Chapitre vingt-deux

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Dernier week-end{partie 2}

PDV De Adrien:

Becky était dans mes bras, je courais le plus vite possible pour pas qu'on nous rattrape. Vous vous demandez de qui je parle, je parle de Grégoire et sa bande. Ces hommes sont partout où je suis, se sont des chasseurs de vampires, mais le hic c'est que dans sa bande, il y a déjà deux vampires et il ne sens n'est même pas rendu compte. Je ris au fond de moi, mais si ils arrivent à me trouvé, je suis dans la mouise :/

{éclipse du trajet}

J'étais à présent devant chez Marc, je lui avais envoyer un message "d'urgence", je criais son prénom par sa fenêtre mais personne, je ne voyais plus qu'une seul solution pour savoir si il est là ou pas. Je posais Becky au sol, je remontais les manches de ma chemise, je faisais quelque étirement... Me voilà enfin prêt, je me mis à escalader son immeuble. Personne ne pouvais me voir, vu que cet endroit est abandonné. Seul Marc et Billy vivaient ici. Billy était un des sénoirs de notre clans, il est venu dans cette immeuble avec Marc parce qu'il avait peur qu'il arrive quelque chose à Marc. C'est comme son petit fils. Billy n'était pas ici se mois çi, alors je ne pouvais pas le contacter si il y avait un problème. J'arrivais enfin a la fenêtre de Marc, je toquais à la fenêtre mais personne ne répondis, je collais donc mon oreille sur la fenêtre mais je n'entendis rien. Je sortis mon cellulaire de ma poche et commençais à l'appelé... Mais qu'est ce qu'il peut être stupide se gars !!! Mais qu'elle j'enre de personne sort sens son téléphone sur soit ?! Je voyais l'écran de son téléphone allumé sur le canapé à cause de mon appel. Il sert vraiment à rien se gars, il existe juste à dragué les filles et à faire fondre quelque gars même si il n'est pas gay. Au moment où j'allais descendre, une voix cria mon prénom, je fut surpris et tomba dans le vide, mais j'eus réusis à retomber sur mes pieds.

Marc: Qu'est ce que tu fou ici toi ? En plus tu escalade les murs comme ça, mais tu as aucune discipline ou quoi mon petit ?!

Moi: Si Monsieur n'aurait pas oublié son téléphone chez lui, je ne serrais pas monté. Et arrête de vouloir imité Billy parce que là, c'est raté et de plus, on a le même âge en humain, je ne compte pas le surnaturel sinon c'est sur que tu me bât... Bref tu peux m'aider, j'ai un gros problème ?

Marc: Wow ! Vu ta tête, ça se voit que tu as un gros problème. Qu'est ce qu'il se passe ? Attend, ne me dis pas que Grégoire et compagnie sont sur ton dos... encore ???!!

J'ai même pas eu besoin de lui dire mon problème, qu'il le savait déjà. Mais il y avait un autre soucis et encore il l'a su sans que je lui dise.

Marc: Qu'est ce qu'il y a encore ? Ici ils ne peuvent pas venir, il y a des pièges partout pour les chasseurs.

Je pointais Becky du doigt qui était allongé en bas du bâtiment de Marc. Il se tourna vers moi avec un grand sourire qui voulait tout dire. Il me donna les clefs pour ouvrir la porte du bas et lui pendant se temps, il portait Becky sens que je lui demande quoi que se soit. Arrivé dans l'appartement de Marc, il posa Becky sur le canapé, il partit prendre une couverture dans sa chambre pour la mettre sur Beck. Nous la regardions sens rien dire. Becky avait souvent le pouvoir de calmer les gens même dans les pires moments. Son visage était sage, elle ressemblait à un bébé qu'on a envie de caliné.

*Oh Ad ! C'est toi qui viens de dire ça ?! Mais ressésit toi mon gars* me disait ma conscience.

Les minutes passaient, les heures passaient, nous étions encore là à regarder Becky endormie. Je suis aller peut être trop fort non ? J'espère qu'elle va bien et qu'elle ne risque rien. Vu que nous les être surnaturels, nous contrôlons pas trop notre force, alors j'ai peur qu'il lui arrive un problème à propos de se que je lui ai fais.

Marc: Tu y es allé un peu fort sur ce coup là mon pote. Elle ne bouge même plus et limite sa respiration diminue et...

Moi: Ferme là Marc p*tain ! Je ne le supporterais pas si il lui arrive quelque chose ! M*rde Becky, réveille toi je tends supplie. Fait un geste ou je ne sais quoi, mais bouge un peu ! Tu ressemble à une morte là, je sais que tu n'es pas encore prête pour monté au ciel alors je tends pris bouge un peu BECKY !

PDV De Becky:

J'entendais quelqu'un crié mon prénom, c'était la voix d'un homme, il y avait aussi un deuxième hommes. Je reconnus une voix qui m'était très famillière, c'était Adrien et un autre homme que je ne connaissais pas. Pourquoi criait-il mon prénom ? Pourquoi je n'arrivais pas à ouvrir mes yeux ? Non, je ne pouvais plus bouger, j'étais comme...paralyser ! Et cette douleur au cou me fais atrocement mal. Pourquoi Ad parle-t-il de mort ? Je vais mourir c'est ça ? Non je ne veux pas mourir, je veux vivre comme toutes personnes sur Terre ! Je veux bouger mais je n'y arrive pas, je veux crié mais je n'y arrive pas... C'est comme si j'était dans le comas. Mon frère m'avait raconté les sensations qu'il avait éprouver pendant se long sommeille sens pouvoir se réveillé, seul une chose qu'on pouvait faire c'était écouté, entendre les personne qui te parle ou t'examine... Je ne veux pas être dans le comas ! J'essayais de bouger de bouger ne serrai se qu'un doigt, même un orteil mais en vain. Je sentis une larme coulé le long de mon visage sens que je le veuille. J'entendis Adrien et l'inconnu crié :"Allez Becky réveille toi !", "Ad ! Becky pleure ! Faut continué à l'encouragé !", "Beck réveille toi je t'ens supplie !" Mon souffle repris un rythme normal, je ne bougeais pas encore, mais j'y suis presque.

Les minutes passaient, je ne bougeais toujours pas, mais j'essayais encore et encore grâce au encouragement de Adrien et de l'inconnu. Sens que je mis attende, une personne me pris la main la mienne et sous le choque, je pus bouger un de mes doigts, puis un autre et un autre puis la main entière. Je bougeais petit à petit mes membres et je me réveillais comme si je sortais d'un cauchemar mais là c'était pire, je respirais fortement, je transpirais. L'inconnu courus dans la cuisine, puis m'apportait un verre d'eau et Ad était à côté de moi le visage inquièt et rassuré a la fois. Il me prit dans ses bras et me serra très fort, je le serrais en retour, j'ai eus tellement peur ! Je suis rassuré maintenant. Je bus le verre d'eau. Je touchais mon cou qui me faisait vraiment mal. Mais qu'est ce qu'il c'est passé avec mon cou ? Je suis tombé ? Sens doute, maladroite que je suis, c'est un peu normal.

Le vrai du fauxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant