Nos vies de Thugs [Tome 1]

Chapter 44

Faress: ah vous êtes enfin rentrés ?

Moi: *rire nerveux* arrête de te foutre de moi parce que ça va pas le faire

Shaïnez: c'était juste une blague

Moi: ferme ta gueule grosse pute, vous vous croyez drôles ?!

Shaïnez: du calme on s'amusait

Moi: redis-moi ça encore et je te rentre dedans, VOUS CROYEZ QUE C'EST DRÔLE DE NOUS FAIRE PATIENTER PENDANT 8 HEURES DANS UN PUTAIN D'AÉROPORT ?!

Faress: c'est bon pourquoi tu t'excites ?

Moi: VOUS ÊTES DES CONNARDS, VOUS PENSEZ QUE VOTRE "BLAGUE" ÉTAIT DRÔLE ?!

Shaïnez: c'est bon on...

Il fallait pas qu'elle l'ouvre, grave erreur. Je cours vers elle et on commence à se battre. Faress nous sépare mais je le calculais pas, quand j'ai su que c'était lui je me suis enlevé de lui et je l'ai giflé

Faress: tu viens de faire quoi là ?!

Moi: je t'ai giflé et JE LE CRIE HAUT ET FORT

Faress: arrête parce que ça va dégénérer

Moi: FRAPPE MOI QUE JE RIGOLE

Je le regarde dans les yeux, il se contenait.

Moi: sales chiens que vous êtes

Je monte dans notre chambre. Je commence à tout déranger, c'était le bordel dans ma tête.

Je me lave et je porte un t-shirt long orange avec un mini legging et je descends manger vu qu'on a pas manger là-bas.

Je descend et évidemment il y avait Faress Shaïnez hein avec Zaïm Adou et Yanis.

Moi: les garçons vous voulez manger ?

Yanis: moi c'est bon

Adou: tu vas faire quoi ?

Moi: steak frites

Adou: une assiette pour moi s'il te plait

Zaïm: tu veux de l'aide ?

Moi: non merci c'est vite fait

J'avais mes enceintes hein, j'allais pas rester sans m'enjailler, impossible.

Pendant que je mettais les frites à cuir je sens quelqu'un derrière.

Faress: tu me fais la tête ?

Moi: non non, je te fais les pieds

Faress: arrête Yasmine tu sais bien que c'était une blague

Moi: on était déjà en froid je te rappelle

Faress: mais c'est le daron, je déteste quand quelqu'un conteste sa parole

Moi: hum hum

Faress: mais c'était un peu à contre coeur

Moi: et tu peux m'expliquer le délire pour l'aéroport s'il te plait

Faress: sérieusement c'était une blague

Moi: nous faire attendre 8 HEURES alors qu'on était fatigué et tu oses me dire que c'était une blague ?

Faress: on pensait pas que t'allais le prendre mal

Moi: bien sûr que je vais mal le prendre, y'a des blagues qui sont vraiment pas à faire

Faress: excuse moi

Moi: non

Il me prend et me pose sur le plan de travail, lui entre mes jambes