Survivre au Congo! Christal Clark!( Première Partie)

Chapitre II: (suite)

En fait je voulais garder sa pour moi car papa nous a toujours dit d'éviter les bagares. Et maman dramatise toujours et très vite mais moi je considérais pas sa comme une bagage car on c'est pas cogner dessus.

Sharone: maman tu sais c'est un des grand frère d'un de mes collègues de classe il s'appelle ''djo''
       J'avais juste que ma cadette ferme son clapet, alors je lui lançait le regard le plus noir que j'avais.

Maman: bon allez vous lavez , votre nourriture se trouve à table.

Moi: d'accord maman. C'est moi première dans la douche!

Sharone: c'est ce qu'on verra!
    
    Je rentre  dans la maison en courant direction de la chambre en vitesse je jette mon sac sur le lit tire ma serviette direction la douche, 10 minutes après j'avais finie. De retour dans la chambre pour m'habiller et:

Sharone: la vilaine tricheuse.

Moi: n'importe quoi j'ai pas triché en plus c'était pas interdit de courir. Et j'ai fini donc j'ai gagné

Sharone: oui tu as gagné en trichant .

Moi: c'est pas vrai tu es une mauvaise joyeuse c'est tout.

Dix minutes après j'étais prête et j'avais très faim alors:
Moi: je peux venir manger sur la natte maman s'il te plaît ?

Maman: d'accord.

Moi: merci maman.

10 minutes s'écroulèrent lorsque:

Sharone: s'il te plait maman moi aussi je peux venir manger sur la natte?

Moi: MALADA Ngulu! (Le suivisme).

Maman: OK mais pas de chamailleries c'est claire!?

Sharone: d'accord.

   Notre soirée c'est bien passée et mon père est rentré le soir à pris sa douche et a mangé son repas, on a un peu parler en famille. Maman a Gardée pour elle l'histoire du soit disant combat avec Djo, je lui en suis reconnaissante.
      Deux longues semaines ce sont écroulés et j'allais à l'école comme d'habitude et je ne fais pas attention à Duo et je fais mon possible pour l'éviter,surtout que sa prof est guérie.

   On est samedi et on a pas tous eu cours sauf les classe d'examen la CM2A et la CM2B présentant le BEPC 2012.
On avait tous finis et on rentrait tous chez nous et comme par hasard il avait fallu que Djo emprunte le même chemin que j'empruntai,heureusement je cheminai avec les deux jumelles de ma classe, Rocia et Rosine elles étaient tout deux minces et courtes de tailles.
   En route on parlait de tout et de rien lorsque je vois un petit s'approcher de nous,son visage ne me dit rien et je ne le reconnais pas du tout.

Le petit: yaya!

A qui s'adresse il, avions nous dit.
Le petit: à la yaya du milieu entre vous.
Eh merde il se trouve que c'est moi qui suis au milieu.

Moi: comment ça, moi?

Le petit: oui toi la grande soeur de sharone.

Rosine: Christal, c'est bien de toi qu'il parle.

Moi: d'accord. Qu'est-ce qu'il y a?

Le petit: il y a le yaya la bas qui veut te parler.

  Il pointa du doigt Djo qui me faisait un sourire,direct j'ai baissé ma tête en direction du sol.
Rocia: tu le connais?

Moi: oui il est en CM2B

Rosine: tu sais ce qu'il te veut?

Moi: non je ne sais pas et sa m'intéresse pas.

Rocia: OK mais, nous on te laisse ici car on va emprunter ce chemin.

Elle me montrait un autre chemin de son index dans la direction contraire de celui que j'allais prendre.

Rosine: A lundi christal rentre bien.

Moi: merci.

Rocia: bye fait attention à toi.

Moi: bye les filles rentrées bien.

5 minutes plutard je me retrouvais seul sur le chemin sans les filles. Je me demandais bien ce que sharone pouvait bien faire à cet heure.

Djo : hello! Tu tu veux bien m'attendre?

je me retourne et pas de chance il ne manquait que lui.

Moi: non je ne veux pas, qu'est-ce que tu me veux??

Djo : juste te parler.

Moi: mais moi tu vois je n'ai pas envie de te parler.

  En même temps lorsque je repense à la scène de la chute sur la petite montagne, je ne veux même pas le voir en peinture alors, je me suis mise à marché super vite espérant qu'il change de chemin pour rentré chez lui comme l'on fait les jumelles.
Pendant un moment j'étais fatigué et j'ai voulu me réfugier sous un figuier juste au bord de la rue, lorsque j'avais jeté un coup d'oeil derrière moi, il n'y avait personne, heureusement alors j'avais décidé de m'asseoir un peu sous l'ombre à l'abri du soleil qui frappait fort..

A un moment donné :

- j'ai cru que je n'allait pas te rattraper,  c'est dit la voix.

Je me retourne et:
Moi: encore toi? Tu es un vrai pot de colle c'est sûr.

Djo : hein? N'importe quoi et toi tes deux gardiennes t'ont finalement laissés?

Moi: ce ne sont pas mes gardej'ignorais comment m'y prendre.!

Djo : pourtant elles en avaient l'air à te mettre au milieu comme ça.

Moi: non mais quel toupet! Alors accouche qu'avais tu à me dire?

Djo : je voulais juste m'excuser pour la dernière fois, je ne voulais pas te faire du mal. Je voulais juste être ton ami mais j'ignorais comment m'y prendre.

Moi: la provocation n'était pas le bon chemin d'y arriver pas très malin.

Djo: oui je sais excuse moi.

Moi: d'accord mais je ne veux plus recevoir les boules de Papier.

Djo: OK.

Moi: oui c'est bon.

Djo : merci l'intello.

Moi: arrête avec ce nom je ne l'aime pas du tout!

Djo: oui ok c'est ne crit pas.

Moi: merci. Mais ou es ton sac à dos?

Djo: je l'ai déposé chez moi.

Moi: tu n'habites pas loin alors.

Djo: juste la bas.

   Il m'indique une maison que j'ai eu à apercevoir au loin.
Moi: ok moi je rentre chez moi.

Djo: je peux t'accompagner.

moi: hein? Mais non pourquoi?

Djo: parce qu'on a fait la paix et qu'on est ami.

Moi: quoi, on est ami?

Djo: oui, sa te dérange?

Moi: humm... Sa ne me dérange pas.

Djo: ok, alors quel chemin on prend?

Moi: celui devant toi.

Il me fis un sourire et et se mis à marché. Arriver devant chez moi.

Moi: voila c'est ici.

Djo: oui, je n'oublirais pas où tu habites il suffira juste de me souvenir que la parcelle à pour cloture les plante du tubercules(saka-saka).

Moi: ok, beuh à plus et merci de m'avoir accompagné.

Djo: merci, à toi de m'avoir pardonné.