Chapitre 11

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Trouver le sommeil me fut impossible. Je repassais indéniablement les évenement dans ma tête, mes yeux fixant le plafond à la recherche de je ne sais quoi. Je revois ma chambre,je suis allongé dans mon lit lorsque je me réveille en sursaut. Un cris aigu retentit à travers la maison. Je me leve, marche vers la porte sur le plancher glacé. Une goutte de sueur, de peur, dégouline lentement sur mon front. Je traversa le couloir vers la cuisine. Je vis le corp de ma mère étendu sur le sol dans un bain de sang, près d'un homme dont la george était coupé. Les pieds de mon père flottaient au dessus d'eux, son coup attaché à une corde. Je recula jusqu'au mur en pleurant. Je voulais hurler, appellé à l'aide mais je n'y arrivais pas. Les policiers entrèrent, puisque mes jambes refusaient d'aller leurs ouvrir. Ils eurent un haut le coeur devant la scène et l'un deux me cacha rapidement les yeux. Trop tard, ils sont là, je les ai vu, tout comme la porte du sous-sol qui c'est doucement refermé, à l'aide d'une main grisatre et aux ongles cassés, comme si ils avaient longuement gratté un objet. Une voix lointaine retentit, me demandant mon nom. Quel est mon nom? Une autre voix, chantonnant avec la requête que je m'endorme. J'étais maintenant dans le bureaux du lieutenant, ils croient tous que j'ai tué mes parents et cet homme. Il me demande mon nom et me frappe. Je me retrouve dans la salle avec ce docteur. J'ai peur mais je n'arrive pas à crier. Il m'appelle petite chenille. Je déboule des escaliers. Il me plante son aiguille dans le bras, je suis dans le placard. Je retrouve mon nom, code source 0. Soudain je suis dans du sang. J'observe le garcon à mes cotés et hurle : Mais qu'est ce qu'il m'arrive!!!!!!! Il y a des éclairs et je me retrouve dans un espèce de placard. Une forte lumière m'aveugle alors je me replis sur moi même. Une voix répete: Nom de code, code source 0. Je me bouche les oreilles mais une autre voix surgis. Elle semble lointaine, effacée. Je me concentre mais je ne comprends pas. Je supplie cette voix de parler plus fort. D'autre voix surgisse. Un cris, des supplications, une chantonette, une question, une voix enregistré, une voix réconfortante, une chenille, tous à l'unisson. Cette fois j'en peux plus. Je me met à hurler.

-RÉVEILLE TOI PUTAIN!!!!

Mes yeux s'ouvre et je me lève précipitemment pour vomir. Le peu que contenait mon estomacc prend un mauvais plaisir à me quitter. Une main se placa sur mon épaule et je l'esquiva, reculant jusqu'à un mur pour m'accoter. Mes vêtements sont trempés par la sueur.

-Ca va?

Non, rien ne vas plus. Il me regarde et soupire. Je placa ma tête contre mes genoux et laissa mes larmes rouler contre mes joues.

- Il va nous falloir de l'eau, chuchota Kyle pour me faire penser à autres choses.

Le silence est la clefOù les histoires vivent. Découvrez maintenant