Saaaahhhh Quel plaisir!

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Nous sommes mercredi, je suis toujours sur mon petit nuage. Et Claire est de plus en plus distante. Je ne comprenais pas. J'étais intrigué. On s'est fait plaisir tous les deux dimanche dans ma chambre et c'est à peine si tu me jettes un regard ?  Une fois sorti des cours de repets, je retourne aussitôt à la maison. Elle n'est pas là. Du moins sa voiture n'y ait pas. Du coup je rentre me coucher dans ma chambre. J'ai pas changé les draps ni fais le lit, son odeur y est encore. Je revis cet instant à chaque fois que je me couche sur mon lit.  Carnelia aussitôt rapplique, me coupant de mon moment de souvenir de gloire.
- Comment tu vas Roberto ? T'as fais quoi de ta journée ? T as déjà mangé ?
S'en suivirent un tas de questions. Papa la surnomme détective tellement elle pose des questions sur tout ce qu'elle voit et vit. Sans doute elle se familiarise avec son écosystème. Elle a 8 ans c'est le dernier marché de maman. Une princesse. Je tuerai pour elle. Pour Latanya aussi, sauf qu'avant je lui ferai promettre un tas de choses. Papa lui a donné le nom de Carnelia en hommage à la mère de Maman, notre mémé. Pour éviter de l'ennuyer, je m'installe avec elle dans le salon, et je mis un netflix pour enfant, histoire qu'elle s'épanouisse. Netflix, sur mes genoux et le dos contre ma poitrine, elle n'a même pas fait trente minutes. Elle s'endormit direct. Moi même d'ailleurs. C'est Tantine Mado en rentrant qui vint me réveiller pour que je puisse fermer le portail. Peu de temps après je remonte Carnelia toujours endormie dans sa chambre. En sortant j'entrevois la chambre de Papa entre ouverte, étonnant Papa n'est pas là et Claire, j'ai pas vu sa voiture en bas. J'entre dans la chambre, un Arsenal de lingerie fines sur le lit. Puis quand je veux ressortir j'entends la musique dans la salle d'eau à l'autre bout de la chambre. J'ouvre et je trouve Claire dans la baignoire.
- ouppss pardon je pensais pas que tu étais là. J'ai pas vu ta voiture en bas désolé.
- Referme derrière toi.
- pardon ?
- Entre et tu fermes derrière toi.
J'exécute et je ferme.
- Tout d'abord je tiens à éclaircir les choses. Il ne s'est rien passé. Ok ???
- Compte sur moi.
- Toutes façons ton père ne te croira jamais. Il sait que tu es bien trop mou et pas courageux du tout.
En effet, un soir j'ai ramené une amie avec qui j'entrevoyais une relation extra amicale à la maison, j'étais tellement crispé a un point où  c'est Papa une fois rentré du travail, qui dut me faire comprendre qu'il fallait lui proposer à boire, j'étais tellement novice. Dans ma bande d'amis je me faisais passer pour un dur fuckboy. Et pourtant j'avais jamais connu de V.
- Son fils a drôlement grandi dans ce cas. M'exclamais je.
- Cest le moins qu'on puisse dire. Rétorqua Claire. En passant j'ai aimé. C'était différent de ce que j'ai connu avec d'autres et notamment ton père. Ta copine est vraiment chanceuse.
- Lol, j'ai pas de copines Claire.
- Comment ça ? Donc tu es de ceux qui s'amusent juste avec les filles des gens ici dehors ? Tous les mêmes vraiment quel que soit l'âge.
- J'ai eu des amoureuses auparavant, et notamment Simone quand j'étais en troisième. Mais rien ne s'est passé.
- Tu veux me faire croire que tu etais puceau ?
Elle se mit à percer mon regard tout en acquiesçant un sourire qui laissait apparaître sa stupéfaction. Elle sortit aussitôt de la baignoire. J'avais une deuxième fois la vue sur cette courbe et cette carrure dévêtues. Quelle femme! Bien qu'elle et moi étions montés au 7e ciel récemment, j'étais toujours ébahi comme si c'était la première fois. Pepito commençait à se lever et à cogner les parois de la fermeture de mon Jean Lévis. Le mec avait une fois de plus passer le bouton du calecon Calvin Klein.
- Va falloir t'habituer à me voir nue Roberto.
Elle coupa mes pensées Dorceliques qui creeaient l'embouteillage dans ma tête.
- Claire, tu es la copine de mon père.
- Tu ne l'as pas réalisé quand tu claquais mes fesses dimanche ?
- Si mais c'était plus fort que moi.
- Et maintenant ? Ça l'est moins ? Donc comme ça, c'est moi qui t'ai depucelé.
J'hésite à lui répondre, Claire s'approche de moi. Son corps tout nu, et si bien dessiné par Dieu telle une déesse me fit perdre ma lucidité. Mes pensées s'embourbèrent à nouveau, j'arrivais pas à réaliser une fois de plus ce qui se passait, ou allait se passer. Claire se mit à genoux. Je pouvais contempler sa tête coiffée. Une greffe sûrement brésilienne, qui lui tombait jusqu'au bas du dos. Une des plus chère sûrement. Claire pouvait se l'offrir. Papa c'est pas quand même un petit. Ses mains douces, soignées et ses doigts embellis d'une manucure blanc rosé avec des cristaux d'apparence sur les annulaires, me tâtèrent l'entrejambe. Elle le sentait durcir. Elle déboutonna mon Jean, puis le descendit en même temps que mon Calvin Klein. Il était là devant ses yeux et sur son nez. Dagobert, tellement droit qu'on aurait dit qu'il faisait un salut « Nazi ». Elle le prit dans ses mains, le couvra de baisers, puis de salive. Elle m'a sucé, en caressant du bout de ses ongles mes bourses. Devant le miroir de la salle de bain, j'écarquille mes yeux pour me rendre compte de ce qui se passe. Mais le spectacle sur le miroir me montre une femme à genoux devant un homme qui a pris appui sur le lavabo. L'homme c'était moi. Et la femme c'était la copine de papa. Au moment de prendre conscience Claire se releva et se pencha vers l'avant. J'avais une vue arrière d'elle. Le champ visuel était tellement beau. Elle avait des tatouages. J'avais déjà remarqué celui sur son poignet. J'en ai découvert d'autres. Une rose sur la fesse gauche, des lèvres de femmes avec un bonbon entre les dents et de la salive dégoulinante sur la droite, un autre dessin dont je ne connaissais la nature sur le bas du dos séparant le dos des fesses, et un dernier le plus grand et le plus beau cupidon avec ses ailes et sa flèche si grand qu'il recouvrait la moitié du dos de Claire. Ma vue était tellement belle que contrairement à Dimanche je pouvais contempler ses levres, avec des poils mi rasés, telle une barbe 3 jours après le rasage. Elle dirigea Dagobert tout droit dans sa cave. J'avais envie d'elle. Et elle aussi de moi. On l'a fait. J'ai juste répété ce que je vois sur mon téléphone quand l'homme prenait une femme en levrette. J'étais tellement dur que Claire en tremblait. Mes aller et retour la poussaient vers l'avant, mais je retenais ses bras pour ne pas la laisser s'échapper. Elle était à ma merci. Je répétais exactement tout ce que j'avais appris sur Ponrhub, tel un apprenti charpentier qui s'exerçait sur un bois blanc que son maître lui avait donné. Les gémissements de Claire assez bruyants et d'un ton élevé n'ont pas suffit pour réveiller Carnelia Dieu merci. J'ai déposé ma semence sur son dos, puis nous avons continué à genoux. Elle, mettant ses mains sur les bords de la baignoire et moi prenant contrôle de ses hanches. Plus je l'entendais, plus je cognais en plus au point où elle me stoppa presqu'en me suppliant.
- Miiiinceee je me sens plus mes jambes.
J'étais en sueur et feu. Je sentais le deuxième tour de semences venir. J'allais pas prendre mes mains alors que j'avais mon fantasme devant moi.
- Viens là...
Je tire Claire vers moi. Je la vois reprendre son souffle petit à petit. Et je constate effectivement que son organe tremble en plus de ses cuisses.
- Non non, S'il te plaît.
Trop tard, j'ai renvoyé Dagobert une fois de plus en mission au point de cracher mon deuxième tour. Claire avait « squirter » à nouveau, comme Dimanche mais en plus. Je la sentais à bout de souffle. Plus elle respirait, plus ce liquide sortait. Elle respirait comme si elle venait de faire un marathon au bout duquel elle a tout donné à la fin. Je la contemplais, allongée sur les carreaux blancs de la salle de bain autant fragile qu'un bébé, si douce et si mignonne qu'elle cherchait juste à s'endormir.
Je ressors de la chambre de mon père et je descends dans la mienne. Je me couche sur mon lit et je réalise ce qui vient de se passer encore. J'ai baisé je ne suis plus puceau. En trois jours je suis passé de Pornhub à la réalité. Et quelle réalité!  J'avais presque 18 ans et je satisfaisais une femme de 28 ans. Dix ans de plus que moi. Et quelle femme! Saaahhhh quel plaisir. Bien que ma conscience me jugeait. C'est la copine de Papa. Je n'arrêtais pas de penser à ce plaisir.

Obsession mature. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant