25

580 55 18
                                    




« Salem Aleykûm, Bonjour »








ASHAN











Je reste silencieux pendant quelques secondes déconnectés de tout, je regarde mon père. Je cherche une once d'espoir dans son regard mais rien, je cours vers elle et la regarde par terre sans vie. 

- Je la secoue RAHMA S'IL TE PLAIT OUVRE LES YEUX ! 

- Ashim : Les secours sont sur le chemin ! 

Je lui donne des petites tapes sur le visage, mais rien elle bougeait pas. Je retiens ces foutus larmes mais c'est plus fort que moi, me dire qu'elle ne réagis pas qu'elle va peut-être mourir dans mes bras me détruit de l'intérieur. Je pourrais pas sans elle, c'est juste impensable de voir ma vie sans elle a mes côtes.

- Je t'en supplie Hayati.. pour moi. Restes avec moi..

- Baba : Il me relève et me prends dans ses bras C'est dans les mains des médecins qu'on la laisse mon fils, mais aussi dans celles d'Allah.. t'inquiète pas pour elle.. elle est forte.

Elle est loin d'être forte, sa famille l'a détruite, elle a vécu des choses horribles étant petite. Elle a souffert, et maintenant encore elle souffre et de la faute à qui ? De la mienne. Jamais j'aurais du passer sur son chemin, tout sa ne serait pas arriver.

Je regarde les médecins autour d'elle, essayant tant bien que mal de faire repartir son cœur..

Ils finissent par fermer leurs portes et partir en vitesse vers l'hôpital.

- Ashim : Ça va aller mon frère..

- Ramène moi à l'hôpital s'il te plait.. 

Il hoche la tête et me tire avec lui vers sa voiture, même si on avait retrouvé Rahma.. Anissa restait introuvable. Elle était pas avec Rahma, alors Azhyr et nos hommes sont partis à sa recherche. 

- Ashim : Papa nous retrouvera là-bas une fois Anissa retrouvé..

- Ce fils de chien l'a tuer avec du gaz... 

- Ashim : Elle est pas morte.

- Qu'es-ce que t'en sais toi ?

- Ashim : [...]









[2] « Même si tu nies tu souris car tu l'aimes »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant