Pourquoi moi ?

Chapitre 4 : Mon Cancer

Je fais de plus en plus de malaise, des métastases se sont développé un peux partout, je souffre maintenant d'une leucémie légère. Il ne me reste qu'un mois à présent. Dan et moi essayons de garder le sourire mais c'est difficile. Tout les jours après les cours j'ai rendez-vous vous avec mon médecin pour qu'il puisse m'examiner.

(NDA : Je vais mettre entre (...) le nom des personnages qui parles pour éviter que vous vous perdiez)

-Bonjour Aya et Dan (médecin)
-Bonjour (Moi)
-Bonjour (Dan)
-Bon alors je vais être honnête avec vous l'état d'Aya se dégrade beaucoup plus vite que prévue ! (médecin)
-Où voulez vous en venir ? (Dan)
-Et bien Aya va rejoindre notre seigneur dans quelques jours maintenant ! (médecin)

Quoi ?! Non ! Je ne veux pas, je ne veux pas abandonner Dan pas maintenant, pourquoi ? Pourquoi moi ? Pourquoi est ce que je suis tombée amoureuse ? Je vais faire souffrir l'homme que j'aime. J'arrive plus à respirer, je...je fais une crise de panique. Retiens ta respiration Aya, allez ! C'est bon ça marche, je me sens mieux. Quand je rouvris les yeux sans avoir le souvenir de les avoir fermé, Dan pleurais.

-Je vais rester avec toi Aya, je te le promet ! (Dan)

Après ça nous sommes retourné chez moi, Dan avait dit à ses parents qu'il me surveillé la nuit pour éviter que je fasse un malaise pendant que je dorme. Il voulait absolument me protéger de tout mais malheureusement il ne pouvait pas m'empêcher de mourir. Ce soir là j'ai fait une autre crise mais beaucoup plus violente que les dernières fois. J'ai donc encore passé la nuit à l'hôpital, les médecins ont décidé de me garder en soin jusqu'à ce qu'ils ne peuvent plus rien faire pour me maintenir en vie. Dan m'a dit qu'il viendrai me voir tout les jours et puis au bout de d'un certain temps...il a arrêté de venir. Pour moi il avait tourné la page, alors je lui en voulais de me laisser tomber alors que j'avais besoin de lui. Ce n'est que bien plus tard qu'une Infirmière m'a prévenu que Dan avait eu un accident de voiture avec ses parents. Il était le seul à avoir survécu. Il n'avait eu aucune blessure grave mais il était gravement blessé intérieurement. Perdre ses parents d'un coup avait était trop violent qu'il a finis par être tétanisé. Je voulais tant le voir pour lui apporter mon soutien mais malheureusement je ne pouvais pas partir d'ici. C'est alors que je me suis mis à rechercher un endroit où je pourrais m'enfuir, après de longues recherche j'ai finis par en trouver un. J'allais passer à l'action le lendemain matin très tôt. Une fois dehors je me suis mise en route vers son appartement. Une vielle dame est venu m'ouvrir.

-Bonjour puis-je vous aider ?
-Bonjour je suis venue voir Dan ! (Moi)
-Ho vous devez être sa petite amie, entrée Dan devrait bientôt rentrer !

Une fois à l'intérieur, elle se tourna vers moi pour me dire quelque chose.

-Dan m'avais pourtant dit que sa petite amie était malade et à l'hôpital !
-Et bien je le suis madame, quand j'ai sû pourquoi Dan ne venait plus à l'hôpital je me suis enfuis ! (Moi)
-Ce n'est pas très malin, si vous êtes à l'hôpital, c'est pour une raison, vous devez y rester jusqu'à votre sortis !
-Ho madame, je rêverais de pouvoir ressortir légalement de cet hôpital ! (Moi)
-Um que voulez vous dire ?
-Dan ne vous la pas dit, je suis mourante, je souffre d'un cancer des deux yeux et d'une leucémie légère à cause des métastases. (Moi)
-Ho ma pauvre chérie, je suis tellement désolé pour vous, mourir si jeune, je comprends votre douleur, mon mari à eu une leucémie lui aussi, il c'est donné la mort juste après l'avoir sû pour ne pas nous faire souffrir trop longtemps.
-Ho, je ne savais pas, et...est ce que...ça à marché, vous avez moins soufferts ? (Moi)
-Ho ma cher enfant, si seulement, j'aurais préféré vivre avec lui jusqu'à ce qu'il meurt d'épuisement plutôt que d'avoir retrouver son corps pendu dans notre grenier.

La porte d'entrée s'ouvrit, laissant apparaître Dan, sans sourire, sans joie de vivre, un Dan sans âme.

-Ho Dan chéri, tu as de la visite !

Je me leva pour lui faire fasse, ses yeux remontèrent de mes pieds jusqu'à mon visage.  Une fois ses yeux encré dans les miens, ses yeux se sont écarquillés de surprise. De la vie est réapparue dans ses beaux yeux. Il s'avança doucement vers moi et me pris dans ses bras.

-Aya qu'est ce que tu fais là ? (Dan)
-*pleure* Je...quand tu n'es pas revenu, je...j'ai cru que tu m'avais abandonné mais quand j'ai sû, je suis venue... (Moi)
-*me reprend dans ses bras* Putains Aya, je suis désolé, perdre mes parents et savoir que je vais te perdre, j'ai complètement flanché, j'ai même voulu faire comme mon grand père pendant un moment...excuse moi Aya... (Dan)
-Dan tu n'as pas à t'excuser, quand mes parents sont morts eux aussi juste après avoir appris que j'étais malade, ils étaient tellement triste qu'ils en sont mort, quand je les ai pas vu se réveiller, ce jour là, j'étais morte comme eux, j'ai finis par aller dans un centre spécialisé... (Moi)

Après nos moment câlins, Dan m'a ramené à l'hôpital. La nuit de ce même jour j'ai perdu la vie. Mon état c'est en un seul coup agravé. Les médecins ont appelé Dan pour qu'il me dise aurevoir. C'était le plus horrible des moments à passer.

Flashback

-*ouvre la porte* Aya ! (Dan)
- *tourne doucement la tête* Dan... (moi)
- Aya, j'aurais préféré que ce jour n'arrive jamais mais tu es devant moi, sur ton lit de mort, j'ai perdu tout les êtres que j'aimais...(Dan)
-Non...Dan tu n'as pas tout perdu, il te reste ta grand mère et puis je suis pas encore partie... (Moi)
-Aya ne te force pas à rester parce que tu penses que je vais te rejoindre. (Dan)
-Dan...je veux que tu saches que même si tu ne me vois pas je serais toujours à tes côtés, je ne te quitterais jamais.  (Moi)
-*m'embrasse une dernière fois* Merci *commence à pleurer* tu vas beaucoup me manquer Aya... (Dan)
-*pleure aussi* Tu vas me manquer toi aussi... (Moi)
-Aya repose toi maintenant, tu le mérites !

Je lui ai souris une dernière fois comme lui, je ferma les yeux et le dernier son que j'ai entendu avant de sentir mon âme s'envoler c'est Dan me disant je t'aime et le son de la machine qui mesurait jusqu'à présent mes battements de coeur.