Pourquoi avons-nous accepté ? [TERMINÉE]

Chapitre 1

Pourquoi avaient-ils acceptés ?

Ils pensaient que ce serait très facile.

Mais pas du tout. Il était insupportable.

Qui aurait cru que lui, il serait insupportable dans cette situation ?

Ils pensaient qu'il serait...calme et fatigué, donc qu'il dormirait.

Ils voulaient saisirent la chance de pouvoir découvrir certaines choses croustillantes à propos de leur ennemi. Rival.

Asano Gakushū. Fils unique du proviseur Asano Gakuhō.

Le proviseur Asano cherchait quelqu'un. Quelqu'un qui pourrait s'occuper de son fils malade.

Asano Gakushū était...malade. Il avait de la fièvre. Seulement ça. Mais il était une catastrophe ! Il n'était même pas lui même ! Il était si...enfantin et insupportable.

Un groupe d'élèves de la 3-E s'en occupait. Pourquoi ? Pour pouvoir essayer de découvrir en même temps des infos sur leur ennemi.
Le groupe était composé de Nakamura Rio, Akabane Karma, Shiota Nagisa, Hazama Kirara, Okajima Taïga, Rinka Hayami et Chiba Ryūnosuke.

Mais voilà maintenant qu'ils débordés.

Karma et Rio fouillaient dans les tiroirs pour trouver des choses intéressantes.

Okajima essayait de déverrouiller le téléphone du prodige.

Rinka essayait de poser une serviette d'eau froide sur le front de leur ennemi tandis que Chiba le maintenait étonnamment facilement en place.

Kirara était sur une chaise, entrain de regarder la scène défilant devant ses yeux.

Nagisa avait un thermomètre dans la main, attendant patiemment à côté du lit.

Ils étaient encore tous dans leurs uniformes scolaire.

Et Gakushū...

Gakushū était allongé sur son lit, étant maintenu par Chiba. Il était en jogging, t-shirt et chaussettes. Il avait les joues rouge à cause de sa fièvre, moins de force, et s'agitait comme un enfant en gémissant pathétiquement.

Rinka: Quand va-t-il arrêter de bouger ?! Laisse toi faire Asano !

Gakushū: Nion ! Laissez moi !

Le prodige s'agita comme il pouvait, et se retourna sur le ventre.
Okajima se leva en posant le téléphone du jeune prodige malade sur le chevet n'ayant pas pus le déverrouiller. Il s'approcha de Gakushū et lui donna une bonne fessée pour le calmer, faisant couiner celui ci et se calmer.

Okajima: Tu te calmes maintenant !

Nagisa, toujours assis sur la chaise avec le thermomètre dans la main, se gratta nerveusement la joue avec son index.

Nagisa: La fessée était vraiment nécessaire ?

Okajima: Ça l'a clamé alors oui.

Karma: On trouve rien ! Y'a que des vêtements, des cahiers, différents dessins, et autres trucs pas intéressants !

Karma et Rio étaient toujours entrain de chercher dans les tiroirs mais ne trouvaient rien d'intéressants. Et ils étaient frustrés !

Rinka: Au lieu d'essayer de retourner sa chambre, vous feriez mieux de nous aider ! Il recommence à s'agiter !

Gakushū recommençait à s'agiter depuis une bonne minute et était cette fois entrain de rouler sur le dos puis sur le ventre jusqu'à tomber sur le sol devant Nagisa qui le regarda complètement désespéré.
Karma soupira de frustration puis porta sans délicatesse Gakushū, en le jetant dans son lit, faisant gémir pathétiquement le pauvre enfant malade.

Karma: Voilà !

Nagisa: Ce n'est pas en le jetant qu'il va se calmer...

Hazama soupira puis finit enfin par se lever de sa chaise. Elle se dirigea doucement vers le lit et regarda Gakushū avec un regard terrifiant. Cela glaça instantanément le sang du jeune prodige. Comment pouvait-elle être aussi terrifiante ?! Il déglutit et resta immobile, sur le dos.

Rinka soupira se soulagement en relevant la frange étonnamment très douce de Gakushū. Fichtre ! Ses cheveux étaient si doux ! Elle posa la serviette pliée et essorée, sur le front bouillant du fils du proviseur.

Rinka: Merci Kirara..

Okajima: Un bon gros gode dans l'cul l'aurait calmé.

Les élèves regardèrent étrangement Okajima qui croisait les bras. Pourquoi fallait-il qu'il soit toujours autant pervert ?!

Chiba: Je doute qu'il ai un gode dans sa chambre..

Okajima: Je peux vérifier !

Okajima se mit à chercher dans toute la chambre si un quelconque objet ressemblant à un gode se trouvait dans sa chambre.