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Chapitre 3 :

5..4..3..2..1..
Avant même de toucher le sol, j'apparu sur un matelas, du moins j'étais tombée dessus.
Dans une maison.
Non, une chambre.
Une chambre d'hopitale.
Je me suis levée du lit, je me suis dirigée vers la porte.
Il n'y avait pas de poignet.
J'essayais de pousser la porte mais impossible d'ouvrir cette foutue porte.
Il n'y avait pas de fenêtre et la lumière grésillait. Tous pour me faire peur !
Je m'assi au sol, la tête dans les bras, à paniquer et me demander enfin ce qui se passait dans ce foutue monde.
Un rêve... Un rêve ?
Mais oui !
Dans un rêve, dans nos rêves, on fait ce qu'ON veut, non ?
Je m'étais dis cela.
Alors je me levais, écartais les bras et fermais les yeux.
J'eus à peine eus le temps de commencer de dire le mot "viens" que de l'eau se mit à couler du plafond, de l'eau brûlante.
Le niveau de l'eau au sol montait sans répit et très rapidement.
L'eau me brûlait les pieds, les chevilles, les molets, les cuisses, le bassin.
Je me mi à crier mais l'eau montait encore.
Ma peau fondait sous là chaleur de cette infâme eau brûlante.
L'eau dépassa ma tête mais je ne flottais pas, j'étais comme collée au sol.
Je me noyais et crachais du sang.
Au point mort de ma limite d'apnée, l'eau disparut et la porte s'ouvrit comme si une personne tenait la poignet.
Une silhouette, grande et fine.

J'étais au sol, face à cette grande silhouette, je tremblais de peur.
Elle ou Il ne bougeait pas, le contre jour faisait que je ne pouvais guère voir son visage, mais il me semblait étiré et maigre.
Il avait de longues mains et de très longs et fins doigts.
Il fit un pas vers moi, se pencha au dessus de ma tête, je voyais mieux maintenant son visage, il était blanc.
Blanc non pas comme la couleur de peau blanche qui n'est autre que le beige, mais il était réellement blanc, comme une feuille blanche.
Des dents pointues, toutes ses dents étaient acérées, les joues creusées par la maigreur, des yeux vitreux sans paupière.
Il approcha lentement sa main de mon visage Je ne pouvais plus bouger, j'étais tétanisée par la peur.
Sa main arriva face à mes yeux et encore une fois il disparut dans un nuage de poussière.

H.S.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant