Hélèna Deemon, tel est ton nom..
le nom que t'as donné Akame Kintano ton éducateur, mais pas n'importe quel éducateur.
En effet dans cette histoire du découvrira que cette homme et ses coéquipiers se chargent de la garde au corps d'une illustre fami...
Après cet incident les policiers et ambulanciers sont venues.
Cette Vanessa fût menottée et emmenée en garde à vue, le procureur ce chargera de son cas quand le procès sera prononcé car la cour pourrait plaider à la "schizophrénie ou autres maladie psychologique" la mettant hors de cause et ainsi la faire interner.
Là été ta plus grande inquiétude...que la cour plaide à la folie et qu'elle soit à moitié graciée. Tchh.
Les ambulanciers c'était chargés de ta mains.. Il fallait attendre que celle-ci se répare d'elle-même en y ajoutant de la rééducation mais cela aller vite passer.
Alors que tu discutais longuement avec Kintano, celui-ci te dis remarquer qu'il se faisait tard et que leurs de te reposer approcher.
En effet la famille Oikawa's après milles et uns remerciements, épuisé par les événements allèrent se reposer et discuteraient des procédures à faire le lendemain.
Après avoir saluer Kintano et lui souhaiter une bonne nuit, tu montais les marches pour atteindre le couloir menant à ta chambre. Tu passais devant la porte d'oikawa...tu iras y faire un tour après.
Tu grimpé encore un petit escaliers jusqu'au greniers aménager...ton chez toi. La vue te fis souffler et tu t'écroula sur ta chaise de bureau qui était face à une fenêtre menant sur le jardin. La lune était pleine, les étoiles peu visibles de part les nuages...comme tes yeux le ciel était voilée.
Cela faisait 2h30 heures que Toru était partis ce coucher. Et s'affichait sur ton horloge presque 3h.
Il était d'aller voir si tôt aller bien...
Tu descendis sans faire de bruit pour avoir de nouveau accès au couloir. Et quelques mètres plus loin la porte de la chambre de Toru... Tu collas légèrement tout oreille à la porte pour voir si tu entendais le moindre bruit.
Puis tu entras, comme un chat tu te faufila au sein de sa chambre. Sans un bruit, car tu avait pris l'habitude de souvent graissé la porte pour que celle-ci ne couine pas.
Puis tu restas là, bras croisés, souffle léger pour le regarder et comme à son habitude. Il s'était découvert...
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Tu soufflas... Presque 18 ans et encore là a le recouvrir pour que monsieur ne tombe pas malade.
Après l'avoir recouvert tu te dirigea vers la grande baie-vitrée qui menait à son balcon. La vue t'avait toujours laissée comme suspendue, le grand lac et la forêt l'entourant...c'était et tu devait te l'avouer majestueux.
La lune qui reflétait sur le lac était presque féerique.
Tu était là guettant chaque recoins du lac, de la forêt pour voir si un intrus entrait pour faire des représailles. Ton regard était à présent sérieux, vif, attentif.
