Une insolente rencontre

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10h00 : Il était déjà l'heure, l'heure de rencontrer ces nouvelles têtes ,il y allait avoir des mioches de partout de l'est comme de l'ouest des gamins qui allait me saouler pendant un semestre entier, c'était grave l'enfer. Déjà arrivée devant la salle numéro 9 que je sentais déjà l'odeur des cigarettes, l'odeur de ses salopris clope me foutais une de ses gerbes, je fumais dans le temps mais pour une raison que j'ignore j'ai arrêté c'était peut être parce que tante Hilda me foutait toujours cette espèce de pipe à la con que soi disant mon arrière arrière arrière grand oncle l'avait hérité ou plutôt gagné durant un combat de coq, non mais qu'est ce qui ne faut pas entendre. Bon je voulais pas m'énerver dès le premier jour mais je crois que c'est fait. J'ouvris la porte brusquement et là je la voyais, elle tenait cette clope en main comme si ça vie ne tournait qu'autour de la mort.

- Vous n'avez pas cours ??? Demande ai je, son amie avait déjà pris la peine de jeter sa pochette de cigarette depuis mon arrivée mais elle, elle là tenait encore.

- Faut dire que l'enfoiré n'est pas encore venu,répondait elle en écrasant son joint par terre et en me fixant doit dans les yeux. Je savais pas pourquoi mais j'avais l'impression qu'elle me faisait du rentre dedans, chose qui me déplaisait pas trop.

- Alors on a qu'a dire que c'est moi l'enfoiré, maintenant si c'est pas trop te demander est ce que tu pourrais regagner ta place stp?.

Je me demandais souvent ce qu'elles avaient dans la tête ce genre de fille, petite, mignonne elle m'avait l'aire du genre snob, le genre de meuf qui se foutais de la petite classe. Bon je savais qu'elle et moi on n'allait pas du tout s'apprécier et en plus elle venait fumer dans une des salles vide la salle 10, elle ne fumait pas dans les toilettes ou à l'arrière de l'institut mais plutôt dans les salles elle laissait sa marque de fumeuse partout, et oui!!! ses 6 longues années consacrées à l'étude de la psychologie ne m'on pas fait défaut. Je me suis prit de raccompagner mademoiselle a la salle 9 pour débuter enfin mon cours.

10h15: Bon, j'avais raté presque la totalité de mon cours, alors je pense qu'une bref petite intro sur moi même et sur le cadre de mon cours serais le mieux que je puisse faire pour ces quelque minute qu'il me reste je pris mon marqueur et écrit soigneusement au tableau mon prénom et ma profession. J'avais une étrange impression, c'était comme si quelqu'un me dévisageait avec passion et mépris, je tournais la tête pour voir et la je la voyais sourire, on aurait dit qu'elle était contente et a la fois curieuse je lui rendit son regard par un geste de cil sexy, je sais ce n'étais pas digne d'un prof, mais que voulez vous je ne suis qu'un pauvre homme

- Bonjour a tous, désolé pour mon retard, j'avais des petits problème de LOCALISATION dis ai je toujours avec mon regard de séducteur en regardant ma malfaitrice, alors je me nomme Anthony votre de prof de Philosophie et de Psychologie, je serais avec vous durant tous ce semestre et sans perdre de temps qui dans cette salle peut me dire ce que c'est que la "PHILOSOPHIE" et la "PSYCHOLOGIE"???.

Ce qui me plaisait le plus dans mon travail ce sont ces moments là, le moment que tous les mômes détestaient et que les professeurs vénéraient, LES INTERROGATIONS il n'y avait que ça de plus cool dans mon métier.

- Alors j'attends, vous mademoiselle, celle qui me croise du regard.

Toutes les têtes se tournèrent derrière pour voir la victime.

- Moi monsieur.

- Oui toi. Elle était d'une arrogance inconditionnel et d'une beauté plutot mortel, elle avait piqué ma curiosité.

- Si je vous dis non vous allez faire quoi? me dit elle

- Je sais pas a toi de voir.

- Vous ete le genre de type qui débarque et qui nous pompe le cerveau avec des ideos et des rêves inutiles.

- Cela ce pourrait, ou pas, cela dépendra de ce que toi tu pourra voir comme des ideos ou des rêveries , rien de ce que je dirai dans le cadre de ce cours sera niaiserie sauf si tu le considère ainsi... Ce qui sera le cas je présume.

- Vous avez tout compris monsieur Anthony.

BRRR... BRRR... BRRR...

La sonnerie venait stopper ma petite entretien avec mademoiselle la snob, je sais pas pourquoi? mais quelque chose m'intriguais chez cette fille et je brûlais d'envie de le savoir, elle me regardait avec des yeux tellement intense qu'on jurerait presque qu'elle lisait en moi.

- Alors je vous dis à lundi prochain et grâce à mademoiselle pour le prochain cours vous me préparez un exposé sur ce sujet " Vivre c'est choisir " vous pouvez disposez merci.

21h00: Nous sommes l'un contre l'autre dans l'angle du canapé. De ma main libre je lui caresse le ventre, et remonte sous sa poitrine (je ne vais jamais plus haut, à ce stade !). Je défais les trois derniers boutons et ouvre son chemisier. J'ose « Vous avez des seins superbes. »

Après une journée aussi éprouvant j'avais décidé d'aller me libérer l'esprit et aussi au passage séduire deux trois poulettes, après de longues heures interminables de recherche et de refus j'avais finis par en trouver une pour la ramener chez moi et oui j'étais ce qu'on appel un séducteur.

21h05: Elle s'appelait Rosie si je ne m'abuse on c'est rencontrés dans ce bar Le GOLDEEN Club c'était un petit club brancher ou venais traîner les loser du coin y compris moi j'y étais souvent depuis mon divorce, je regardais défiler les mecs et les meufs je baisais aussi au passage. Ce soir j'avais déniché cette toute nouvelle conquête pour mon bon plaisir et ce qui s'ensuivit ce soir la était tout à fait spectaculaire.

Dis-moi mon nom?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant