Out of my head de John newmanJulien était assis tranquillement dans son bureau, en train de repenser à cette beauté surnaturelle qu'il avait croisé au théâtre. Il n'avait pu l'oublier même s'il savait que tous ses espoirs ne servaient à rien.
Il y avait quand même cette éteincelle qu'il n'arrivait pas à éteindre. Il l'alimentait jusqu'à ce qu'elle puisse former cette flamme dévastatrice qui ravage tout sur son passage qu'on appelle l'amour car il défit l'impossible. Il continuait d'espérer même en sachant que c'était vain, qu'il ne la reverrait pas.
Il espérait qu'ils pourraient peut être diner ensemble un jour dans un restaurant. Ils discuteraient de tout et de rien. Ils riraient ensemble. Ils apprendraient à se connaître. Et il aimerait comme il n'avait jamais aimé quelqu'un. Ç'aurait été si beau.
Alors qu'il était plongé dans ses pensés, un officier vînt l'informer que Jess Aréa, une puissante femme d'affaire, les avait appelé pour leur dire que sa fille Niagara Aréa qui devait se marier au fils d'un puissant homme d'affaire du nom de Nao. Elle ne l'avait pas appelé depuis deux jours alors elle s'était rendu là où devait avoir lieu de leur mariage et une tragédie s'était déroulé. Ils devaient impérativement venir.
Julien s'était levé et ils étaient parti sur le champ, pousser par la curiosité.
Le jardin était tout à fait normal. De magnifique roses bordaient l'allée pavillonner. La pelouse était taillée à la perfection. Il y avait encore l'arc de fleur bleu et rose. Ça et là était dispersé de petits buissons. C'était un très beau jardin. Rien ne montrait que quelque chose de grave s'était passé.
Des bancs en pierre étaient disposé au mileu de ce petit paradis où deux âmes soeur s'étaient unis.
Julien et l'officier Charles, avancèrent jusqu'au hall dont la façade était tout de blanc et de bleu. Là-bas les attendait une très belle femme qui les tournait le dos.
On ne voyait que ses longs cheveux bouclé noir de jais qui lui tombait jusqu'au milieu des cuisses, comme sa fille. Ils s'approchèrent d'elle. Jess ne bougea pas d'un millimètre, ses yeux marron fixé sur ce qu'il y avait à l'intérieur.
Elle avait les traits durs et dénuer d'émotion. Elle s'agrippait avec force à la porte du hall. Quand elle avait vu ce qu'il s'était passée, elle avait crié, pleuré et son monde s'était effondré. Sa fille, sa moitié, son sang, son tout, était morte. La douleur avait transperçé sa poitrine. C'était comme si un milliard de couteau la traversait. Les larmes avaient coulé encore et encore. Elle avait terriblement mal. Sa fille n'était plus là. On la lui avait pris.
Pourquoi ?
Une colère glacial s'était mélangé à sa souffrance. Elle aurait dû être là pour empêcher cela.
Les larmes avaient ruissellés sur ces joues.Julien et Charles rentrèrent dans le hall et ils manquèrent d'avoir un haut-le-coeur.
Tous étaient recouvert d'hémoglobine. Des goutes de sang tombaient du plafond.
Plic
Ploc
Plic
Les corps étaient déchiquetaillés. Il y avait des bras ça et là. Des jambes et une tête trainaient près d'une table en miette. Le liquide vermeil s'écoulait sur l'estrade comme les larmes coulent sur le visage.
On aurait dit qu'un monstre assoiffé de sang et de violence était passé par là.Il y avait une femme vêtu de blanc avec la gorge tranché. Elle avait une expression meurtrie mais rempli d'amour et ses yeux ne refletaient aucune peur, mais une immense douleur.
Un homme était allongé auprès d'elle. Il avait le visage tourné vers sa bien aimé et leurs mains s'entrelaçaient. Ses yeux étaient empreint d'une extrême souffrance et sa bouche était ouverte sur un cri que ne s'éteindrait jamais.
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Crimes Tome 1 L'homme
De TodoTout avait commencé une belle soirée de printemps avec le meurtre de Saoéna. Le commissaire Julien s'impliquait dans cette enquête mais les meurtres et les cauchemars s'enchaînaient , plus horribles que jamais. Alors ses ténèbres essayaient de le re...