❴Comme Arielle❵↗tododeku↖

🌊chapitre 4

Cela fait maintenant 2 mois précisément que Shoto parle avec Izuku, le pêcheur saute tout de suite sur l'occasion dès qu'il peu aller voir son ami à écailles enfin "ami" est un ancien titre.
Désormais Shoto le voit comme le grand amour, sa moitié, sa vie et j'en passe.

Mais il refuse d'avouer ses sentiments, en aucun cas il veut que Izuku en soit au courant.
Si seulement il savait se que la sirène éprouve pour lui.

En parlant d'Izuku, le poisson vert est d'humeur boudeur et Shoto est sur que c'est à propos de Ochako qui est venu avec lui la semaine dernière.
Il en est jaloux au plus au point...

Même après lui avoir expliqué que la jeune fille n'était qu'une amie d'enfance, Izuku rester sur son point de vue : ce n'est qu'une piqueuse de Shoto.
Ça lui passeras avec le temps, il oublieras très vite.

🐚

Aujourd'hui nous sommes Mardi, le soleil brille, les mouettes chantent, la mer est calme, un silence de mort règne en cette belle après-midi.

Izuku est affalé sur un rocher, sa queue trempant à moitié dans l'eau fraîche, il était sur le dos et regarder les nuages se déplacer lentement.
Il attendait désespérément Shoto qui commencer à se faire long.

Sa lui manquait terriblement de ne pas voir au loin se piteux bateau qui conduisait vers lui un magnifique pêcheur qui avait cette joyeuse habitude de raconté à Izuku une histoire.
C'était souvent des histoires inventé de toute pièce par Shoto...

La sirène masculine commença à s'imaginer des scénarios plus de louche, peut-être que Shoto est en fait en couple avec cette Ochako, peut être qu'il ne reviendra plus, peut-être que Izuku n'est pas assez bien pour lui . . .

Les larmes commencèrent à coulé le long de ses joues couvertes de tâche de rousseur, même s'il ne parlais pas sa voix était brisé et aïgue.
Il recouvre ses yeux avec ses mains et dans un reniflemment il se redressa, logeant sa tête dans ses bras.

Il voulait revoir Shoto, tout lui dire, lui avouer ses sentiments, lui dire tout ce qu'il aurait aimer lui dire, lâcher un profond je t'aime accompagné de petit bisous.
Rien de cela allait arriver, aucune de ses demandes ne pouvait être exaucé.
Izuku ne pouvait que se morfondre.

Après tout.
Comment pouvait-il savoir que le bateau avait coulé?