J'étais happée dans ses yeux,
Il m'envahirent et me mirent en feu.
Mon cœur s'emballait de les voir.
Je m'y voyais, ils sont mes miroirs.Mes deux merveilles sans pareilles,
Je m'enfonçais dans leur beauté.
Je ne pouvais y échapper,
Ces deux prunelles, de ce regard me réveille.Ténébreuses et intenses,
Je n'y vois qu'une danse,
Le gouffre de ton âme dans la mienne,
Et je souhaite que jamais personne n'y vienne.Nos deux êtres uniquement,
Ils se connectent de cette passion,
Et à travers ce croisement, une union,
De cet amour qui durera éternellement.