PARTIE 64:
Mois de Décembre, petit à petit je me fais une raison. Ni mes cris, ni mes larmes ne le raméneront à la vie. Mon père? Il m'appel de temps en temps, la mort d'Aymene à mis un frein à ma haine envers mon père.
Pourquoi perdre le temps d'haïr? C'est si bon, c'est si précieux d'aimer. J'ai perdu trop de temps à être haineuse. Trop de gamineries, maintenant je regrette ! Je regrette tellement ! De ne pas avoir profité d'Aymene quand il était encore en vie. Au lieu de se tourné le dos on aurait du en profité !
Maintenant je profite de mes proches au maximum. La douleur est encore là, caché au fond de ma poitrine mais je vis avec. J'ai eût mon permis ça y est.
Selma: J'suis trop contente pour toi, tu t'en sort bien Myriam t'es une fille forte.
Moi: Je réussit enfin dans ma vie et Aymene n'est pas là pour le voir...
Selma: J'suis désolée...
Moi: Tu vois c'est tous ces petits détails qui remue le couteau dans la plaie. Mais je vais bien grace à Dieu. Enfin je vais mieux... Il m'arrive encore d'appelé sur son portable juste pour entendre sa voix sur le répondeur.
Selma: Même Foued ça l'a beaucoup marqué cette histoire. Ca nous à tous fais mûrir wallah, t'as besoin de lui dans ta vie Myriam c'est normal que tu fasses ça, t'es dans une phase trés dure. Ca passera avec le temps
Moi: Ca aura servi à quelque chose au moins. Mariez vous non? La vie est tellement courte
Selma: On attends.
Moi: Vous attendez quoi?
Selma: Myriam y'a quelques mois t'as perdu le mec que tu voulais épouser. Donc on attends.
Moi: Ca me blessera pas au contraire ça me fera plaisir pour vous
Selma: Je t'aime cousine <3
Moi: Moi aussi <3
J'avais vraiment pris en maturité, la mort d'Aymene m'as vraiment calmé. Bizzarement ces derniers jours je recommence à disjoncté.
Un soir aprés le taffe je passe au magasin faire quelques courses, j'avance la tête baissée et en la relevant j'ai cru apercevoir Aymene... Vraiment une petite fraction de seconde, à peine le temps de bien voir. J'ai cherchais partout cet homme que je venait de voir. Je l'ais revu et ce n'était pas lui... Puis j'me suis dis que je devenait complétement folle. Ca me reprend, moi qui commencer à allait mieux.En rentrant chez moi j'en parle à Hanna au téléphone.
Moi: J'ai des hallucinations Hanna
Hanna: Pourquoi tu dis ça?
Moi: J'ai cru voir Aymene tout à l'heure. Ca me rend folle wallah j'en peux plus, il m'obséde.
Hanna: T'as vu c'que t'aurais aimait voir. Ca arrive souvent pendant un deuil.
Moi: Tu crois que ça passera? Parce qu'honnêtement j'ai la sensation d'être condamné à vivre comme ça.
Hanna: C'est normal que tu pense ça, hé c'est pas un truc annodin qui t'es arrivait Myriam ! Et je trouve que tu t'en sort plutôt pas mal Hamdoulillah.
Moi: Grace à Dieu. J'ai plus aucune nouvelles d'Hakim aussi. J'ai un préssentiment bizarre
Hanna: Non il vas bien je l'ais vu tout à l'heure de loin
Moi: Il répond pas à mes textos, ni à mes appels. J'le laisse dans sa bulle c'est mieux pour tous. Par respect pour Aymene déjà...
Hanna: T'as raison. Bon mymy y'a Jamila qui m'appel à demain ma petite soeur...
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Myriam Le love à la cité(réécriture réelle)
Ficção GeralMyriam : Nouvelle à la cité Voici une réécriture d'une chronique réelle de Facebook qui m'a beaucoup plus . C'est une super chronique bien écrite et en plus elle est réelle !! Elle fait partie des meilleurs chroniques de Facebook