Idolls ! ( kamijirou )

18

Je me suis réveiller ce que j'ai estimer une dizaine de minute plus tard, avec une douleur vive au niveau de la cheville... peut-être me l'étais-je tordus.

- Kyouka, t'es réveiller ?

C'était la voix de Momo, mais de là où j'étais je ne pouvais pas la voir. Peut-être était-ce parce que j'étais ligoter dans un coin de la pièce.... oui pas bête Kyouka.

- Momo ? Ou es-tu ? Ou on est ?

- On c'est fait piéger tout les trois, mais la bonne nouvelle c'est que les autres ont pu s'échapper, ils vont pas tarder à appeler quelqu'un.

- Qui ça trois ? Demandais-je encore un peu fragile.

- Je suis là moi aussi...

Kaminari...

- Personne n'est blesser ? Demanda Momo.

- Je crois qu'elle nous a tout les trois fracturer une de nos chevilles pour être sur qu'on ne s'échappe pas, dit Kaminari.

- Non pas à moi, mentis-je.

J'entendis Kaminari pousser un soupir de soulagement. Lentement j'ai sortis une lame de ma poche arrière que je gardais pour une toute autre utilité mais qui s'avérais bien utile pour détacher mes liens.

Et une fois debout, je cru défaillirent lorsque ma cheville toucha le sol.

- Tout va bien ? Demanda Momo qui était maintenant en face de moi ligoté au sol au côté de Kaminari.

- Oui, désolé j'ai eu un vertige.

Je me suis lentement approcher vers eux ne laissant rien transparaître de mon calvaire. Et lentement j'ai commencer à défaire leur liens.

- Vous pouvez vous remettre debout? Demandai-Je en les aidant à se relever.

- Moi ça peut aller, dit Kaminari en titubant.

- Laisse moi voir, dis-je en m'accroupissant devant sa cheville, c'est fracturée attends jvais la bander sa ira mieux.

J'ai arracher un morceau de mon tee-shirts avant de l'enrouler délicatement autour de sa cheville devenue violette à cause du choc.

- Momo tu pense que tu serai capable de matérialiser une béquille pour notre blessé, je t'aiderais à marcher à la place.

Elle s'exécuta et je tendis la béquille au blond ;

- Désoler Kyouka, je pense pas pouvoir matérialiser plus de chose pour l'instant.

J'ai examiner sa cheville qui avait l'air beaucoup plus mal en point que celle de Kaminari.

- Ne t'en fais pas, aller grimpe. Dis-je en m'accroupissant devant elle.

- Hein ! Mais je suis trop lourde t'y arrivera jamais.

- Désoler mais de toute façon on a pas trop le choix, chuchotai-je.

Et lorsqu'elle est monter j'ai pas pu m'empêcher de lâcher un gémissement de douleur :

- Faut que je pense à faire plus de sport ! Mentis-je en ravalant mes larmes.

Et pas à pas nous avons commencer à sortir de la pièce où nous étions attacher, pour déboucher vers d'autres souterrain. Et plus j'avançais, plus mes jambes tremblait,

- Il faut qu'on trouve la sortie, dis-je en m'arrêtant, ça ne sert à rien de continuer à avancer à l'aveugle.

- Kyouka tu peux me reposer maintenant, dit Momo en matérialisant une béquille.