Syndrome De stockholm

chapitre 6: la proximité

Il descend jusqu'au salon et se sert un verre de whisky. Il me tend un verre avec la même boisson:

Moi:-" Non merci, je ne bois pas."

Lui:-" Je vais pas boire tous seul quand même,..."

Je ne dis rien et il s'approche.
Il me tend une seconde fois le verre, une fois de plus je lui dit que je n'en veut pas. Il termine son verre et me prend la main, je retire immédiatement ma main. Que fait-il?
Je m'éloigne un peu vers la fenêtre je n'ai pas envie de lui parler, ni de le suivre là où il voulait m'emmener . Il me rejoint et me prend dans ses bras, je sens son torse musclé contre mon dos.

Moi:-" Arrête."

Lui:-" Pourquoi?"

Moi:-" Parce que je te le demande."

Lui:-" Et si je continuerais? Tu ferais quoi?"

Je le regarde en lui montrant que son attitude et idiote. Je monte pour aller en direction de la chambre, je suis soulagée de voir qu'il va dans la pièce à côté de ma chambre et qu'il ne rentre pas avec moi.
J'ouvre la fenêtre, le soleil tape sur ma peau et je sens qu'il commence à me brûler,...
Soudain je remarque qu'il y aurait moyen que je m'échappe par la chambre. Si je mets mes pieds et que je m'accroche avec mes mains sur les rebords des fenêtres il y a possibilité que je réussisse.
Je l'entends descendre et je choisi se moment précis pour m'enfuir.

*

William:

Elle a refusé que je l'a prenne dans mes bras.
Pourtant mes intentions n'étaient pas mauvaises. Je suis allé dans ma chambre un petit moment pour passer un appel. Amélie est dans sa chambre.
Après l'appel je descends. Je me dirige vers mon jardin pour profiter du soleil,...
Je remarque quelque chose sur la façade,... LA PESTE!
Elle est occupée à descendre la façade pour essayer de s'échapper.

Moi:-" TU COMTES ALLER OÙ COMME ÇA !"

Elle sursaute elle n'est plus qu'à 4 mètres du sol.
Elle me jette un coup d'oeil et reviens sur la terre ferme elle se met à faire un sprint vers la voiture. Mais qu'est qu'elle fout? Elle a pas la clé,...

*

Amélie :

Bon la façade c'était la pire idée du siècle j'ai glissé et mon genoux est entaillé assez profondément. Je cours vers la voiture mais je n'ai pas la clé!
Il est derrière moi et me regarde mi amusé mi en colère.
Il me prend comme un sac de patate et m'emmène dans sa chambre.
Je le frappe pour qu'il me lâche mais rien y fait. Il me regarde et ferme la porte à clé alors que nous sommes tout deux dans la chambre.
Ça ne me rassure pas beaucoup,...
Il observe mes genoux, surtout celui de gauche:

-" TU VAS FINIR PAR TE TUER À LA FIN!"

Je baisse les yeux, il me hurle dessus et je dois dire qu'il est impressionnant.
Je recule.

Lui:-" Viens ici,... je vais soigner ça,...!!"

Moi:-" Je viens si tu arrêtes de me crier dessus!"

Il lève les yeux au ciel.
Je m'approche et nous rentrons dans sa salle de bain. La baignoire incrustée au sol est encore plus grande que celle de la chambre d'à côté,...

Il prend une trousse et se retourne vers moi.

Lui:-" Tu vas devoir retirer ton pantalon."