My Happiness.
J'ai un putain de manque, qui me bouffe. Il me détruit, petit à petit. Il me tue à petit feu. Il faisait parti de ma vie, il était mon amour, je lui aurait donner ma vie, il était une de mes raisons de vivre, de me battre. Il était la raison de mon sourire. Il m'était devenu vital. Il m'a laissée, abandonnée, comme une merde. Malgré toutes ses promesses, ses mots, il m'a laissée. Il devait venir me voir à Bordeaux. On devait vivre ensemble à Marseille plus tard. On s'était promis de ne jamais s'abandonner. Il m'a dit qu'il m'aimerait toujours, qu'il ferait tout pour moi, que j'étais sa raison de vivre, que je l'ai sauvé, que je l'ai aidé. Je lui ai donné ma confiance, mon amour, ma compatie, mon cœur, mon âme, ma vie; et il a tout tuer, bruler. Comment je suis censée remonter la pente, sans lui ? Tout allait mal, et il m'aider indirectement parce que je n'aime pas parler de mes problèmes. Il m'aider en me parlant, en existant tout simplement. Savoir que je pouvais lui parler par contre texto, me rendait heureuse. Voir un ‹je t'aime›, me faisait sourire. Il me suffisait de penser à lui pour que je sois joyeuse. Maintenant, comment je suis censée faire, dîtes le moi ? Tout s'empire chaque jour, de nouveaux problèmes arrivent chaque heure, et il n'est pas là. Il me manque, chaque minute, chaque seconde. Il est dans mes pensées nuit et jour. J'aimerais tellement l'oublier. Et arrêter. Arrêter d'espérer. Arrêter de lire le peu de choses que sa sœur m'a dit. Arrêter de souffrir. Et vivre.