Rantbook 2.0

Vieille relique

(19/03/20)

Alors pour la petite histoire, la toute première fois que j'ai écrit une fiction remonte à mon année de 4e, j'avais 13 ans donc. C'était un genre d'atelier en cours de français, on devait écrire une courte histoire sur le thème de la peur et de la fantaisie, avec des mots imposés. Parmi ces mots, c'est sûr qu'il y avait "M. Linder" et le deuxième je crois que c'était "bibliothèque", je suis plus sûr ça date tellement.

Et donc j'avais écrite cette histoire avec Raphael, #PommiiPremierDuNom, #LeSaintCreateurDeLAminoLGBT+, oui je connais IRL le créateur d'un amino de 70 000 membres
Bon par contre, faut avouer que c'est moi qui ait principalement écrit l'histoire. Mais je me souviens que c'est lui qui avait proposé le nom du perso 😂

Donc, après avoir écrit cette fiction d'un peu plus d'une page, je l'avais faite lire à ma mère qui était grave choquée de ce que j'avais fait, askip c'était bien. Et elle m'avait conseillé, déjà à l'époque de la développer, et peut-être en faire un roman.

Ma mère est au courant pour Wattpad, elle sait que j'écris des histoires (elle a d'ailleurs lu le début de Pleine Lune quand elle s'était créée un compte). Donc il y a quelques mois, je lui avait reparlé de cette histoire et elle m'avait redit que c'était vraiment bien.
Je m'étais alors dit que je devrais retrouver la feuille un de ces quatre.

Je me suis enfin décidé à la chercher aujourd'hui et, miracle, je l'ai retrouvée (ma chambre est d'ailleurs sans dessus dessous).

Je l'ai retapée à l'ordi pour avoir une vraie sauvegarde et j'avais envie de vous demander votre avis dessus.

Le niveau de langue est pourri par contre, je l'ai réécrite telle quelle (sauf les fautes d'orthographe, faut pas déconner) donc soyez clément là-dessus, j'avais 13 ans.

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Charlie est, ou plutôt était, une petite fille très curieuse et passionnée de lecture. Elle vivait dans le plus grand pensionnat de la région, où se trouvait la bibliothèque de M. Linder, le seul endroit où aucun enfant n'osait entrer. Elle regorgeait de livres et de grimoires plus mystérieux les uns que les autres. C'était une pièce qui paraissait sans fond.

Charlie eut un soir le courage de pénétrer dans cette bibliothèque. Immédiatement son regard fut attiré par un livre particulièrement étincelant. Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est que ce livre cachait un terrible secret.

M. Linder l'a surprise, le livre entre les mains, et lui dit qu'elle pouvait le prendre. Mais qu'elle devra en assumer les conséquences. Elle n'osa pas lire le livre suite à cet avertissement et le posa puis alla se coucher.

La journée suivante se passa tout à fait normalement. Le soir venu, la jeune fille prit le livre et, une fois dans sa chambre, lu une page, puis deux, trois, dix, vingt, cent, et cela jusqu'à finir entièrement le livre, gros de plusieurs centaines de pages. Lorsqu'elle ferma le livre, il se produisit quelque chose d'étrange. Charlie le pressentit, mais elle ne savait pas ce que c'était.

Durant la nuit, une aura étrange flottait dans l'air. Tout à coup, les pages du livres se sont mises à se tourner seules, les unes après les autres, de plus en plus rapidement. Une ombre apparut, le tonnerre gronda, un éclair déchira le ciel et l'ombre disparut.

Le lendemain, Charlie s'attendait à une journée des plus banales. Quand un cri se fit entendre dans l'ensemble du pensionnat. Le corps inanimé, lacéré et couvert de sang d'une jeune fille fut découvert dans la bibliothèque. Et, à ses côtés, il y avait des touffes de poils brunes pouvant appartenir à un ours ou bien un loup. Des traces de pas animales se dirigeaient vers le couloir mais se stoppaient net devant le mur d'en face.

Plusieurs corps furent ainsi découverts. Des recherches avaient été organisées mais la bête demeurait introuvable.

Un jour, Charlie, qui devait ranger sa salle de classe, entendit un bris de verre suivit d'un grondement sourd. Elle se retourna immédiatement et lorsqu'elle vit ce qui se tenait face à elle, elle ne put retenir un cri d'horreur. La bête se tenait devant elle. Elle ressemblait à un loup mais se tenait sur ses pattes arrière à la manière d'un être humain. Avant même que la jeune fille ait pu faire un mouvement ou qu'on ait pu lui porter secours, la bête lui prit la vie...

M. Linder l'avait prévenue, elle n'aurait jamais dû lire ce livre. Car sous son enivrante couverture étincelante, se cachait la terrible légende du démon-loup.

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Alooors ? '^'

Oui c'est la semaine des fictions on dirait