Chapitre IV: (suite)

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Il faisait encore nuit lorsque nous avons quitté la ville et l'horizon s'eclairciçait peu à peu lorsque l'on s'arreta à l'entrée du champs de maman. Père n'avait guère tord les antilopes sont friandes,il suffisait d'observer la position des boutures de manioc, même l'oseille en avait pris un coup. C'est dans notre champs qu'elles viennent prendre leur petit déjeuner.
    Nous nous sommes cachés les apercevant un peu plus loin. Moi je me suis mise derrière un buisson et papa derrière un arbre tout en évitant de faire le moindre bruit car les antilopes ont une oreilles très fine selon papa. Nous attendîmes ainsi dans le noir accompagné du plus grand silence,un bonne demi-heure. Je regardais dans la direction de papa qui avec ces mains me fit signe de pas bouger et de rester accroupis.

(en fait je manquais de patience,j'en pouvais plus de rester sans bouger).

  Tout à coup ,à l'autre bout ou se situait  les antilopes un  mâle et une femelle débouchèrent entre les plantation dans la direction ou nous étions, elle avait avec prudence, à petit pas, levant  haut leur jolie tête fine. Rien...aucun bruit...elles venaient droit sur nous cueillant ici et la quelques poussés tendres.

    Mon père avec son arme les avait repéré lui aussi. C'est à lui que revient l'honneur de tirer de tout façon je ne pouvais rien j'assistais juste. Son fusil est chargé, sa main gauche tient le canon,sa main droit sur la crosse. L'index est la gâchette et lentement il appuis sa joue,la crosse ferme un oiel vise. Sa bouche fait légèrement une grimace. Les antilopes lancent un pan! Pan! Deux longue flamme s'échappèrent du canon accompagnant les détonations qui font raisonnés la les environ. Une bête est touchée. Elle tournoie, fait un bon énorme sur elle même et tombe inerte. l' autre bête s'enfuie. Papa accourent. C'est le mâle qui a été tué. On le reconnait toute de suit à ses cornes. Un filet de sang coule de sa bouche et se répand sur son pelage roux. Papa attacha ces pattes avec des lianes, puis mon père me fie un signe avec ces mains et je me suis rapproché de plus prêt en l'aidant a le mettre dans le sac qu'il avait porté en chemin sur son dos, l'antilope fut toute entière dedans. En suite nous rentrant triomphants en ville.
(à la maison).

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 22, 2020 ⏰

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Survivre au Congo! Christal Clark!( Première Partie)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant