le poing au mur
l'âme opaline
déchire la peau
qui crie morphineles enfants tristes
en robe jaune
vernis doré
aux mains des monstresles merveilles et les cauchemars
écrivent mon illusionrêve d'entrailles ; entrée gratuite
grappille mon cœur ; carré au corps
comme un instant ; tenant la main
d'incendie blanc ; lançant l'image
matin au vent ; vendant l'amourles promesses m'ont mangé
et alice
toi,
t'ont ajournéemourir demain
(mais pas maintenant)
dans le dessin
(de mes tourments)photomaton et stroboscopes braqués sur mon corps cassé
le fruit dispendieux des éclairages allume mes baisers(brisés)
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morphine
Poesíaalice est morte, tu sais, là où plus aucun cris ne s'entendent tant l'atmosphère est étouffante - janvier 2022