[Kokichi x Reader]

⛱9- bye~!!

Attention exécution nul à chier pour un personnage cool
(ㆁωㆁ)

T/P: tu n'assume donc pas que t'étais en couple avec notre bon vieux détective..?

Kiibo ouvrit de grand yeux, complètement choqué, le groupe commencer à se poser des questions.

Kiibo: j- je suis pas gay ! Tu racontes quoi là ?!
Tenko: on est tous passer par là, t'inquiète Kiibo, je mis connais.

Effectivement, Tenko s'y connait dans le domaine.
Enfin, j'était contente de voir le tas de ferraille paniquer.

T/P: tu la tuer car tu l'a vu flirter avec Ouma, n'est ce pas ?
Kiibo: NON !

L'ahoge du robot se dressa, il était plus que énervé, je les mis en état de rage intense.

Kiibo: c'est moi qui l'es tuer ! Mais pas par jalousie, je suis pas gay. J'les tuer car... car il était juste trop parfait.. Depuis le début j'ai une dent contre lui, depuis le début il ne fait que me surpasser, j'ai juste perdue mon sang froid...

Il avait cas bouger son cul pour être plus doué que Shuichi j'ai envie de te dire.

T/P: donc t'était obligé de régler sa comme ça ?
Kiibo: j'ai dit que j'avais perdu mon sang froid

Ok.. en tout cas on sais qui et le tueur ! Mais du coup s'était bien avec une tronçonneuse ou pas ?
J'ai dit tronçonneuse pour rire moi X)

Monopute apparu comme sailor moon avant d'embarqué avec lui le bout de métal sur pattes.
Kiibo se retrouva dans une usine en piteuse état, assis sur un tapis glissant qui l'amène peut à peut à une presse géante.

L'albinos à les mains et les jambes lié à cause d'une chêne de fer, il essaye temps bien que mal à se défaire de ses lien.

Il se fait écraser par la presse pour ensuite passer dans une sorte de tunnel, tunnel qui d'ailleurs laisse s'échapper de la fumée grise et des cendres..

Kiibo ressort de cette enfer avec un bras en moin et la face légèrement fondue par les flammes, mais l'exécution n'est pas terminé.

Il rebondis sur un petit tremplin avant d'atterrir dans une bene à ordures, complètement désespéré de sa situation.

La poubelle se referme bruyamment sous le cri de douleur du pauvre robot . . .