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Chapitre 4 :

Je m'étais mise à pleurer.
Je n'en pouvais plus c'était insoutenable.
Tous ces horribles évènements, c'était de la torture, je n'en pouvais plus !
Je me suis levée après quelques moments de sanglots puis je me suis dirigée vers la porte ouverte.
Le couloir semblait être celui d'une école élémentaire.
Avec des dessins aux murs, des dessins d'enfants, mais en les regardant de plus près ils étaient détaillées et morbides.
L'ambiance était gloque et pesante.
Le couloir était long, très long.
Je me suis donc mise à marcher vers la double porte, la porte coupe-feu.
Je l'ouvrit et là, il n'y avait pluqu'une champs de blé.
J'avançais pour sortir du couloir, fermais la porte, regardais le champs, me tournais et ne vi plus la porte.
Autour de moi il n'y avait pluque des champs.
Il y avait un petit santié, je l'empruntais pour avancer sans me perdre mais il se mit à pleuvoir, je me mi à courir, mais torse nue j'avais froid, très froid.
Je ne comprenais plus :

un coup je crève de chaud et juste après je suis frigorifiée.

Alors je courrais encore.
Jusqu'à en avoir un point de côté.
La fatigue m'attrapa et je tombais dans les vapes.

En me réveillant, je ne voyais plus les champs, et je n'étais pas surprise, faut dire qu'avec tous ces changements de lieux, dés que je ferme les yeux ou ouvre des portes, on s'y habitue.
Et toi, sais-tu pourquoi je te raconte ça ?
Pour te prévenir et te dire ce qui ne faut pas faire, pour réussir à te sortir de ce genre situation, mais laisse moi finir de te raconter toute l'histoire, on est bientôt à la fin ne t'en fais pas, sois attentif jusqu'au bout ok ?
Alors j'en étais où ?
Ah oui !
Lorsque je me suis levée, du coup, autour de moi il y avait un parc d'attraction en pleine nuit.
Les attractions étaients ouvertes et toutes pleines de lumières jaunes et rouges qui sintillaient de mille feux !
C'était beau en effet, mais j'étais seule dans ce foutu parc, pas un chat.
On entendait que la musique des attractions, crois moi que quand t'es seule dans un parc d'attraction la nuit avec les musiques : tu deviens parano et tu angoisses bien comme il faut.
J'avançais donc dans le parc sans but particulier.
Mais à un moment, je vis une femme portante, avec un couteau de bouché dans la main gauche.
Elle se tourna, me fixa une dizaine de secondes puis parti en courant derrière un manège.

H.S.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant