Il grognait. Il était seul, dans cette chambre d'auberge miteuse alors qu'il vient de subir la meilleure partie de jambe en l'air de sa vie. Jamais il n'aurait cru être autant insulté de la sorte. C'est en se redressant qu'il gémit, il ne l'avait pas raté. Le sperme qui coule entre ses jambes le fait rougir alors d'un mouvement de baguette, il se nettoya. Ses vêtements au sol, il grogne alors qu'il doit se plier pour les ramasser. Une fois avoir bataillé pour s'habiller sans trop de douleurs, il sort de cette chambre et découvre avec horreur qu'il devait rentrer beaucoup plutôt à Poudlard. C'était une petite sortie, pas trois jours à pré-au-lard. Il va se faire disputer, il en était sûr.
Alors qu'il sort de l'auberge pour retourner au château, Snape se tenait devant la porte des Trois balais, prêt à entré. Au vus de son regard, on voyait bien qu'il allait hurler de colère, cependant, le professeur n'en eut pas l'occasion de le faire car ses parents venaient de transplané juste à côté de celui-ci. C'était Narcissa, qui prend la parole la première.
- Par Merlin Draco où étais-tu ?! Dit-elle ayant une pointe d'inquiétude dans sa voix.
- Je... En fait je...Ses joues avait pris une jolie teinte rouge, comment dire à ses parents qu'il avait passer une merveilleuse nuit dans les bras d'un magnifique noiraud au corps à damner un saint ? Impossible de leurs avoué.
-Ta façon de t'exprimer m'étonne Draco. Gronde Lucius.
-J'étais fatigué père et je.. J'ai été me couché à l'auberge. J'ai crus avoir du temps pour.. Enfin pour revenir. Mentis le blond.Alors que Lucius allait crier sur son fils devant tout le monde, Snape prend la parole d'une voix froide et sèche.
- Plus de peur que de mal au final. Expose Severus faiblement. Tu devrais rentrer dans ton dortoir Draco, je t'accompagne.
Lucius fronce les sourcils, mais Snape ne prend pas attention à lui et saisis le bras du blond pour transplaner devant les portes du château. De là, ils marchèrent vers la grande salle là ou attend McGonagall inquiète. Un silence de plomb, voilà se qu'il se passait lors de leurs marches. Bizarrement, Draco n'était plus en colère contre Snape de lui avoir voler Harry. Finalement, il passait plus son temps à penser au noiraud qu'au survivant. Était-ce une bonne idée ? Il n'en savais rien. Mais en tout les cas, cette nuit a changer quelque chose pour Draco. Il voulait à nouveau goûter à cette plénitude, cette protection et cet amour ressenti lors de l'étreinte avec Aloïs.
- Où étiez-vous ? Demande McGonagall en fronçant les sourcils.
- Il était au Trois Balais. Annonce Snape d'un air froid.McGonagall ne pose aucune autre question et laisse les deux hommes entrés, toujours dans un silence gênant. En observant le directeur, Draco se sent coupable. Il l'avait inquiéter aussi apparemment au vue de son regard. Il était à sa fin d'année de cinquième et avait presque terminer ses examens, se n'était pas le moment pour lui de déconner. En s'asseyant à la table des serpentards et ne prête pas attention aux interrogations de ses amis. Il ne voulait pas leurs dire se qu'il s'était passé. Draco voulait garder cette magnifique soirée que pour lui, comme un secret.
Le regard de Blaise fis soupirer Draco, il savait que celui-ci allait lui poser pleins de questions. Seulement le blond ne se sentait pas prêt à tout lui raconter. En prenant le temps de manger, Draco ignore royalement Blaise qui essayait de lui parler.
C'est seulement dans la salle commune, seul, que Blaise prend la parole.
- Il s'est passer quoi avec se mec Draco ?! Explose Blaise.
Draco observe son ami et finit par soupirer, il était lasser de devoir tout lui dire.
- Rien Blaise. Je me suis juste senti fatigué et j'ai été dormir au Trois Balais.
- Juste dormir ? Tu te fous de moi. Par Merlin Draco, j'ai vus comment vous vous bouffiez du regard. Alors ne me dis pas que vous avez simplement discuter.
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Youngblood. []Réécriture[]
Fiksi PenggemarIl avait croisé son doux regard au Chaudron Baveur. Ce simple contact à distance avait produit chez Draco Malfoy un sentiment intense. L'amour. Cet homme, cet inconnu, lui avait donné avec un simple regard un gonflement dans la poitrine. Ne sachant...