Chapitre 8

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    Quelques minutes sont passer depuis que Sans a quitté la chambre. Vous laissant réfléchir seule sur la suite des événements. Sur comment sortir de la maison. Sur qui ou quoi vous pourriez tomber dehors ou encore comment rentrer chez vous une bonne fois pour toute !

Honnêtement vous auriez bien tenté de vous échapper du squelette mais vous ne savez même pas si il est sortie ou toujours dans la maison et après la confrontation de tout à l'heure ou encore la tête qu'il a fait en quittant la pièce, vous n'avez pas très envie de l'énerver.

D'un autre côté, vous n'allez certainement pas rester assise à vous tourné les pouces et perdre plus de temps ici.

Pour commencer, vous vous levez du lit. Rester assise vous donne l'impression de ne rien faire. Vous faites les cents pas dans l'espace restreint par le bazard de la pièce.

    Après je pourrais aussi passer la tête hors de la chambre pour vérifier si la vois et libre et partir en mode ninja ...? Ouais non, moi et la discrétion ça fait vingt-quatre...

En voulant vous adosser à un mur. Vous vous cognée le bas du dos. En grognant face à la soudaine douleur, vous vous retournez pour voir que c'est dû à l'unique fenêtre.

Une idée vous passe par la tête en voyant la hauteur qui vous sépare du sol enneigé. Seulement, il manque à trouver de quoi vous assurer un atterrissage sans douleur.

Votre tête se tourne presque instantanément vers le lit.

    Si les personnes de la télévision y arrive, je devrais aussi, non ?

Serrant bien les triples noeuds que vous avez fait aux draps de Sans, vous réfléchissez à toute allure. Sans pourrait revenir à tout moment alors il fallait faire vite. Vous lancer votre corde de fortune après avoir pris soin de bien l'attaché au tapis roulant que vous avez coller à la fenêtre de manière à ce que le mur le bloque si le poids de votre corps l'entraîne.

( T/P ) : Bon est bien, il faut se lancer ! Vous ricanez. C'est le cas de le dire...

La boule au ventre vous prenez les draps dans vos mains et vous placez debout sur la fenêtre, dos au vide. Une inspiration. Une expiration. Et vous tirez sur la corde posant un premier pied sur la façade de bois. Un deuxième pas suivi rapidement. Et sans grande difficulté, vous finissez par retrouver le sol dans un crissement.

( T/P ) : Je voyais ça plus compliqué. Je suis presque déçu. Marmonez-vous.

Vous vous retournez, bizarrement, personnes ne traine dans la petite ville figé en hiver. Peut-être doit-il être l'heure de se coucher ? Difficile à dire sans avoir accès au ciel.

Sur ce, vous reprenez votre chemin en espérant de plus être déranger par des monstres.

mâle! Chara x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant