Le vrai du faux

Chapitre vingt-quatre

Vincent

La petite fête se termina vers 22h, j'étais presque seule, il y avait encore Ryan, Marie, Malia, Yann, Vincent et Adrien. Tellement que l'ambience était calme, en y pensant je me mis à rigolé. Vincent qui était à côté de moi compris et il me sourit.Nous avions parler, même si il ne m'a rien dit je ne vais pas trop insisté pour tout savoir.

Début du flash-back :

Nous traversions le salon tout les deux côte à côte et nous partions sur le balcon. Il faisait bon, il y avait un soleil pas trop fort pour un été. Je posais mes coudes sur la barre comme Vincent et je contemplais l'horizon (même si il n'y avait rien d'extraordinaire qu'une térasse pour les habitants de l'immeuble) comme Vincent faisait. Je sentis un regard posé sur moi, je tournais la tête vers lui et sens que je mis rende compte, il posa ses lèvres sur les miennes, elles étaient douce et lisent, je voulais sortir de se baiser mais il me tenait fermement par la taille et n'arrêtait pas son baiser avant que je lui réponde.

Je ne voulais pas répondre à son baiser, je ne voulais pas lui retombé dans ses bras aussi facilement, je voulais qu'il est confiance en moi, qu'il me dise quand il a un problème, qu'il me traite vraiment comme sa petite amie et non comme une copine ou une amie. Mais mes lèvres bougèrent sens que je le veuille. Il se décolla de moi et colla son front contre le mien. Je savais qu'il avait le sourire au lèvre mais moi j'avais toujours mes yeux fermé, je ne voulais pas les ouvrir. Je les serraient de plus en plus fort comme si je ne voulais pas que ça soit vrai. Il me pris dans ses bras et il me serra.

Vincent: Hé Beck c'est bon tu peux ouvrir les yeux. avec une voix moqueur.

Moi: Non mais je ne voulais pas te rendre le baiser, mes lèvres ont bouger sens que je le veuille ! Bref se baiser ne signifie rien pour moi... Maintenant que l'on est seul, de quoi tu voulais me parler ?

Un petit rire s'échappe de ses lèvres. Nous étions toujours collé ensemble, je pouvais sentir sa respiration sur le haut de ma tête. J'étais bien comme ça, dans cette position mais je mis fin à cela. Je me mis au bout du balcon dans la même position qu'au départ, je le sentais venir et il se plaça derrière moi. Il n'avait jamais insisté autant pour être avec moi, pourtant ce n'est pas la première fois que l'on se dispute. Il posa sa tête sur mon épaule droite et m'enveloppa de ses bras plutôt musclé.

Vincent: Je suis désolé Beck, je ne voulais pas que l'on se dispute...

Moi: Pourtant c'est le cas. le coupais-je.

Vincent: Je sais mais laisse moi finir... Bon j'ai merdé je sais, j'en suis conscient et tu sais que je déteste admettre quand j'ai tord mais je veux le faire juste pour toi, juste pour te prouver que je t'aime, pour te prouver que tu es ma seule et unique petite ami que j'ai et je ne veux pas te traiter comme une simple amie mais comme MA petite amie. Si je réagissais comme ça, c'est parce que j'ai un secret que je cache, j'ai peur que si je te le dis, j'ai peur qu'ils s'emprennent à toi tu vois ? Je m'énerve assez vite car je sais que l'on me surveille à chaque pas que je fais, où je vais il y a quelqu'un qui est là et si je dérappe, ils vont s'en prendre à toi. Si je suis trop gentil avec toi, si je suis trop proche avec toi comme un petit ami que tu voudrais, ils font savoir que tu es celle que je tiens plus que tout et ils vont tout faire pour te séparer de moi, mais je suis prêt à tout pour te protéger quoi qu'il arrive. 

Moi: Qui ça "Ils" ? Tu es rechercher ? Ils te veulent du mal ? Dit moi s'il te plaît Vins, je veux être là pour toi moi.

Vincent: Tu passe avant tout Beck alors tu n'as pas besoin de me protéger, il faut d'abord te protéger toi parce que tu es spécial à mes yeux. Je ne peux rien te dire pour le moment mais promet moi de ne pas t'en mêler, de ne pas chercher à comprendre pour l'instant et surtout si il m'arrive quel...

Moi: Arrête Vincent ! Tu me fais peur, je ne vais pas insister pour que tu ne dise qui sont c'est "ils", mais alors promet moi aussi quelque chose... je veux que tu sois comme avant. C'est juste se que je souhaite, si tu redeviens comme avant, on retrouvera notre complicité... Et je te promet que je ne vais pas insité dans tes problème, mais je veux que tu me dise si c'est très important, je veux le savoir.

Vincent: Je te promet... enfin je vais essayer de tenir ma promesse que je redeviendrais comme avant. 

Je me retournais pour lui faire face, je restais un moment comme ça plonger dans ses yeux, il me regardais en retour et il fixait mes lèvres, il posa ses deux mains de chaque côté de mon corps, il se rapprocha de moi toujours en fixant mes lèvres et au moment qu'il allait posé ses lèvres contre mes lèvres, je me glissais en bas pour méchapper. 

Moi: Euh... Non pas de bisou Don Juan, je n'ai pas envie que l'on m'enbrasse, c'est trop facile sinon. en lui faisant un bisou de loin.

Il resta bouche bé.

Fin du flash-back.

Nous étions tous sur le canapé devant la télé. J'étais entre Vins et Marie après il y avait Ryan, Adrien, Yann et Malia. Malia et Yann était collé, Malia avait sa tête sur l'épaule de Yann, Maris continuait à mangé comme d'habitude, Adrien c'était endormis comme Ryan et Vincent se forçait pour garder les yeux ouvert. Mais il est pas tard et pourtant ils sont déjà mort comme s'il était 4h du matin. Ryan se leva pour y aller, au passage il réveilla Ad sens trop le vouloir, lui aussi partit et il me dit "je passe te chercher demain, on va au lycée ensemble" avec un clin d'œil et le petit couple pris aussi la sortie sens que je leur dise un mot et Marie partie en me faisant un clin d'œil en prenant le paquet de chips dans ses mains.

Vincent était vraiment mort, et dire qu'il est venus en moto, je vais pas vraiment envis qu'il a un accident. Ryan aussi était fatigué mais vus qu'il c'est reposé alors je pense que ça ira enfin je l'espère. Je proposais quand même à Vins de dormir chez moi. Il accepta, nous nous levons en même temps et nous déplions le canapé lit. Je lui donnais quelque vêtement à lui que j'avais je ne sais pas comment. Je me changeais de même...

Je partis dormir de mon côté et Vins du sien dans le salon. Avant qu'il aille dormir, il venu me faire un bisou sur le frond et il reparti sens dire un mot et en fermant la porte derrière lui. Quelque minute après, je ressus un message de Ryan... Il est vraiment bête cet enfant ! Il me fait trop rire avec son imagination débordante. J'espère qu'on serra dans la même classe lui et moi. Je reçus un autre message mais celui là était de Vincent.

Nous nous parlions par message jusqu'à 23h30 et au bout d'un moment il m'appela... Puis nous nous parlions au téléphone comme si nous étions éloigner mais au contraire, nous étions tout près, seul un mur nous séparait. Ma tête de lit était collé au mur où se trouvait mon canapé de l'autre côté. Le mur n'était pas très épais, je pouvais entendre Vins chuchoter des mots qui formaient des phrases et ça disait : "Je suis là pour toi quoi qu'il arrive. Je ne perdrais pas contre eux. Je les déteste tellement ces enflures. Je ne suis plus seul maintenant et un jour ils me le payeront."

Je ne comprenais pas trop... Il avait arrêté de parler et aussi arrêté de répondre aux messages. Je lui dis un "bonne nuit" vite fait et il me répondit par un "bonne nuit je t'aime"