Prologue

6 0 0
                                    


Tout commence un 4 mai classique, un jour comme les autres. En ce jour de 1997, le temps est idéal, il ne fais ni trop chaud, ni trop froid,le soleil est haut dans le ciel et éclaire une bonne partie de la ville d'Hambleton, en Angleterre. Bien que le soleil soit présent,pour certains le temps semblait gris et froid, digne des ténèbres.Dans l'entrepôt situé près de la sortie de la ville , les ombres à travers les fenêtres était facilement repérables.

Dans ce vieil entrepôt abandonné se trouvait quatre personnes, trois vêtues d'habits noirs de la tête au pied, et un étant habillé d'un modeste jean et d'une chemise à carreaux rouges. Ce dernier,attaché à une chaise, ne comprenait que le peu d'informations que les trois autres voulaient bien lui donner. Il avait donc compris que les trois hommes étaient à la recherche d'un individu qui serai passé récemment dans sa ville et qui répondrai au nom d'Arthur Eclias, aussi surnommé Rimbaud.

Bien sur, il n'avait aucunes informations sur ce Arthur, et savait encore moins à quoi il pouvait ressembler. Il ne savait même pas depuis combien de temps il était attaché sur cette chaise, ni ce que les hommes comptaient faire de lui. Après tout, ils n'avaient pas l'air commode, avec leur lunettes de soleil dans cet entrepôt sombre, avec leur costard noir et leur muscles qui en ressortaient. La seule chose qu'il avait pu comprendre autre que les informations sur Rimbaud,c'était la hiérarchie du trio. Le premier, celui qui posait toutes les questions, se trouvait être le chef. Ensuite, le monsieur muscle qui l'accompagnait était le garde du corps, après tout il était le mieux bâti des trois et restait toujours sur ses gardes. Et pour finir nous avons l'informateur, celui qui recopie toutes les informations dans un carnet et qui répond au téléphone.D'ailleurs, cela faisait déjà trois fois que ce dernier sonnait, ce qui commençait à l'énerver.


Ce que l'homme ne savait pas, c'est que ce serai la dernière fois qu'il entendrait sonné le téléphone. Que ce serai la dernière fois qu'il verrait de toute son existence ces trois individus. Que se serrai la dernière fois qu'il se souviendrai un temps sois peu de son passé, de son âge, de son prénom, de la vie qu'il a mené jusque là. Il ne savais pas non plus que ce matin serai la dernière fois qu'il verrai la lumière du soleil, cette si douce et lumineuse lumière, avant qu'elle ne soit remplacée par celle, brûlante, des enfers. Après tout, cet homme avait péché, puisque oui, il avait bien aperçu le dénommé Arthur au coin d'une ruelle, et il avait tenté de l'agresser. Mais bien entendu, avoué l'agression qu'il avait tenté de commettre lui semblait plus grave qu'un simple mensonge. Mais les apparences sont trompeuses.

La serre aux merveillesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant