que j'avais je me sui levé, arranger ma robe et sortie de mon enfer qui était cette maison. Je marchait dans la rue perdue, et ma robe tachée de mon sang, la chose la plus précieuse de mon existence volée et mon honneur bafoué, je marchais et non sans douleur, la douleur était là mais je devais pas rester dans la rue et éveiller les soupçons.
Arrivé à la maison, heureusement pour moi mes parents étaient sortis, seul ma sœur y était. Je lui est tout raconté et elle m'a soigné, et consoler et on a prise la décision de le dire à personne, et on a brûlé la robe et la preuve de mon innocence envolée.

Une vie de souffrance Où les histoires vivent. Découvrez maintenant