Le territoire du soleil couchant

chapitre 5 : Un mystérieux don...

Hey ^-^ et oui j'ai repris l'écriture de ce livre après HUM HUM... Disons trois mois ;-;
Enfin bref, j'en ai profité pour effacer les fautes d'orthographe et modifier légèrement le style des anciens Chapitres ^^
Vuala vuala

Laurier repris sa respiration et commença.

- Le don est quelque chose de très mystérieux qui se transmet complètement au hasard. N'importe quel chat peut l'obtenir. Par exemple, imagine  qu'un chef grand et fort apprend qu'un apprenti a le don, le chef va le former et celui-ci va automatiquement devenir le futur lieutenant, voir le futur chef. Si un apprenti du clan du soleil obtient le don, il sera le lieutenant du clan du soleil et inversement pour le clan de l'Écume.
Le don apparaît toujours durant les quatres premières lunes d'apprentissage. Si un apprenti a le dont, quand il deviendra guerrier il prendra la place du lieutenant. Tu me suis ?

- Je ne suis pas débile !

- Avec plaisir !! Je continue. Malheureusement il y a un bémol. Si un apprenti a le don, tant que celui ci sera apprenti, le don n'apparaîtra chez aucun autre chat, qu'il soit du même clan ou du clan ennemi. Pour éviter les disputes sûrement.
Mais si aucun apprenti n'a le don quand le chef ou le lieutenant meurt, on attendra quelques temps de voir si aucun apprenti ne l'a, puis on sacrera un chat qui n'a pas le don mais qui le merite.

- Ah bon.

- Donc si un apprenti de ta génération a le don, cela réduira presque à néan tes chances de devenir chef, puisque même si c'est un apprenti du clan du soleil, étant donné que notre chef comme notre lieutenant son frais comme des agneaux, ils ne risquent pas de mourir avant longtemps.

- Mmmmh... D'accord mais en quoi consiste le don ?
- Ça je ne sais pas... Seulement que c'est très variable en fonction des individus.

- Okay !!! Et toi tu voudrais devenir quoi ?

- Moi ? Recueilleur je pense ! Ça me plairait beaucoup !

- On est arrivé !! Cria Émeraude.
En effet, il apercevaient les feuilles roses du grand cerisier.

- Maman !! Marée couru vers sa mère en piaillant de joie.
- Marré... Gémi sa mère. Calme toi s'il-te-plaît...
- Maman ça va ?
- Oui oui mais arrête de crier...

Marée fit la moue avant de reprendre (légèrement) plus calmement.
- Et tu sais on a vu le territoire des chevaux ! C'était incroyable j'ai adoré !

Elle se rendit compte que sa mère ne l'écoutait pas, cette dernière était en train de lustrer le pelage de ciel, qui ronronnait.

- Maman !!
Elle fit claquer sa queue et partit en tapant des pattes.

Ne voyant pas lierre, elle alla rejoindre Bourgeon qui discutait avec Petite mouette d'une voix Joyeuse.

- Salut... Marmonna-t-elle.

Bourgeon sembla étonné de sa venue.
- Heu... Salut..

- Ciel m'énerve. Déclara-t-elle après quelques secondes de silence.

- Pourquoi ? Demanda mouette en penchant la tête.

L'apprenti gronda.
- Ciel par ci, Ciel par là... J'en ai marre !!!

•••
Pdv : Bourgeon.

Le jeune chat écarquilla les yeux. C'était exactement ce qu'il ressentait avec Coquille ! Il se mit à ronronner.

- On peut être amis si tu veux ! Dit mouette.

Le visage de marée s'éclaira et elle leur sourit.

- Avec plaisir ! Et si on s'entraînait au combat ?

Avant même qu'elle ai pu finir sa phrase, bourgeon se jeta sur elle, les griffes rentrées. Il lui donna une série de coups à l'aveuglette et elle répliqua en lui mordillant une oreille.
Mouette pouffa pendant que ses deux amis roulaient au sol comme des chatons.

•••
Pdv Coquille.

Coquille était couché sur une des pierres lisses qui longeaient la rivière. Il venait avec ses camarades de rentrer de vadrouille et était épuisé. Il soupira et commença à faire sa toilette. Le petit chat tourna sa tête vers le grand cerisier et eu un pincement au cœur en voyant Bourgeon, Marée et Mouette entrain de s'amuser.
Quand soudain Pigeon, le guérisseur vint lui tapoter l'épaule.

- Coquille peux-tu venir dans ma tanière s'il te plaît ?

Le chat noir aquiesça et le suivit.
Une fois dans la tanière, Pigeon le regarda d'un œil brillant.

- Pourquoi voulais-tu me voir ? Demanda l'apprenti.

Le guérisseur se jeta sur lui.
- Tu dois mourrir !