24H DANS TA TÊTE

CHAPITRE 4:

Mila :

Un Homme est dans la même pièce que moi. Une personne, un homme ou une femme. Je ne sais pas, je suis incapable de distinguer quelques choses. J'ai juste entendu des bruits.
Mais je ne vois toujours rien.
Je suis perdue.
Mais il ne m'a presque pas apporté d'attention.
J'ai seulment senti un courant d'air.
Il a parlé. Il a dit "Bonjour", il me semble ou bien sinon ce ne sont que des hallucinations. Je suis incapable de ne prononcer un seul et unique mot, ni même un murmure. Ma gorge est trop sèche.
Je n'ai pas bu, ni manger depuis une éternité.

Cette personne est là avec moi. 
Elle a ouvert,...je ne sais pas quelques choses qui produit de la lumière. L'extérieur ?  Probablement. Ou sinon simplement un néon, de la lumière.
Mes yeux me brûlent.Je ne connaissais plus cette sensation. Je suis obligé, forcé,...de les laisser fermées. Je ne supporte cette lumière.
Je ne comprends. Qui est ce ? Que fait cette personne ici ?

Je n'arrive pas ouvrir les yeux.
Mais mes autres sens se sont développés. Alors, j'entends quelques choses, des bruits, des grincement,...des roues ? un chariot ? Pour transporter des corps ?
Je ne sais pas quoi penser je ne comprends rien.
Le bruit se rapproche de plus en plus.
J'ai l'impression qu'il est de plus en plus prés. Ma respiration commence à se saccader. J'ai peur, très peur.
J'ai dû mal à respirer. J'arrive plus à respirer.
Mon corps veut plus. Il n'y a plus d'air dans mes poumons. Je souffre, ma blessure saigne toujours.
J'ai mal partout.

Mais d'un seul coup plus rien. Rien. Le silence complet était revenue.

Mais tout à coup on me plante une aiguille dans le bras. La douleur me transis, me coupa le souffle. Plus rien j'étais bloqué comme paralysé.

Puis je m'endormis tout doucement, sans avoir vu, ni la personne, ni le lieu dans lequel j'étais.
Je ne pouvais pas me contrôler. Ouvrir les yeux étaient déjà impossible, ils n'ont fait que rester clos comme il était déjà.
Je ne sentais plus mon corps plus rien.
Je ne pouvais même plus réfléchir, ni même penser.
Mon corps était de plus en plus lourd, mais je sentais un mouvement, comme sur un bateau, je tangue, mais en même j'avais le vertige...
Je victime de quelques choses...

Ethan :

J'étais au sol. Le temps que je reprenne mes esprits. Quelques minutes m'avaient suffit afin que je reprenne conscience. La montée de stress, de pressions, le manque de temps ne m'avais pas arrangé suite à l'appel du commissaire.
Je devais repartir travailler mais le médecin n'a pas voulu il a décidé de me renvoyer chez moi, pour ne pas prendre de jour de congé, je devrai  retourner ce soir à la garde de 20h.
Je rentra chez-moi, contre mon grès. Je ne supporte pas me sentir impuissant, je me sentais capable de continuer cette journée, de la poursuivre en bon état de santé. Mais je ne prenais pas le risque de contre dire le médecin.
Bref, sur le chemin tout se passa bien parce que j'avais oublié l'appel. Mais dès que l'idée de la nouvelle enquête me traversait l'esprit une nouvelle montée d'adrénaline était là. Je ne pouvais pas rentrer chez-moi et attendre à ne rien faire, à perdre du temps.
Je changea de route et me dirigea vers le commissariat.
Je me sentais obligé, juste quelques heures peuvent être indispensable dans une enquête.
Je voulais apporter mon aide, faire de mon mieux, prouver que je n'étais pas inutile et que l'on ne m'avait pas appeler pour rien.
Il me restait donc dix minutes avant d'arriver au commissariat. Je pris entre-temps en sandwich à la boulangerie du coin de quoi ne pas avoir le ventre vide. J'envoya un message à l'inspecteur pour lui signaler que j'étais au poste dans à peine dix minutes.

J'arriva au commissariat.
Je franchi les portes du commissariat, suite à mon identification.

L'inspecteur arriva en courant, en me demandant de la suivre au plus vite dans son bureau.