NDA: Hey hey hey !
Voila le prologue de ma première histoire sur Wattpad (chui genre trop excitée, ça me plaît tellement) ! J'ai essayé de trouver une image qui pourrait correspondre à Horia même si pour moi, elle aurait les cheveux un peu plus épais sur la photo. Voila voila donc n'hésitez pas à voter si le prologue vous a plu et à laisser un com's !
VOILA !
Pleins de bisous et de tendresse dans ce monde de fousJe m'appelle Horia et j'ai seize ans. Bientôt dix-sept. Niveau physique je dirai que je n'ai rien de spécial : J'ai des cheveux noirs qui sont la plupart du temps attachés en un queue de cheval haute et des yeux marrons clairs. On ne pouvait pas s'attendre à un mélange extraordinaire : Mes parents sont tous les deux algériens et ils me ressemblent comme deux gouttes d'eau, surtout mon père. J'ai plusieurs frères et soeurs mais ça, j'en parlerai plus tard. Bref, continuons ma description. Niveau Caractère : je suis le genre de filles qui se met en colère rapidement et pour n'importe quoi. Depuis toute petite on me respecte beacoup et surtout les filles. C'est simple, au lycée tout le monde sait que si la malheureuse personne parle de moi dans mon dos, elle passera un mauvais quart d'heure. On pourrait m'associer à une bad girl ou une fille vraiment pas fréquentable mais je me fous complétement de l'avis des gens. Malgrés mon "comportement inadmissible au sein de l'établissement" j'arrive à avoir toujours un peu plus de la moyenne dans chaque matière. Depuis que mon père est mort il y a deux ans, je suis devenue agressive, arrogante et méchante avec le monde autour de moi. Je n'ai été en couple qu'une seule fois dans ma vie et bien sûr ça a mal tourné. Au début tout était parfait mais quand j'ai su qu'il me trompait avec une fille, j'ai eu le coeur brisé. J'en ai vite déduis que l'amour, ça servait à rien. Etre amoureux pour moi, c'est un sentiment dangereux. Quand tu es amoureuse, tu te pose un milion de question sur ton histoire et ton cerveau ne pense plus qu'à une seule personne. Parfois, tu en deviens presque folle et tu comences à perdre le controle. C'est ça qui me fait le plus peur: perdre le controle.
A la maison, nous sommes nombreux. Tout d'abord, il y a Fayçal, l'ainé de la famille qui a vingt ans et qui a déménagé à Lyon (j'habite à Paris). Il me manque beaucoup mais il nous rend visite régulièrement. Mon second frère s'appelle Ayman et il a un an de plus que moi. Depuis que papa est mort et que Fayçal est parti, il se prend pour le papa de la maison. C'est ça qui m'énèrve. Je ne peux même plus compter combien de fois nous nous sommes battus pour tout et n'importe quoi. De tous, Ayman est celui qui me fait le plus chier. Ensuite, il y a mon bébé de petit frère. Il s'appelle Guiliane et il a sept ans et j'adore sa bouille ! Il est beaucoup plus inocent que je l'étais à son âge et c'est ça qui me plaît chez lui. Il est tellement mignon et je suis persuadée que plus tard, il fera des ravages auprés des filles. Et pour finir, il y a ma petite cousine, Leïla qui a six ans. Elle est le portait craché de sa mère qui, malheureusement, est décédé l'an dernier. J'aime bien cette petite car je la trouve si intelligente et mature pour son âge.
Je suis peut-être insolente avec les gens mais je porte un énorme respect pour ma famille, plus particulièrement pour ma mère. Elle a su nous élever toute seule aprés la mort de papa et elle n'a jamais baissé les bras. Ma mère est si courageuse: j'aimerais tellement lui ressembler plus tard.
Voila ce a quoi se résume ma vie désormais : je joue la fille qui n'a plus aucun sentiment, j'insulte qui je veux quand et où je veux, j'enmerde tout le monde et je n'en fais qu'à ma tête. Je continuerai de faire l'intéressante en jurant tout haut et en manquant de respect aux profs jusqu'à que le monde entier sache que je suis en colère.
VOUS LISEZ
Horia
Teen FictionJe m'appelle Horia et j'ai seize ans. Bientôt dix-sept. Niveau physique je dirai que je n'ai rien de spécial : J'ai des cheveux noirs qui sont la plupart du temps attachés en un queue de cheval haute et des yeux marrons clairs. On ne pouvait pas s'a...