Après avoir passé une agréable nuit - bien que courte - la jeune magicienne avait descendue l'étage pour aller prendre un petit-déjeuner qui avait été préparé pour elle.
Pendant qu'elle mangeait, une jeune serveuse était arrivée pour lui donner un papier du roi qui la convoquait dans son palais à dix heures.
Il était neuf heures quarante, la jeune fille finit son repas en une minute avant de remonter dans sa chambre et d'y trouver Oscars devant sa porte.
- Tu m'attendais ? Lui demanda-t-elle interloquée.
- Oui, je venais te chercher, mais tu n'es visiblement pas prête, releva le prince qui ne portait plus son chapeau.
- Entre si tu veux.
Ils entrèrent dans la chambre, le lit avait été fait comme par magie.
- Attends-moi là.
Elle se cacha derrière le paravent, enfila un gros pull blanc et un pantalon gris.
- Tu sais ce qu'il veut me dire, questionna Onyx.
- Pour la onzième fois : JE NE SAIS PAS.
En refermant dix minutes plus tard la porte de la chambre, un mauvais pré-sentiment l'envahit.
Comme s'ils allaient lui transmettre une mauvaise nouvelle.
On la conduisit dans la salle royale qu'elle connaissait déjà. Le roi était assis sur son trône impérial.
- Vous avez retrouvé ma mère, que je puisse m'en aller ?
- Non, répondit fermement le roi, mais nous avons retrouvé le bijoux, il était dans votre bulle !
- Pardon ?
- Vous m'avez très bien entendu, Mlle Prada, vous êtes l'auteure de ce vol ! Votre mère est introuvable, mais vous avez cacher le diamant chez vous !
- Si j'ai dit pardon, c'est pour que vous ayez le temps de changer votre réponse, expliqua-t-elle, je n'ai pas volé cette émeraude et je ne sais pas comment est-il arrivé ici, j'exige qu'on me ramène chez moi !
- C'est impossible, emmenez-la ordonna Dior aux gardes qui étaient à côté d'elle.
" M'emmenez où ? " '' Pourquoi faire ? " '' A l'aide ! '' ce sont les seules phrases qu'Oscars entendirent avant qu'Onyx disparaisse. Une larme coula sur sa joue, ses poings se serrèrent, il eut envie d'insulter son père qui lui parut si cruel d'un coup, sauf qu'il n'eut pas le temps, un garde l'invita à retourner dans ses appartements.
Onyx était enfermée dans le grenier du palais, une grande pièce sombre et poussiéreuse où l'on apercevait quelques souris grises longeant les murs de la pièce.
Elle balayait du regard le murs en face d'elle qui possédait une petite lucarne trop loin et trop petite pour s'échapper de cet enfers.
Ma mère est une menteuse, je suis considérée comme une voleuse et mon pouvoirs ne marche plus temps que ces gens existent, pesta la jeune fille intérieurement.
Elle donna un petit coup dans un bol en métal vieillit par le temps.
- Psssst Onyx, appela une voix chuchotante près de la fenêtre.
- Oscars ?
- Oui, c'est moi, je suis sur le toit, je sais que tu ne peux pas sortir, mais je suis désolée, je ne savais pas ce qu'ils allaient te faire, s'excusa-t-il, accroupit sur la toiture du toit.
- Tu n'y peux rien, de toute façon, j'espère juste qu'ils ne vont pas me laisser crever de faim.
- Je t'apporterai de la nourriture, je te laisse, je dois aller à mon cours d'escrime avec mon professeur, courage !
La petite brune s'était avancée de la lucarne, ses paroles lui avaient fait du bien.
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Hello !
Je vais en faire un dernier que je posterai un peu plus tard (21 h - 21 h 30) !
Merci d'avoir lu ! <3
Chanel
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La maison du Bonheur
FantastiqueLa jeune Onyx, du haut de ses treize ans, regarda le ciel se couvrir doucement d'étoiles brillantes en songeant que sa mère était parmi l'une d'elle. Depuis toute petites, elle vit dans une bulle, une bulle de bonheur. Sa mère récemment décédée lui...