.chapitre cinq

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❝ CHAPITRE 05 ❞▷ TW : Misogynie, acte non consenti

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CHAPITRE 05
▷ TW : Misogynie, acte non consenti

              Un tout nouveau quotidien, de nouvelles responsabilités, l'héritier principal du clan Zenin se voyait grandir à grand pas

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Un tout nouveau quotidien, de nouvelles responsabilités, l'héritier principal du clan Zenin se voyait grandir à grand pas. Désormais plus puissant que ses grands frères, Naoya avait su se démarquer de tous les Zenin depuis qu'il s'était marié.

Croire que sa femme était son porte-bonheur, il se croyait tout permis dès lors où son père s'absentait, pour mener au doigt et la force les membres du clan Zenin. Bien qu'il en avait une en qui, il vouait une grande admiration, Naoya se permettait de mépriser cette race du nom de femme, qui n'avait nullement sa place dans son cœur.

Sa mère et ses petites cousines n'étaient pas épargnées, et il se croyait si puissant qu'il leur donnait même les directives, au risque de les bannir. Ce comportement méprisant envers les femmes avait aussi vite provoqué des répercussions auprès de la sienne, en plus d'être une Zenin par alliance.

Alors qu'il vivait ses journées heureux à martyriser bon lui semble, Kana n'avait pas le même traitement que lui. Dès lors où elle osait poser un pied hors de cette demeure attitré, elle était persécutée encore plus intensément que dans son clan d'origine, où la misogynie était innée.

Les hommes la rabaissaient à chaque fois où elle croisait leurs regards, et elle était proscrite du soutien des femmes puisque d'après elles, le comportement de Naoya était entièrement de sa responsabilité.

Comme résultat ? L'ex-Takeda fut réduite aux tâches ménagères de son foyer, comme une bonne épouse se devait de faire. Apporter le déjeuner à son mari, nettoyer le sol après son passage, bien d'autres formalités lui étaient imposées, et puisqu'elle n'était pas la bienvenue à l'extérieur, elle souffrait en silence, où le seul moment de bonheur était le suivant, lorsque Naoya rentrait de ses journées en tant qu'héritier.

Ce soir-là, lorsqu'il était rentré, ce fut la première fois en trois mois qu'il se rendit compte du malheur de sa femme, lorsqu'il vit ses petits yeux vairons, débordants de larmes. Aussi vite il était rentré, aussi vite il était agenouillé face au corps recroquevillé de Kana, assise contre le parquet.

𝐉𝐄𝐔𝐗 𝐃𝐀𝐍𝐆𝐄𝐑𝐄𝐔𝐗Où les histoires vivent. Découvrez maintenant