━ 𝘧𝘳𝘦𝘦 𝘥𝘢𝘺

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(Ou comment perdre le contrôle et écrire un texte avec 90% de mysteres et 10% de ships)

*rire nerveux*
Okay, ce texte est très étrange et sûrement pas clair, mais j'ai adoré l'écrire-
Donc j'espère qu'il vous plaira tout de même, malgré l'incompréhension qu'il pourrait avoir ^^'
À la fin du texte, je mettrais quelques réponsesdérouler), mais s'il vous plaît, en respect pour mon os et mon "imagination", ne vous spoilez pas ;-;

~

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●•● Lancement de la partie ●•●
N'éteignez pas la console.
☆ Chargement réussi ☆

La scène s'ouvre. Deux hommes se font face, le corps tendu à l'extrême comme deux ressorts prêts à se détendre à tout moment.
Cela va faire de gros dégâts, mais il vaut mieux ne pas y penser. Pour l'instant. La conversation reste primordiale.

— J'ai perdu tout espoir de te voir sourire un jour, Mori, crache un homme aux cheveux d'argent. Tu ne seras jamais humain à mes yeux.
— C'est la plus grande antiphrase de ma vie, soupire théâtralement le dénommé Mori.
— Antithèse, tu veux dire.
— Oxymore, antiphrase, antithèse, c'est du pareil au même : tu m'as compris.

Une lueur brûlante passe dans les yeux bleus froids de l'argenté.
— Allons allons, mon cher Fukuzawa, nous avons dépassé ce stade depuis un bon moment, il me semble.

L'homme aux cheveux d'argent, qui porte donc le nom Fukuzawa, émet un bruit qui ressemble étrangement à un mélange de douleur et d’une émotion indéchiffrable.
— Je ne pourrais jamais te pardonner.
— Et pourquoi ça ?
— Parce qu'on ne pardonne pas aux monstres.

Mori éclate d'un rire puissant.
— Je ne suis pas un monstre.
— Si. Tu l'es et tu l'as prouvé à maintes reprises.

L'homme aux mèches brunes foncées fait quatre grands pas en avant, s'éloignant ainsi de Fukuzawa. 
L'argenté se contracte un peu plus, comme s'il se préparait à sauter sur Mori. Il est dur de déterminer qui sortirait vainqueur de ce combat. Une chance sur deux, et il est plutôt risqué de laisser le destin déterminer l'issu de cette scène.

Mais personne n'agit. Surement pour le mieux.
Et la discussion reprend de plus belle.

— Que fais-tu ?
— Relaxe toi, mon cher Yukichi. Je ne savais pas que je te rendais si nerveux.
— N'ose…
— N'ose ?
— Tu me laisses totalement indifférent.
Le ton de l'argenté est haché, sec et découpé syllabe par syllabe, comme si l'homme luttait contre une force mystérieuse. Et qu'il perdait le combat.

Étrangement, Mori ne dit rien, n'enchaine pas sur les paroles que vient de prononcer son interlocuteur. Il se contente de hocher lentement la tête, un petit sourire entendu sur le visage.

— Je sais.
La voix du châtain foncé est secouée d’une émotion qui fait briller doucement ses pupilles. Il porte une main à son coeur.
— Laisse moi te le dire en premier, d'accord ? Je te déteste.

𝙩𝙬𝙤 𝙦𝙪𝙖𝙧𝙩𝙚𝙧𝙨 𝙖𝙣𝙙 𝙖 𝙝𝙚𝙖𝙧𝙩 𝙙𝙤𝙬𝙣Où les histoires vivent. Découvrez maintenant