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Chapitre 5 (fin) :

En la voyant courir derrière ce manège, je pri mes jambes à mon cou et je me suis barrée directement pour m'éloigner le plus loin d'elle de peur qu'elle ne cherche à me tuer.
Je courrais dans les grands chemins pour essayer de trouver la sortie du parc.
Je ne la voyais pas, mais la femme était en haut de la grande roue et me guettait pour me suivre à la trace, je ne m'en étais rendue compte que, lorsqu'en passant à côté d'une cabine, je vi des écrans qui étaient liés aux caméras du parc, et je la voyais enfin.
J'ai vite cherché autour de moi la grande roue, une fois trouvée je fixais à mon tour cette femme.
Je lui fis coucou avec main et elle me fit, en retour, un doigt d'honneur.
Déçu, je lui en fis un en fi un aussi.
Après cet acte de gaminerie, je me suis tournée et j'ai re-couru à la recherche de cette foutue sortie.
Je vis une grande barrière au loin, toute lumineuse.
J'accélérais pour l'atteindre mais, juste en face de moi, juste devant, arriva du ciel cette satanée femme bouchère.
Elle me fixait sans bouger. Elle regarda, après cinq secondes, son couteau puis moi, puis elle se mit à marcher vers moi, je reculais doucement, elle se mit à courir, et étonnamment elle allait rapidement.
Arrivée à 5 mètres de moi, la pluie tomba et la femme se mit à se dissoudre.
Elle fondait, il y avait de quoi, la pluie était brûlante, ma chaire fondait aussi, mais la femme était, elle, devenue une flaque de sang.
Je courru vers la porte et essayais de l'ouvrir.
Impossible d'ouvrir cette foutue porte, elle était fermée, alors je l'ai escaladé.
Passée de l'autre côté je me suis cassée la cheville, l'os était ressorti de ma peau.
Je criais de douleur et me tordais dans tous les sens.
Dans le noir, je vi une vingtaine de points bleus et j'entendais des grognements.

Ces points bleus avaient l'air de se rapprocher, je commençais à voir des silhouettes humaines, mais leur peau étaient grises et..
et..
et en putréfaction.
Leur peau tombaient de leurs membres.
En effet, c'étaient des morts-vivants.
Rôdeurs,
zombies,
fendues,
walkers,
infectés,
bref ce que vous voulez, c'étaient des morts qui marchaient vers moi.
Impossible de bouger avec ma cheville explosée.
Je rampais sans particulière raison, j'étais cernée.
La pluie cessa de tomber et le jour se leva.
Il faisait beau, le ciel était rose et sans nuage.
Je ne faisais plus attention aux morts qui venaient.
Ils se mirent à me dévorer, la peur était partie, la douleur était minim, je ne prètais plus attention au fait que je me sentais mourir pour de bon.
Une larme coula de mon œil et je fermais les yeux...
Je te raconte tout ça, car...
Car j'ai foiré cette foutue partie !
Sérieux, ce jeu me gave !
Tien, prend ma place, moi, je vais boir.
Essaie de faire mieux que moi, d'accord ?

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 20, 2020 ⏰

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