Idolls ! ( kamijirou )

17

Je ne savait pas depuis combien de temps nous descendions cet escalier, ni depuis combien de temps mes jambes tremblait à chaque marche que je passais. Mais ce que je savais c'était qu'au bout de cet escalier quelqu'un nous attendais, j'en était sur .

- Il y a quelqu'un en bas, chuchotai-je.

- T'en es sur ? Me chuchota Kirishima à son tour.

- Je sens sa présence.

- On a même pas de plan, continua Mina.

- Au point où on en est ... de toute façon va falloir y aller au feeling. Dit Bakugo.

Enfaite techniquement parlant on avait un plan, mais il était si incompréhensible qu'on savait pertinemment que personne n'allait le respecter.

Et à force de descendre nous avions déboucher sur une pièce très vaste et sombre, des taches de sang sur tout les murs et la même odeur nauséabonde que les mystérieuses pièce . Au milieu un cercle rouge tracée au liquide noir rendait la pièce 10 fois plus lugubre qu'elle ne l'était. Et les bougies qui éclairait la pièce la rendait cauchemardesque....

A priori il n'y avait l'air d'avoir personne mais ce serait trop facile, alors j'ai bluffer ;

- Je sais que tu es la ! Scandai-je, Mon alter est reperaro bound ! Je peux repérer quelqu'un à des mètres à la ronde. Sois tu sort et on gagne du temps ! Ou alors on reste ici faire connaissance c'est toi qui vois !

- A quoi tu joue, me chuchota Ochaco au creux de l'oreilles.

- Tout le monde en place, on est pas tout seule, dis-je au reste du groupe.

Un rire strident fendit le silence de la pièce et la même femme qui avait effacer les vidéos de surveillance quelque jour plutôt se tenait à quelque mettre de nous, en équilibre sur un des nombreux pilier qui constituait la pièce. Et encore une fois son visage était voilée ;

- Montre nous ton visage ! Dit Momo en pointant un flingue qu'elle venait de matérialiser.

- Je pensais qu'on allait faire connaissance ? Ria la vilaine. Que c'est vilain de mentir Ryouta-kun...

- Momo range ton arme, dis-je en m'avançant, couvrez-moi.

- Qu'est-ce que tu fais. Me demanda Kaminari.

- Va savoir...

Je me suis avancer vers cette mystérieuse femme lentement les mains derrière la tête ;

- Pardonne ma camarade ! Criai-je,  On aimerais d'abord parler avant de commencer les hostilités. Peut-tu nous montrer ton visage ?

- Tu es si mignon, dit-elle en ricanant, tu es célibataire ?

- Enlève ta cape et je te répondrait !

- Bien, dit-elle en descendant de sa perche, mais à une condition.

- Laquelle ?

- Je veux que l'un de vous se dévoue à me donner 1 litre de sang pour chaque informations que je vous donnerais !

Nous l'avons tous regarder éberlué et j'ai commencer à reculer lentement ;

- Vous êtes combien au total ?

- Ça dépends... entre 10 et 20 on tourne chaque soir...

- Ou sont tes camarades ?

- Mais ils sont juste ici ... tu ne l'es voient pas ?

Elle a claquer des doigts et plusieurs personnes masquée sont sortit de leurs cachettes nous encerclant et nous forçant à nous regrouper, j'ai reculée d'un gest vif évitant de justesse une attaque de la part de la vilaine.

- Maintenant tu me dois deux litres de sang ! Dit-elle en essayant de m'agripper le bras.

Et heureusement qu'Ochaco était là parce que sans elle je n'aurais plus de bras à l'heure actuelle. Ils étaient environs 15, enfin plutôt 8 si on compte ceux que bakugo avait assommer.

Les combats furent d'une extrême violence, chacun de mes camarades donnait tout leur possible pour neutraliser leurs adversaires. Moi je n'arrivais plus à bouger, parce qu'en analysant tout ça, je me rendait bien compte que même si nous étions plus nombreux, on ne faisait pas le poids, à chaque coup qu'on leur donnaient, chacun de ses sbires se relevaient essayant de croquer dans notre chair. Comme des machines régler a tuer...

Des machines .....? Et comme prise d'une énergie soudaine une idée farfelue immergea de mon esprit ;

- KAMINARI ! Criai-je pendant qu'il était en plein combat,

Se dernier se retourna vers moi, plus que surpris de mon entrain soudain ;

- BALANCE LA SAUCE ! LE PLUS FORT POSSIBLE ! Dis-je en esquivant quelque débris.

- HEIN ? MAIS T'ES DEVENU FOLLE ! Répondit-il en sautant en haut d'un pilier.

J'ai courue rejoindre mes camarades pendant que Shoto nous faisait gagner quelque seconde ;

- Faut qu'on se protège ! Dis-je pendant que Momo matérialisait une bâche pour nous protéger.

- Mais tu délire ? Ça va jamais marcher! Dis Kaminari.

- Si ! Faut que tu fasse exactement ce que tu avait fait le jour où on a fait équipe pour la première fois toi et moi ! Tu t'en souviens ?

Il acquiesça nostalgique. Shoto nous rejoignit sous la bâche, pendant que Kaminari se mettait en place.

Sous la bâche il faisait noir, plus personne ne respirait, et au bout d'une minute, un silence lourd prit possession de la pièce. Nous sommes sortit... et plus aucun vilain ne bougeait... pas un son ni même un mouvement, juste les gémissements de Kaminari qui venait de perdre les pédales.

- Mais qu'est-ce que...commença Shoto....

- Ce sont des robots...dis-je en m'approchant.

Je me suis approcher de la vilaine, elle ne bougeait plus... est-ce que c'était un leur ? Ou était-elle vraiment un robot elle aussi....

Un cri d'effroi transperça le silence qui s'était installé, je me suis retourné vers le mystérieux son  et la j'ai compris qu'une fois de plus  que nous nous étions fait piéger.  Il y avait quelqu'un de beaucoup plus intelligent derrière toutes ces manigances quelqu'un qui tirai les ficelles dans un endroit que nous ne pouvions pas voir ;

- MES BÉBÉS !

Une jeune femme au cheveux noir c'est approcher des robots, en leur effleurant les joues....

- Les mains en l'air ! Dit Momo en pointant un flingue dans sa direction.

La jeune femme n'avait pas l'air de nous avoirs vu ;

- J'AI DIT LES MAINS EN L'AIR !

Comme si elle venait de se réveiller, elle cligna plusieurs fois des yeux étonné ;

- Oh mais.... il y a des invités ! Je suis siiii contente ! Ça fait tellement longtemps que personnes ne m'avait rendu visite....elle fit une pose avant de nous toiser d'un regard perçant . Vous tomber bien.... j'ai une faim de loup....

Elle claqua des doigts je me sentis défaillir avant de m'écrouler comme un poids sur le sol....