Ames dominantes

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La dernière parole de l'homme me donnait un peu de courage, ma mère était encore vivante, emprisonné, certe, mais bien vivante, et j'irai le délivrer. J'allais partir pour pofiner mon plan et pour trouver leurs base quand le nez du renard, qui n'avait pas bougé de toute la discution, bougea dans ma direction. Le vent avait changer sans que je m'en apperçoive et le renard avait eu part de mon odeur. Merde...

*^*

D'un même geste les deux autre méthmorphes se retournairent vers ma position. Mon sang se glaça devant ce septacle. J'eu a peine le temps de cligner des yeux que les deux hommes s'étaient transformer, l'un un loup gris et l'autre un puma. Je me retourna à toute vitesse et me lança dans une course sans merci, le but ? Sauver ma peau coute que coute ...

Je m'élançais à toute vitesse entre les arbres, les feuilles mortes volaient autour de moi, l'effet de discretion ne servait plus à rien et j'en avais bien conscience, tous ce qui importais maintenant était de partir. Je gagnais en vitesse et distançais considérablement mes ennemis.

Au bout d'une heure à m'enfuire dans la forêt je ne flairais plus leurs odeurs et décidais de m'arrêter. Je n'avais aucun coin pour dormir, aucun repas et pas d'eau non plus. Je trouvais un petit renfoncement qui serait mon coin pour dormir, je mémorisais cet endroit et me mis à chercher de l'eau. Je trouvais non loin de la un petit ruisseau et y bu. Cepandent mon estomac criait toujours famine.

-Nous allons allez chasser.

-Comment peux-tu savoir si ce que tu chasses n'est pas un méthamorphe ?

-Les méthamorphes ont une odeur particulière, on ne peux pas les confondre...

Après cette courte discution nous partîmes chansser.

*^*

Cela faisait plusieurs jours que j'étais coinsée dans cette forêt, je m'étais nourrie principalement de petit ras et de lain, malheureusement une bête de mon envergure avais besoin de beaucoup plus que de quelques ras. Bien qu'aillant vécu ces derniers jours sur ses réserves, Tempête commençais à avoir faim, je le sentais, et moi aussi j'avais faim. Je marchais encore et encore dans cette interminable forêt, je n'avais pas spécialement de but. Je devais méloigner le plus possible des méthamorphes me voulant du mal. Foncé dans le tas m'aurait bien plus, j'aurais pus me bagarer mais je ne voilais pas la face pour autant, je savais que j'aurais perdu, ils étaient surement plus nombreux que moi. Je devais avoir un plan parfait, mais pour cela je devais me faire oublier quelques temps.

Soudain le vent changea et je sentis de nouvelle odeur.
Putain mais c'est pas croyable il change tous les 2 secondes...
Ils étaient partous, où que j'aille j'en rencontrerai forcément un. Je commençais à paniquer regardant de tous côter pour savoir d'où proviendrai le danger , je sentais qu'ils se raprochaient inexorablement de moi.
Par où allais-je fuir? Je commençais à les voirs, ils sortaient des buissons me lançant des regards méchants, certains sous forme annimal, d'autre sous formes humaine. Ils me grognaient dessus. Je n'étais clairement pas la bienvenue, je compris assez vite que j'étais sur leurs territoirs.
Nan ? Tu penses? Moi franchement je penses pas hein, c'est vrai qu'un accueil aussi chaleureux on en vois tous les jours...
Je ne pouvais pas faire marche arrières, toutes issues avients été soigneusement bloquées. Ils s'arrêtèrent en faisant un cercle d'une trentaines de mêtres. Comment avais-je fais pour ne pas les sentir avant ? Un loup s'avança vers moi, les babines retrousser, les oreilles en arrières. Je sentais de l'assurance sur lui, il devait être sur de gagner. Peut être a t-il raison, après tout je ne me suis jamis battue sous cette fome et j'ai beaucoup à apprendre.

-laisse moi le controle, je vais lui montrer qui es le patron.

-je veux juste que tu ne le tue pas, je ne suis pas une meurtrière et je ne veux pas être considéré comme tel.

-comme tu voudras.

Je me retouvais spectatrice de mes acts, je pouvais voir, entendre, sentire la contaction de mes muscles, mais je ne les contrôlais pas.

PDV Tempête:

Je relevais la tête et grognais fortement en dévoilant mes cros, je vis de la peur passer dans les yeux du loup, juste quelque seconde, mais je l'ai vu. Je redoublai mes grognements, plus forts, plus froid, plus dominants. Je sortais mes griffes et bandais mes muscles. Mes oreilles plaqués en arrières retenaient cepandent chaque sons, chaque batements de coeurs, et justement ceux de mon adversaire avaient justement augmenté, il s'était légèrement penché en avant et avait bandé ses muscles des pattes arrières. Il voulait surement me sauter sur le dos. Il sauta et au dernier moment j'esquivais à droite, lui lassérant au passage le flan gauche. Le loup s'écrasa au sol dans un couinement aïgue. Je m'écarta de lui et me mis en face de lui, attendant qu'il récupère. Oui je me foutais ouvertement de lui...
Il se relève rapidement et me fait face avec un regard hainneux. Puis il contract ses muscles et s'élance sur ma gauche, avant qu'il n'est pu mordre ma pattes avant guache je lui envoie la droite dans le museau, en faisant bien attention à lui griffer la truffe au passage. Encore une fois je m'écartais de lui en replaçant a bonne distance. Ce louveteaux commençait serieusement à me tapper sur le systhème. L'interresser se releva et courrut vers moi avec l'intention plus qu'évidente de me sauter dessus, je me dégagea vers la gauche et le percuta violemment, sous l'effet du choc il roula sur deux mêtres. Avant qu'il ne puisse se remetre debout je plaçais mes grosses pattes sur sa cage toracique et lui administra un rugissement plus que féroce. Le loup repartis la queue entre les jambes.

Alors que je penssais que la démonstation allait s'arrêter la, un pûma sortis du lot, il ne comprenne vraiment rien à rien. Mon adversaire me considéra avec un air hautain avant de grogner fortement. Il me fit son petit manège auquel je ne répondis pas pour le provoquer. Je lui manquais volontairement de respect pour le faire sortir de ses gongs. Le pûma, énervé de n'avoir aucune réponse, grogna plus fortement , pour toute réponse je baillais tout en le regardant.
Il dut surment les prendre très mal puisqu'il se dirigea à toute vitesse sur moi. C'est une énorme erreur, il ne faut jamais attaquer quand on a pas de plan. Il me chargea et je l'esquiva avec une facilité déconcertante. Je jouea au chat et à la souris pendant plusieurs minutes, j'en eu vite marre, et d'une patte je le mis à terre. Je lui griffais le ventre, pas assez profondément pour qu'il meure mais assez pour le mêtre hors d'états de nuir. Deux méthamorphes le prirent et l'emenèrent hors du cercle. Alors qu'un énième méthamorphe allait venir m'affronter une aura puissante les firrent baisser la tête, je résistais pour ne pas m'incliner en sortant également la mienne.

Le cercle fut rompu et un tigre blanc apparut, il me dépassait d'une dizaine de centimètres. Ses yeux étaient rouge sang, je ressentis d'étrange frissons puis une douce chaleure. Un petit fil doré fin et luisant nous relia pendant une demis-seconde puis disparrut. Je compris immédiatement ce qui vennait de se passer.

-MIENNE

-MIEN

Notre voix, bien que roque à cause de notre forme animale, claqua. Nous nous jaugeons du regard, aucun des deux ne voulant se soumêtre à l'autre, notre nature nous l'interdissait. Lorsqu'un couple se crée chez les méthamorphes, surtout chez les dominants, il y avait souvent un dominants et un dominé, cela ne nous empêchaient en aucun cas de nous aimer, c'était juste une sorte de règle bizarre. Nous devions montré notre côter dominant.

Nous nous défions du regard, feulant et grognant, la tension montait d'un cran. Aucun de nous deux ne voulait céder. L'humain avait laissé pleinement place au tigre, puis d'un coup il chargea. Les grognements reprirent plus férossements, plus dominants, nos corps se frôlaient, s'attiraient et se distançaient, une sorte de dance s'entreprit, une dance strictement animal. Les poils volaient, les griffes s'entrechoquaient. Je vis une ouverture et fondis vers sa nuque pour imposer ma marque, je ne compris que trop tard qu'il s'agissait d'une ruse. Les cros du tigre se refermèrent sur mon coup, cette marque ne sevait pas à tué, juste un signe d'appartenance. Quand il eut fini je fit de même. La première étape avait été faite, nous nous étions reconnu en tant qu'âmes-soeurs et le marquage animal avait été effectuer.

Maintenant nous allons voir si nos parts humaines allaient s'accepter...

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 09, 2020 ⏰

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Féline Suprême Où les histoires vivent. Découvrez maintenant