Première fois.

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Des semaines sont passées, nous venions à peine de célébrer les funérailles de Maman. 2 ans déjà. Papa et Claire sa copine s'entendent de moins en moins. Claire est plutôt une jeune belle femme. A peine 28 ans, elle vient de terminer ses études à Isma. Le genre de fille de Bonaberi qui bien qu'étant allée à l'école avait une vie pas très saine. Réputée pour être une des chaudasses du quartier. Celle qu'on voyait seulement dans les coins luxueux, boites, restos... bref les pimentieres quoi. Papa s'était chargé de sa scolarité. Il faut avouer que ce vieux chaud gars bien qu'attaché a la vie mondaine qu'il s'offrait grâce à ses revenus assez multiples, ne s'amusait pas avec les études de ceux qui lui étaient proches. Encore plus ceux de celle qui partageait ses nuits. Il avait bataillé pour que cette « Slay queen » star d'instagram puisse terminer ses études et avoir un background assez fourni. Nous habitions un quartier plutôt paisible et nous étions connus de tous les riverains. Les enfants de « Nguila ». Nguila est un mot en langue Duala qui signifie lion. Ainsi surnomait on mon daron dans le quartier du fait non de sa fortune, encore moins de notre maison à l'architecture assez extraordinaire dessiné par Papa lui même. Eh oui ce vieux balourd est une mastodonte des BTP, qui rajoute à cette profession un diplôme d'Ingenieur architecte. Le lion lui avait été attribué a cause de ses multiples conquêtes en tant que jeune dans le quartier. Maman elle même en était une, sauf que Dieu sachant comment il fait ses choses, il est calé. Elle a supporté ses nombreuses frasques et lui aussi su faire abstraction de ses caprices. Ils se sont mariés à l'âge très jeune de Maman : 21 ans. Ma grand mère me disait même que c'était presqu'un coup de mon père car mon grand père n'aurait jamais accepté une grossesse sans mariage. Maman s'est mariée avec Latanya dans le ventre. A en voir les photos elle était si belle. Papa lui venait d'amorcer la trentaine et avait un boulot d'assistant dans un cabinet d'architecte. Mon grand père Paternel les accueillit dans sa maison si grande et ils y vécurent jusqu'à la naissance de Hugo mon frère aîné. Malheureusement il n'a pas tenu longtemps. A peine 2 ans sur terre, il fut arraché à la vie après une longue maladie. Les mauvaises langues ont dit que Papa l'avait placé devant, car par coïncidence juste après la mort de Hugo, les affaires de Papa ont commencé à prospérer, s'en suivirent la création d'entreprises, l'acquisition de terrain, l'agrandissement de la maison des grands parents, et le terrain derrière il battit la sienne, du moins la notre.
Claire était une femme assez voluptueuse, soignée et classe. Son compte bancaire assez fourni par les soins de mon père y favorisait beaucoup. Elle roulait dans une Mercedes coupée que Papa lui avait offerte pour son 27e anniversaire. Dans le quartier elle était beaucoup admirée surtout des jeunes filles qui voulaient lui ressembler surtout sans faire trop d'effort. Elle déjà, n'en avait pas fait. Elle était la « njomba » de Papa jusqu'à ce que Maman le découvre et ne puisse plus le supporter. On comprend bien pourquoi Latanya et elle c'était l'eau et le feu. D'autant plus que l'écart d'âge entre elles était de 6 ans. Du haut de ses 57 ans Papa parvenait mal à gérer cela. Bien heureusement il est plus un parent qu'un copain. Sa relation avec Claire battait de l'aile. Toutefois il avait toqué déjà à la porte de ses parents. En Afrique et particulièrement chez les Camerounais Bantous, toquer à la porte est un prélude du mariage donc il ne pouvait la mettre dehors n'importe comment, en plus elle était paradoxalement proche de Carnelia ma sœur cadette (Maman est partie, elle avait à peine 4 ans elle a grandi avec Claire comme Maman), et enfin l'image de Papa en dépendait.
- Roberto ? Où est passée la clé de ma voiture ?
- Toi et moi on conduit souvent ça ensemble la mère ?
- Tu me parles sur un autre ton d'accord ? Si je te le demande c'est parce que je sais que tu conduis déjà et je la cherche depuis ce matin. Ton père n'étant pas là...
- Calme toi et cherche mieux.
Claire c'est une vraie slay queen. Strass paillettes, réseaux sociaux. La cerise sur le gâteau, ce qui est commun à toutes ses influenceuses c'est que parfois elles ont le cerveau défaillant. Elles sont embrouillées, juste concentrées sur le MakeUp, le prix des tenues, les dernières sorties en terme de technologies et les bouteilles de liqueurs cher. Dans le jargon de la ville, elles sont généralement appelées Pimentieres. Et sans langue de bois les copines de Claire sont très souvent celles dont les noms ressortent des bouches des gars du système. J'ose croire que si ce n'était pas Papa, elle même aurait eu ses histoires de jambes en l'air étalées sur la place publique.
- Tiens voilà tes clés, elles étaient dans l'évier de la cuisine.
- Akieeee, elles ont fait comment pour s'y retrouver ? Toutefacons Merci mon chéri je sais pas comment j'aurais fais si je les avais pas retrouvées. Pose les sur la table.
Je dépose les clés et je ressors de la chambre de mon père. Claire est entrain de se maquiller, il est 20h passées nous sommes Samedi, Papa est en voyage de travail à Paris. De plus il a déjà appelé tout à l'heure. Il a parlé avec tout le monde et nous a dis bonsoir. Le chat n'étant pas là, la souris danse. De plus c'est mieux ainsi, devoir la supporter quand Papa n'est pas là est insupportable surtout pour Latanya. Carnelia est chez Mémé, elle y passe le week end. Je finis de ranger la cuisine car ce soir j'ai fais des pancakes au nutella, et des cocktails vodka orange. J'ai 18 ans dans quelques mois j'ai pas le droit de boire en public mais à la maison...
- Hmmmm! Ça sent bon. Dommage que je sois sur régime. Mais je peux faire une exception devant ces délices. C'est toi qui les as fais ?
- oui oui. Répondis je avec un air assez énervé. Elle venait de diminuer ma quantité de pancakes.
- Je t'en fais demain d'accord mon chéri.
- Ok... une promesse est une dette.
- T'inquiète chéri.
-Mmmmoouuuaaa.... oups
- WoW Claire...
Claire et moi on venait de se smacker. Elle voulait me remercier pour les pancakes. Et en tournant la tête nos lèvres se sont touchées. Son rouge a lèvre matte ne quittant pas elle n'a pas eu à le refaire. Elle sortit aussitôt gênée. Elle démarra sa voiture, le gardien lui ouvrit et elle partit. Je restais stupéfait sur la chaise, assis devant mon plat de pancakes. Le parfum de Claire si doux continuait de se jeter sur mon nez. Je ressentais encore ses lèvres sur les miennes. Faut dire qu'elles sont plutôt pulpeuses et  assez douces. J'y repense toute la nuit. Dimanche après le culte, je trouve en plus du repas dominical, des pancakes faits par Claire. En général le dimanche on mange chez Mémé, mais Claire avait fait venir Tantine Mado la femme de ménage pour cuisiner.  Latanya est sortie avec ses copines et a prévenu qu'elle dormirait chez Mémé. Elle a cours en général entre Jeudi et Dimanche, de plus elle a pris des affaires à Carnelia pour la conduire à l'école le matin. Nous sommes donc seuls Claire et moi. Je reste dans mon coin pour éviter de me frictionner à elle d'autant plus encore avec le baiser malheureux d'hier. Je l'entends rire aux éclats. Et à un moment elle descend dans ma chambre et me passe Papa. Nous avons discuté un moment puis je suis retourné dans mes cahiers et elle, à l'étage. Il est 22h et le bacc c'est dans 3 semaines. Nous sommes donc déjà à la maison pour le préparer. J'ai révisé toute la journée après l'église et je décide de faire un break avant de reprendre. Je vais donc me chercher des pancakes et trouve Claire de dos dans la cuisine AirPods aux oreilles, nuisette transparente et string entrain de manger sur la paillasse. Le spectacle est tétanisant. Et mon caleçon anglais commençait à dessiner mon phallus qui s'érigeait du fait de mes pensées d'ado puceau. Hors mis de Pornhub j'avais jamais eu cette vue en réalité. Je me perds dans mes pensées fantasmatiques au point d'oublier ce pourquoi j'etais venu : les pancakes. Claire aperçut mon ombre et sursauta. Aussitôt elle se retourna et me jeta un regard assez intrigant. Son expression faciale devint comme celle d'une petite fille qui avait vu une poupée, un sourire lui vint sur le bout des lèvres. Et de son doigt elle m'indiqua que mon organe avait passé le bouton de caleçon. J'étais aussitôt gêné je fis mine de vouloir le ranger entre mes jambes.
- T es déjà un homme woww. Elle a de la chance ta copine.
Assez gênée je lui réponds
- oui oui quand même.
- Est ce qu'elle le sait ? Me le demande t-elle en s'approchant de moi.
J'étais torse nu. Faut dire qu'avec mon rythme de sport j'ai plutôt une belle carrure.
- Dommage que je sois la femme de ton père et que tu sois un peu petit pour moi.
Claire passe devant moi bien sûr en me touchant de l'épaule et remonte dans sa chambre et moi je reste dans la cuisine, stupéfait, et tout excité. J'ai un mètre 85. Claire a la même taille que ma soeur Soit 20 Cm de moins que moi. Même sur talons elle me regarde en levant la tête. Ses courbes aussi aguicheuses telle une guitare. Elle a un derrière assez volumineux et une peau tellement douce. C'est un sacré sex-symbol. Honnêtement elle n'a rien à envier à une Nicki Minaj. En plus elle est jolie. J'étais donc devant mon fantasme.
Je retourne dans ma chambre choqué de ce qui vient de se passer je ferme la porte pas à clé. Et aussitôt je me mets sur pornhub. Dans la barre de recherche je remplis les champs correspondants au profil de Claire. Je tombe sur un. Je cherche mon lait de toilette et une serviette propre. Mon phallus est à son pic. Jamais moi même je ne l'avais senti aussi dur. Main droite avec mon téléphone, écouteurs aux oreilles, main gauche lubrifié de lait de toilettes, on peut se mettre bien. Ma séance est assez passionnante jusqu'à ce que je vois Claire devant moi. J'ai pensé que je rêvais d'abord. J'enlève mes écouteurs et je pose mon tel. Ma main est toujours sur ma bite. 
- Et si tout ceci restait entre nous.
- euuuhh
- Tais toi. Ne dis rien. Me dit elle.
Claire nettoie le lait de toilette sur mon engin avec la serviette qui était juste à côté.
Elle le prit dans ses mains ensuite et me suça. Seigneur ses lèvres pulpeuses sur mon bâton je les sentais. C'était digne de ce que je voyais souvent sur mon écran sur tous les sites pornos. Elle finit et laissa plein de salive dessus. J'étais sur que cen était terminé. J'étais quand même un peu déçu. J'étais bouché bé. Je pris le briquet au chevet de mon lit et je l'alluma pour me brûler histoire de réaliser ce que j'étais entrain de vivre. Claire enleva sa nuisette, je la contemplais.
- Seigneur Jesus. Je rêve. M'exclamais je ne me tenant le visage.
Ses seins gros et debout, ses tétons aussi épais que des dés de Monopoly. Ses hanches rentraient. J'avais une guitare humaine devant moi. J'avais beyoncé devant moi. Elle vint sur mon lit, monta sur moi, mit son string de côté. Et je sentis une chaleur assez inhabituelle. Elle mouillait grave, puis quand elle a introduit mon engin jusqu'au fond d'elle. Je l'ai senti gémir aussi fort. Tout était comme sur mon écran. Une fois que l'homme met sa pièce dans le grenier d'une femme, elle pousse toujours des soupirs bruyants. Après dix va et viens j'ai joui. J'ai joui. C'était ma première fois de jouir sans ma main, et dans une femme. Elle s'était pas rendue compte elle a continué au point de jouir, elle a fait pipi sur moi. « Squirt » je crois c'est comme ça qu'on l'appelle sur Pornhub. Quel baptême! Je venais d'être dépucélé. Et par qui ? Mon fantasme. La copine de Papa. Seigneur...

Obsession mature. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant