🌹Une fameuse rencontre.🌹

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PDV Eléna

Aujourd'hui je rentre dans un nouveau lycée, il se trouve à quelques kilomètre de chez moi, dans un internat. Je me réveille vers six heures trente, je me lève et va me doucher. Je m'habille d'un sweat noir, un jean blanc et des filas noires.

Je descend peu après pour prendre mon petit-déjeuner et pars après à mon arrêt de bus, celui-ci arrive peu de temps après, je monte et m'assois à une place libre, seule au fond. Le bus s'arrête à un autre arrêt , je n'y fais pas attention jusqu'à que je sens une présence à côté de moi.

Je relève la tête et observe un magnifique garçon aux cheveux châtains clairs et aux yeux noisettes. On arrive peu après au lycée, je descend du bus et va en direction de ma classe que l'on m'avais attribué la veille. Une fois installée dans la classe, le professeur rentre.

Prof: Bonjour à tous, je suis monsieur Dupont, je serai votre professeur principal et votre prof de Science. Après l'appel vous monterez avec moi pour les chambres.

Il commence à faire l'appel, après dix minutes, il nous conduit dans les chambres, un par un. J'entre dans la mienne et ferme la porte à clé. Elle est spacieuse, on oublierait presque que c'est celle d'un internat. Il y a une porte menant à la salle de bain, assez grande elle aussi.

Je regarde les documents sur mon bureau, rangés dans une pochette, il y a deux emplois du temps, les règles des dortoirs ainsi que celles du lycée. Je prends délicatement dans mes mains mon emploi du temps. Je reprends des cours demain à heures avec comme matière: Anglais, Mathématiques, Latin, Philosophie et Sciences; je pense que la journée va être longue.

Je décide de ranger mes affaires mais au même moment quelqu'un toque à ma porte, je vais ouvrir. Le garçon du bus se tient devant moi, ça devrait être un crime d'être aussi beau!

Moi: Euh, oui? C'est pour quoi?

???: Yo, je suis Valentin. Je voulais savoir, tu es bien en seconde 1?

Moi: Je suis Eléna, et oui pourquoi?

Valentin: Ah enfin! je peux entrer?

Moi: oui vas-y

Il me sourit puis rentre, je referme la porte et m'assois sur sur le rebord du lit, comme lui.

Valentin: Dit, c'est pas toi qui me regardait dans le bus?

Mes joues s'enflamment en prenant une teinte rougeâtre et sans savoir quoi répondre, je baisse la tête, en étant plus que gênée et... embarrassée

Moi: O-oui désolé, je ne voulais pas...

Valentin: Mais ne t'excuses pas, je dois bien avouer que je te trouve très jolie aussi

Moi: Euh... Merci...

Valentin: Dis, je peux te prendre l'emploi du temps en photo, on ne me l'a pas donné.

Je me lève et prends l'un des deux emploi du temps et le lui donne.

Moi: Tiens, garde-le, j'en ai eu deux

Valentin: Vraiment? Merci je te revaudrais ça, pourrait-on devenir amis, tous les deux?

Moi: Ce n'est pas la peine, ce n'est pas grand chose, et oui si tu veux

Il me sourit et je le lui rendit. Je me r'asseois à côté de lui, un peu gênée. Ce qu'il remarque très vite, il pose sa main sur mon épaule et la caresse doucement.

Valentin: Détends-toi, je vais pas te manger non plus

Il me plaque contre mon lit et commence à me chatouiller, ce qui me fais automatiquement rire.

Moi: Ar-arrête, s-s'il te p-plaît!...

Je bougeais pour essayer de lui échapper mais en vain. Il s'arrête, je remarque qu'il est à califourchon,n au dessus de moi. Mes joues s'enflamment et mon cur s'emballe. Il se relève en vitesse, rouge et se dirige vers la porte.

Valentin: J-je dois y aller, désolé!

J'eus à peine le temps de me relever que la porte se referme. Je reste alors assise sur le lit, un peu chamboulée par ce qu'il vient de se passer. Je prends mon téléphone, il n'est que midi. Je dois aller au réfectoire à midi vingt-cinq, j'ai encore un peu de temps.

Je décide de ranger mes affaires, j'organise mon bureau, range mes affaires de cours et mes affaires dans la salle de bain. Je regarde une nouvelle fois l'heure, il est vingt, je sors et ferme la porte à clé derrière moi.

Valentin: On y va à deux?

Moi: Imbécile, tu m'as fais peur! Oui on y va

On se raconte un peu notre vie, le métier que l'on voudrait faire et pleins d'autres choses le temps de la route. On arrive au réfectoire, on va chercher notre plateau et on va s'asseoir à une table au fond.

Valentin: Alors maintenant que l'on est à deux, dis moi, tu as un petit copain?

Moi: Non et toi, une petite amie?

Il me regarde et me souris avant de manger un peu.

Valentin: Non mais je pense que ça va arriver prochainement

Moi: Comment ça?

Valentin: Laisse tomber Eléna

On discuta de pleins de choses, on eu des fous-rires, j'apprécie être en sa compagnie. Le calme règne, blanc total.

PDV Valentin

On est assis l'un en face de l'autre, silence total entre nous deux. Je voudrais l'inviter à sortir mais si elle refuse... rien ne m'empêche d'essayer.

Moi: Euh... Ça te dirais d'aller faire un tour en ville , pour profiter de notre dernier jour de vacances

Eléna: Oh euh oui, ça serais génial. Je vais changer de vêtements ça ne te dérange pas?

Moi: Non, ne t'inquiète pas

On débarrasse nos plateaux et on va dans sa chambre, je m'assois sur son lit. Je la vois prendre un short noir et un t-shirt marine et aller dans la salle de bain. N'empêche cette fille est vraiment belle... faut que je garde mon calme sinon ça va mal se passer, je n'ai pas envie de la blesser...

J'en peu plus! Je rentre sans frapper à la porte de la salle de bain après cinq minutes, je la vois, sûrement choquée et surprise. Je me place derrière elle, on se regarde dans la glace et je peux apercevoir que je fais une tête de plus qu'elle.

Je la vois, les joues rosées, elle ferme les yeux et tremble légèrement. Je sens son cur battre à tout rompre; elle est si belle comme ça.

Moi: Désolé d'être rentré comme ça... Tu m'en veux?

Elle ouvre les yeux et se met encore plus à rougir.

Eléna: Non, mais...

Elle avait une voix faible, je la sens essayer de se dégager de mon emprise mais je la tourne vers moi, on est face à face à présent.

Eléna: Que-

Moi: Fait moi confiance, laisse toi faire...

PDV Eléna.

Il me plaque contre le mur, je ne peux plus du tout bouger. Il me tourne la tête légèrement sur le côté, je ferme les yeux, j'ai peur... Il approche son visage de mon cou et me le lèche, un frisson me parcours le corps, et malgré le fait que je m'en empêche, je lâche contre mon gré un petit gémissement. Je sens quelque chose me transpercer le cou, je commencer à crier sous la vive douleur de brûlure mais il pose un main sur ma bouche.

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Mots: 1230.

Publié le: 6 avril 2020.

Par: La blonde.

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