.... Nous avons réussis a éviter une autre propagation à l'intérieur de la cathédrale, mon équipe et moi revenons vers l extérieur pour reprendre de l'aire car nous n'en avions plus dans nos bouteilles.
Une autre équipe pris alors le relaie pour finir d'éteindre les derniers brasier et j'ordonna a un de mes
Homme de monter dans la grande échelle avec une Lance a incendi pour arroser le bâtiment et refroidir un maximum pour éviter toute reprise de
Flamme et en finir avec cet incendie de malheur.Pendent ce temps, je fit un rapport au CODIS pour leur informer de la situation et de son évolution.
Nous attendions plus que l'ordre de rentrer a la caserne....
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"3h du matin"
Nous commencions a ranger le matériel qui n'allait plus nous servir dans le camions quand je reçu un appel sur mon Talki walki..."-CODIS pour EPA 01 l'incendie étant circonscrit vous avez l'autorisation de vous replier et de faire un retour CS terminer !"
.... Nous avions enfin l'ordre de rentrer et laisser les autres équipes finir d'éteindre les derniers foyers...
En rangeant le matériel, nous regardions, avec tristesse, Notre-Dame presque entièrement détruire, la charpente, la toîture.
C'est à ce moment la que nous prenions conscience de la gravitée de la situation...
C'est vrai que dans ce genre de métiers, quelque soit l'intervention, quelque soit la gravitée de cette intervention, nous n'avons pas le temps de nous préoccuper réellement des dangers, des risques, nous sommes tellement absorbés dans notre travail, a ne pas faire d'erreur et à accomplir notre mission avec succès.
... Ce n'est que lorsque la tension est descendu, que le stress et l'adrénaline a presque disparu que l'on ce rend vraiment compte de la gravitée de la chose.
Évidement nous étions tous très tristes et ému de voir un édifice monument tel que la cathédrale de Notre-Dame a moitier détruire et calcinée par les flammes, mais on ce dis que le principale est que tout le monde soit revenu sain et sauf, qu'il n'y ai eu aucun blesser grâve et que la majorité des dégâts ne sont que matériel...
Nous rentrons enfin à la maison !..
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Dans le camion, je pris conscience de la beauté du métier de pompiers, que notre métier ne se résume pas a éteindre un feu et s'en aller, mais aussi et surtout être à l'écoute des personnes avec qui on doit travailler, que ce soit un de nos collègues ou une simple victime, que c'est grâce a notre courage et sang froid que nous avons pu intervenir et revenir sans blessures graves, et en entier et très bonne santé.
... La devise "sauver ou périr" prend tout son sens...
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L'intervention De Ma Vie
AléatoireEntrez dans la vie de -Pierre standardiste au CTA -Guillaume sapeur pompiers professionnels Ces deux pompiers appartenant à la Brigade des Sapeur Pompier de Paris (BSPP) durant l'énorme incendie qui a ravagé la Cathédrale de Notre Dame de Paris d...