Souvenir

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-Dimanche 16h -

Point de vu Robin :

Je me retrouve dans cette ruelle où avant je passais si souvent, où avant il y avait toujours le bruit d'une dispute ou d'une musique. Cette ruelle où ce dégageait une si bonne odeur de nourriture maintenant elle parait sombre et glaciale. Je monte jusqu'à cette appartement où j'était toujours accueilli de compliment de sa part, ce qui engendrait toujours une dispute entre les deux, une dispute qu'il stoppait d'un simple baisé et d'une simple phrase " tu sais que c'est toi que j'aime, algue colérique". Je sonne et quelques secondes après la porte s'ouvre :

R~Bonjours Zoro

Z~Salut Robin, entre

Je le suis et on s'assoit sur le canapé.

Z~Tu veux du thé, du café ?

Je ricane :

R~Zoro je suis venu discuté, pas mourir !

Il rigole à son tours.

Z~Ouai j'ai jamais été doué pour tous se qui est culinaire, c'était son truc à lui...

Je le regard tristement et il continu :

Z~Désolé de m'être emporté hier... encore, c'est juste que... tu vois je pense toujours à lui. Il n'est plus là où il était, mais il est partout là où je suis ou une de ses conneries de dicton. Je me souviens encore de ce jour, de cette histoire qui à commencé. On était heureux malgré le regard des gens, malgré que ça l'infectait souvent. On se disputait si souvent pourtant, il y avait toujours cette amour si fort, si puissant, si beau. On se protégeais comme on se taquinait. J'ai commis énormément d'erreurs pourtant il m'aimait, lui aussi a fait des erreurs je le sais mais étrangement je ne pourrais t'en cité aucune. Je me suis toujours perdu mais il me retrouvait à chaque fois, mais cette fois je suis définitivement perdu... enfin je l'ai perdu plutôt. Tu sais on dit que où il y a de la vie, il y a de l'espoir mais si c'est du coma qu'on parle, l'espoir il est comment ? Les gens ils disent qu'on ne sait pas ce qu'on a avoir de l'avoir perdu, moi je pense qu'on sait exactement ce qu'on a mais qu'on s'attend juste pas a le perdre. Je me rappelle encore de ce qu'il aimait. Le pop-corne salé qu'il prenait pour regarder un film romantique au cinéma, le son de sa voix quand il chantait sous la douche ou quand il cuisinait, sa cuisine si délicieuse, son déhanché quand il dansait, ses coups de pieds quand je l'énervait, ses insultes, ses regards noirs ou amants, ses mots doux, son odeur, son si beaux sourire...  tout me manque chez lui... désolé, je divague, ricane-t-il.

Je ne peux même pas imaginer ne serait-ce qu'une seul seconde qu'il ressent. Je tenais beaucoup à Sanji mais pas autant que lui. Le relation était en quelque sorte unique.

R~Tu sais tu peux m'en parler si tu veux...

C'était pas la première fois que je lui dis ça mais à ma plus grande surprise il prit la parole pour me raconter son récit.

Z~ Bah après tout ce temps vous mérité de le savoir, de savoir ce qui c'est vraiment passé. Si je dois te la raconter autant commencer par là,

La route glissait, mes pneus n'étaient pas adapté pour ce temps. Je roulais à 50, alors que la limitation était de 30. Sanji et moi on c'était disputé, pour une raison à la con comme d'hab. Tu sais à quel point son côté gentleman m'énervait et s'est l'une des nombreuses raisons de nos stupides disputes. On était allé faire les courses et on s'engueulait...Il devait vers les 15h, le temps était gris et les quelques gouttes du début tombaient encore plus. Je devais aider Sanji pour les courses, et il y avait un froid entre nous enfin malheureusement se froid et ses disputes étaient beaucoup trop présente ses temps si. Quand on est monté dans la voiture nos voix se s'ont élevé et j'ai commencé à accéléré. Sanji, il me l'a dit, il me l'avait pourtant dis. Il me répétait de ralentir puis il y a eu se fameux feu.

1 seule secondeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant