Cette histoire peut contenir des scènes sexuelles, un langage cru, de l'inceste, des travestis et des scènes violentes. Merci de ne pas signaler. ------------
Le regard perdu dans la rue que je voyais à travers la fenêtre de l'amphithéâtre, j'essayais de tuer le temps, les cours ne m'intéressant pas plus que ça.
Les cours en amphi' ne sont clairement pas les meilleures et je cherchais toujours une distraction pendant ceux-ci.
Et aujourd'hui ne fut pas l'exception.
Mais regarder dans le vide commençait à devenir lassant, pour cause, le paysage restera le même, aussi longtemps que je le regarde pendant ces deux heures à venir.
Je souffle doucement, longuement et finalement, me met à fouiller dans mon sac à la recherche de mon téléphone.
En vain.
Et alors que je m'apprêtais à m'endormir, mes deux bras enroulés et prêt à accueillir ma tête lourde d'ennuie, la porte s'ouvre dans un grand fracas sur un garçon de mon âge, le visage inquiet et désolé.
Moi qui ne pensais le voir qu'à la bibliothèque, je me trompais royalement.
Il était là, à la porte de ma classe. Ses cheveux argenté faisant tourner plus d'une tête.
Il avançait doucement vers le prof, ce dernier ayant dit à notre nouvel élève d'entrer.
Il portait encore cette fois, l'une de ses jupes simples, noire qui lui vont si bien et un t-shirt à manches courtes.
Et encore une fois, alors qu'il s'excusais auprès du prof, lui donnant mille et une explications, il remplaça ses cheveux derrières ses oreilles à l'aide de son index délicat, aujourd'hui entouré d'un pensement brun.
Ses jours rougissantes, il tourne finalement sa tête vers l'ensemble de la classe.
Son regard se balade sur chacune des rangées et quand, enfin, nos yeux se croisent, je lui fais un sourire accompagné d'un signe lui intimant de s'approcher.
Rapidement, il trottine jusqu'à sa nouvelle place, s'arrêtant tout de même à côté de la table.
Sûrement était-ce une manière de demander l'autorisation.
Delà, je tapote la place à mes côtés et il s'assoit doucement, calmement.
Je peux enfin sentir son odeur.
Comme je la pensais, douce.
Vous auriez dû vous en douter.
Depuis le début, je ne fais qu'utiliser cet adjectif pour le représenter, et je ne m'arrêterai pas, parce qu'il est là douceur même, frère d'Eros, fils d'Aphrodite, il est toutes les vertus mélanger.
Je ne saurai dire tout ce qu'il représente à mes yeux.
C'est quand il m'adresse la parole que je pu définitivement mourir de plaisir
<< Je... Je m'appelle Yoongi. Heureux de te rencontrer >>
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