- Feyza ! Ca te dirai de venir par ici ?
Au milieu du train, une jeune fille aux cheveux roses soupira. Elle possède des yeux rouges comme le sang, et à des canines. A Akisero, c'est la seule cas de vampire. Ici comme partout, les vampires ne sont pas bien regarder. "Feyza". Ce que cette fille hais ce prénom. Pourtant, c'est le sien. Il signifie : Celle qui tranche, et, sachant que c'est une vampire, elle ne se fait pas bien regarder. Mais, parmi tout les mauvais regards, Feyza aime un regard, ou plutôt un son. Le son de la musique. Chaque note de son piano la fait sourire, c'est son espoir. C'est fou à quelle point la musique peut aller loin. Une fois qu'elle écoute de la musique, elle ne pense plus à rien.
Le train s'arrêta, pour laisser descendre des passagers. Feyza tandis sa main dans son sac, et, après avoir fouillé, trouva son casque. Elle le mis sur sa tête, et ouvrit son volume à fond, pour ne pas entendre les appels incessant de ses anciens amis. La mélodie commença avec du piano. Feyza ferma les yeux. La mélodie varie, un coup dans le grave, un coup dans l'aiguë. Et, un moment, la flûte arrive. La mélodie est si jolie... Si calme, si... triste.
Feyza à eu 14 ans en mai, depuis, elle vis un enfer. Avant, les gens la qualifiait comme étant "cool", mais, depuis que ces yeux rouges sont apparues, ils l'a qualifié comme un monstre. Plusieurs rumeurs avaient commencer à son sujet. Comme disant qu'elle avait mordu quelqu'un, et tout... Depuis, la chose que Feyza aime le moins, sont les rumeurs. Contrairement à beaucoup de cas comme elle, elle ne hais pas les vampires. Elle est un vampire, et, contrairement à ce qu'elle laisse paraître, elle en est fière. Si seulement les gens ne la regardait pas mal...
Les paupières de celles-ci se font de plus en plus lourdes. Elle dort le jour, elle vie la nuit. C'est ça, normalement. Mais... C'est compliqué. Depuis peu de temps, Feyza s'est habitué à : je sors la nuit, je dors le jour. Chaque nuit, elle sors, écoute sa musique à fond et respire un coup. C'est tellement relaxant, la nuit : personne pour te juger. Mais malheureusement, celle-ci ne peut pas dormir maintenant : elle est en trajet. Pour aller dans une autre ville, nommée Chihamu. Depuis toute petite, c'était son rêve. Là-bas, elle connaît un restaurant spécialement pour les vampires. Malheureusement, il a fermé... Mais, une voix lui murmure que, il y a peut-être des vampires qui traînent dans le coin. Alors, elle veut tenter la chance de se faire de nouveaux amis.
Tout à coup, elle sentit son casque se faire enlever. La musique disparût. Elle leva la tête et aperçu ses "amis". Avant, ils étaient comme la Lune et l'étoile. Inséparable. Mais... L'étoile disparût un jour, c'est le cycle de la vie. Comment ont-ils pu changer à ce point ? La fille qui tenait la casque commence à le mettre sur ses oreilles. Feyza leurs jette un regard noir. Kevser, la fille écoutant la musique de Feyza, afficha une mine dégoûtée.
- Beurk, cette musique est hideuse.
Pourtant, c'est ce genre de musique qu'aime Feyza. Et, malheureusement pour Kevser, la vampire hais qu'on se moque de ses goûts. Qui peut juger de ce qui est bon ou de ce qui ne l'est pas ? C'est la mentalité de la brune de Feyza hais le plus. Tout à coup, celle-ci se transforma en chauve-souris, sous les cris choquée des passagers. La chauve souris se trouva derrière la brune, qui n'a rien eu le temps de voir, et Feyza redevient "humaine". Alors qu'elle est à deux doigt de mordre, Feyza se stoppe. Et lance un regard assoiffée de sang à Kevser, qui, par la peur des larmes lui sont monté, et chuchote :
- Tu vois ? Je suis beaucoup plus puissante que toi. Et, on ne parle pas comme tu l'as fais à ses supérieurs.
C'est ainsi qu'elle récupéra son casque et sortit du train. Elle est arrivée à destination. Malheureusement, cette différence risque de la suivre encore longtemps...
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Musique Nocturne
WampiryJusqu'au matin, ils jouèrent de la musique, ils firent des pauses pour parler, puis ils se séparèrent. Ils se reverront la nuit prochaine. Afin de jouer de tout leurs poumons. En attendant, ils doivent vivre dans la cruauté des Hommes. Ils sont eux...