A Tight Coffee

Episode 8

Izuku n'eût jamais pensé que travailler comme serveur dans un café qui eut quand même une bonne réputation, puisse être si fatiguant. Il eut appris sous la tutelle de Kaminari, qui fut un bon enseignant pour un jour, malgré qu'il passât un peu trop rapidement d'une machine à une autre, sans laisser le temps au petit Midoriya d'assimiler les conseils et les noms.

Eijiro eut plus de chance, malgré que son professeur fut le cendré. Izuku eut vu son ami hocher la tête à plusieurs reprises quand on lui expliquait les utilisations. Un jour eut suffi pour ça. Pour Deku, ce fut autre chose. Haku les eut lâchée dans la jungle, en débutant qu'ils étaient et perdu au milieu de toute la faune du café. Rapidement, Kirishima eut trouvé beaucoup de succès auprès des femmes matures, créant surtout des rougeurs de gênes sur les joues du meilleur ami qui regardât la scène la bouche ouverte.

Izuku dût faire de son mieux. Alors, pour cela, il eut la bonne idée d'accueillir avec un sourire candide des lycéens qui pénétrèrent dans le café pour se détendre. Curieusement, les deux jeunes hommes furent figés sur place, fixant le petit vert avec des yeux grands ouverts. Izuku qui eut penché la tête sur le côté en les questionnant du regard. Des rougeurs eurent pris place sur les pommettes des étudiants, avant de demander une table pour deux. Tout sourit, Midoriya les eût conduit à une petite table ronde en bois vernis, près du comptoir du bar, où restait le plus souvent la patronne.

Deku leur eût demandé à chacun ce qu'ils voulurent comme rafraichissement, tout en tenant son petit carnet avec son stylo personnel à l'effigie d'All Might. Il eut quand même annoncé après un petit moment de réflexion pour s'en souvenir, des petits desserts du jour. Alors l'un deux prit la parole pour leur commande ; "Une part de tarte aux citrons avec une part de tarte aux myrtilles et deux thés verts, s'il vous plait."

C'eut été tout heureux que le jeune Midoriya nota le tout sur son calepin et qu'il leur donna un sourire de remerciement avant de disparaitre pour ainsi envoyé la commande dans les petites cuisines prête à cet effet et équiper d'une sorte de petit crochet prévu pour l'effet du papier.

Tous les clients confondu -ainsi que ses collègues- furent très gentils avec le petit vert. Todoroki vint souvent lui donner quelque astuce sur l'accueil d'un client. Yaoyorozu fit la grande sœur en le sermonnant doucement pour son plateau trop lourd pour ses bras. Ashido l'encourageait à faire le meilleur de lui-même tout en lui donnant des tapes énergiques dans le dos. Uraraka ne put s'empêcher de lui poser des questions sur ses moments gênant du lycée qui firent rougir Deku. Kaminari adorait la compagnie du petit vert au point de l'entrainer dans ses délires sans le consentement du jeune Midoriya et les railleries de deux hommes. Quant au Bakugo, aucunement il ne mit mal à l'aise le petit buisson. Il lui frôlait le bras de temps en temps, restait planter derrière lui au point de le faire rougir en collant son torse contre son petit dos, et parfois lui soufflait dans le cou créant pour ainsi dire, des petits frissons qui firent bien sourire de manière sadique le blond.

Quant à Eijiro, celui-ci du plusieurs fois intervenir pour le sortir de situation assez délicate. Certains clients se faisaient insistant niveau corporel avec le plus jeune des garçons. Cela ne plût pas au rouquin qui bien qu'avec un sourire amuser, montrait surtout sa colère dans ses gestes. Et quand ce ne fut pas Kirishima qui s'en occupait, ce fut bien évidemment le jeune Bakugo, qui s'en chargeait. Mais le tous, avec beaucoup moins de délicatesses et très souvent, avec un sourire diabolique bien énervé.

Dans l'ensemble des premiers jours de travail d'Izuku, celui-ci pu apercevoir que Katsuki fut très demandé auprès des collégiennes et des lycéennes. Même, le petit vert, ne pouvait pas lâcher des yeux Bakugo tellement il pouvait le trouver sexy dans sa tenue de serveur. Midoriya remarqua par la suite, que Katsuki dû à plusieurs reprises se retenir de les dégager, afin de paraitre bien plus poli devant la clientèles. Cela avait eu le dont de donner un léger rire moqueur au plus petit sous le regard du concerné.